diurne

Delphine Seveau Harlpern

Le matin se lève dans l'ivresse de vivre , vivante je le suis par miracle

des elixirs dangereux de doctes hommes haut placés me poussent vers le vide

comme un papillon brisé , des cris des hurlement des larmes, comment me sortir du tunnel de brume rose et ouaté de ces draps blancs et bleus du sommeil de plomb

du  sommeil aussi du sommeil qui dit non

demain je pars , demain je pars sur la route esoleillé quitté un peu le paysde dante pour un rayon de soleil aux souvenirs d'enfance

la mer loin des mères, la mer , et les eaux, la pluie le ciel bleu loin des mères loin des  pairs .....j'irai près de la petite chapelle lui dire que je l'aime.

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