DREAM THEATER

Philippe Larue

Boston imagination dans un théâtre à rêves. En état de choc après cette nuit, voilà comment j'étais au réveil. Encore pas pied au-dessus du lit, et avant d'atteindre le sol...

1er: Massachussetts aux pieds 

2e: Mets TAL progressivement au soleil 

3e: Un bol de muesli Jordan's

Je ne sais pas vous le matin, mais la musique est la première poésie d'une journée bien remplie. Puis, croquer une grosse pomme New Yorkaise à en faire breakdancer les vers à l'intérieur.

Et alors,  sur l'écoute d'un album de Dream Theater, vous y voyez les saisons changer devant la jalousie fantomatique de Vivaldi. Métropolis, l'underground qui expérimente le chandelier à sept branches d'Apollon, Dieu de la musique. Branchez la lumière sur l'écoute d'Overture. Petit Bach en arrière. Beethoven en serait guéri devant cet opéra de notes. Même Strauss mettrait ses valses à quatre temps au double afin d'en amincir la lenteur. Des Klein d'oeil à Pink Floyd, passant du rose au bleu azur. Les Amstrong y dansent sur Vénus, séduite d'y lyre un miracle à la vie. 

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