Emois et moi

Patrick Gonzalez

Peinture Malcolm Liepke

Ah ! Toi, vous, ma belle invisible. Femme, si femme , déesse incorruptible, de chair, de peau nue. Vertige de courbes, de rondeurs, de cambrures, d'espoirs. Je brûle à distance, tu me sais, tu me penses...Tu m'offres tes soupirs, tes émois de princesse, ma tendre apprivoisée...

Suave, de volupté, ce délire sans fin à tes élans heureux. Voilà mes mots pulpeux, mes profondes caresses, mille fantasmes fous où ton corps doux m'entraine. Chaque jour à l'aurore, je meurs, je renais, au creux de ton amour, je sombre à l'ivresse !




Signaler ce texte