Ernizio au sommet.

ymabrouk

Histoire d'un soir. Avec un bonus : la contraction vaginale.

C'était durant la période estivale, moi et mes amis avions pris un All-in à Antalya, en Turquie.

Dès le premier soir, j'ai rencontré cette fille, sur la piste de danse, et d'un coup, je tomba par terre. Du moins, mon esprit tomba . Nos regards s'étaient croisés. Et j'ai été touché par ses yeux revolver. Une poussée de confiance en moi se mit alors en place, je l'ai accosté, et commencé à lui parler, en anglais. Je n'étais pas vraiment doué avec les mots, mais vu que l'attraction opéré, j'ai essayé d'une autre manière. Je me suis rapproché tout doucement d'elle, sans la quitter du regard. J'ai posé mes fermes mains sur sa taille. Je ne me reconnaissais alors plus, j'étais devenu un séducteur, un personnage. Je me mis à l'embrasser langoureusement. Elle semblait apprécier, oui elle dû vraiment apprécier pour me demander la clef de ma chambre. Je lui ai laissé, avec quelques minutes d'avances. Puis je suis allé la rejoindre. J'ai dis à mon ami avec qui je partageais la chambre que je l'occuperais pour un moment ce soir, oui le 1er soir déjà.

La porte entrouverte, j'entrai et là je la vis, elle attendait assise sur le lit, mais se leva et se dirigea vers moi. Je refermai la porte  aussitôt, il était 2 heures du matin. Je commençais à l'embrasser, mêlant ça langue à la mienne, la projeté d'un petit coup sec sur le mur, en lui agrippant la tête pour qu'elle ne se blesse pas, tout en lui capturant sa chevelure, sans perdre ses lèvres. Puis me sentant inspiré, je la soulevai, ainsi elle emmêla ses jambes sur ma taille, puis je la posa sur le lit, délicatement.

Nous commencions à nous déshabiller l'un l'autre, je lui embrassai le coup, puis redescendais lentement, tout en posant ma langue sur sa peau, de la nuque à sa généreuse poitrine. Dont aussitôt je commençais à embrasser. En même temps, je posai une de mes mains sur l'une de ses fesses. Et l'autre main, je la posai sur l'autre sein. À cet instant la leçon de Michelle à Jim dans Américain Pie me vint à l'esprit. La leçon où elle apprit à Jim à tripoter les seins d'une femme. Je fis de même et cela sembler marcher. Elle aima. Puis je la sentis, entrepreneuse, elle prit les choses en main. Tout en me caressant le visage, elle recula de quelques centimètres et pris mon sexe en main. Mon dieu, elle y allait trop fort, j'ai bien cru qu'elle allait me le casser. Mais aussitôt elle se repris en ralentissant, tout en posant sa langue sur le bout de mon pénis circoncit. L'air qu'elle expira avant d'y poser sa langue avait fait tressaillir Ernizio. Une manière de faire assez douce, sensuelle, mais sans plus, j'apprécia. Le soucis étant qu'Ernizio ne voulait pas lâcher sa semence. Je lui proposai donc de passer à la suite. Toujours protéger bien sur, je m'armai d'un préservatif King Size de mon ami, à ce moment j'eu peur que cela soit trop grand pour moi. Mais non, c'était la taille parfaite.

C'est alors que je me transformai en gladiateur, c'était la première fois que je voyais cette fille, nous allions partager notre corps, nous allions nous noyer dans notre désir corporel réciproque, nous consommer tel un produit, nous donner l'un l'autre. Je ne pensais donc qu'à donner une belle image du Made in France, ce soir j'y allais à fond !

Elle reprit mon sexe en main, et déposa sa délicate verge dessus, une pénétration assez lente, j'eu le temps d'apercevoir son visage s'exalter, exprimant le plaisir qu'elle ressentait. Mais je n'attendis pas plus longtemps pour la retourner aussitôt, lui griffant le dos, et la pénétrant à plusieurs reprises. Il me fallait être créatif et faire en sorte qu'elle n'oublie jamais cette nuit. Je la retournais alors aussitôt, puis lui pris la taille, et je me mis en position fleur du lotus. Lui pris ses 2 fesses, tout en exerçant le va et viens, telle une chanson populaire ! Mais bref de plaisanterie, j'allais exercer une nouvelle position pour la première fois, je me leva ! J'étais debout et il n'y avait qu'Ernizio qui la tenait. Ce dernier pénétra les profondeurs de sa verge, elle me regarda aussitôt, d'un air complètement jouissif, elle était étonné, et l'air qu'elle expira sur mon visage, comme un dernier souffle, me rendit tel un prédateur qui avait abattu sa proie. Mais il était difficile de tenir cette position. Quelques minutes après j'ai dû nous reposer sur le lit. Sans abandonner je me leva tout en la prenant avec moi.  D'un coup de main, je retirais tout ce qui se trouvé sur le bureau, la posa par dessus, et d'un coup violent, je la pris en levrette. Elle ne comprenait pas ce qui se passait, tout allait si vite, mais son visage témoignait du plaisir qu'elle partageait à mes côtés. Tout en respirant profondément, je continuais tel un guerrier qui dansait avec son épée dans le champs de guerre.

Et ce fût à ce moment ou je vis un chapeau de touriste qui était resté sur la table, je le mis alors, et me sentis comme un cow-boy qui chevaucha son cheval. Par chance il y'avait un miroir accroché devant le bureau, je pus me voir dans ma grande gloire. Là il était temps de l'achever, de lui asséner le coup final, de tuer le roi. Je la posai dos sur le lit, lui pris ses lisses jambes, que je posa sur mes épaules, et laissa replonger Ernizio dans son petit vagin à l'allure si douce. Puis d'un coup lui croisa les jambes, ça lui resserrait le vagin, et bien sur lui procura plus de plaisir par la pénétration d'Ernizio. À ce moment, elle me transporta au Paradis, je commençais à sentir des resserrements de ses muscles du plancher pelviennes , contractions vaginales ! Enrizio se sentait serré, mais quel plaisir, que me faisait-elle là ? Était-ce fait exprès ? Qu'est ce qui se passait, je n'avais pas connaissance de cela. Était-ce cela qu'on appelait jouir pour une femme ? Lui avais-je donné accès à l'orgasme ? C'est une véritable déesse. Je me mis à jouir puissamment et elle se mit à jouir de mon prénom. Lui avais-je dis mon prénom ? Je ne me souviens plus. Mais moi, connaissais-je son prénom ? Non je ne le connaissais pas, cela veut-il alors dire que j'étais entrain de donner de mon corps à une femme dont je ne connaissais même pas le prénom ? Oui, c'était ça ! Et quand j'avais compris ça, un large sourire se fixa sur mon visage, je me sentis comme Dieu, je fis l'amour à une femme dont je ne connaissais même pas le prénom, mais quelle folie !

À un problème près, cela va tout de même faire un moment, et je n'avais pas remarqué que monsieur ne projeta toujours pas sa semence. Ernizio était-il malade ? Cela était surement dû au fait que j'étais saoul. Mais tant pis, j'y allas à fond pour essayer de brûler les derniers désirs passionnels que nous avions éveillé. Nous suons tous les 2, nos peaux glissées l'une contre l'autre, je ne savais plus si j'étais elle, ou si elle était moi, nous ne faisions plus qu'un, c'était la même personne qui jouissait, nous formions comme le disait Aristophane, l'être originel, 4 bras, 2 têtes, 4 jambes, le 7ème ciel, l'unicité ? Puis je tombis de fatigue. Nous nous regardions tous les 2, sans dire un mot, tout en pensant la même chose, it was amazing.

Cependant, j'avais oublié mon ami qui partageait la chambre avec moi, je consultais alors mon smartphone, 12 messages, dont 100% étant des insultes. Je regarde l'heure et il est 4H47, mon dieu, aurions-nous fait l'amour durant 2 heures et 47 minutes ?

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