Le jeu de mon frère

[Nero] Black Word

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Je ne comprenais pas. Même si j'aime la campagne, je ne comprenais pas pourquoi mon grand frère avait insisté pour nous emmener en ballade. En plus c'était l'automne, la température commençait à chuter et il n'y avait rien ni personne à voir.


Ses arguments étaient que l'on commençait à s'ennuyer dans cette maison, que nos parents étaient allés faire des courses, que le grand-père voulait être au calme pour regarder son match et, ce qui a fini par nous motiver, qu'il voulait nous emmener faire un jeu qui allait nous plaire.


Il aurait appris ce jeu pendant ses dernières vacances avec un groupe d'amis, mais refusait de nous en dire plus. Nous le suivions moi et Anaïs, une amie que je connais depuis tout petit et avec qui j'ai fini par être très proche.


Mon grand frère nous fit traverser un champ et nous amena dans un petit bois. Anaïs me suivait en me tenant la main, elle ne portait qu'une paire de baskets rouges, un pull en laine et une jupe. Je ne pouvais pas m'empêcher de la regarder, elle le savait, elle me souriait à chaque fois. Mon aîné semblait aussi beaucoup la regarder, elle lui souriait aussi.


Cette marche dura presque un quart d'heure où je demandais à mon frère où il nous emmenait ou quand allions-nous arriver. Il resta vague dans ces réponses, nous répétant « Ça va vous plaire. » en souriant. Il nous amena jusqu'à un petit terrain dégagé entre les arbres. Ce coin avait déjà dû être utilisé par des campeurs, un feu avait été fait au centre.


Anaïs et moi trouvions place sur le sol humide, elle plia ses jambes pour que le dessous de ça jupe ne se voie pas. Lui s'assit face à nous et sortit la flasque métallique que notre grand-père lui avait offerte, il but une gorgée avant de nous en proposer. Je refusais, n'aimant pas le goût de son alcool, mais Anaïs en prit une bonne gorgée. Elle toussa au début mais en repris une autre juste après.


Mon grand frère nous raconta ses vacances, les soirées à la plage, les baignades dans le lac, des filles qu'il avait rencontrées. Il demanda à Anaïs si elle avait déjà fait quelques choses avec un garçon.


« Non.

- Pourquoi ? Tu n'aimerais pas ?

- C'est que… je n'ai pas trouvé le bon.

- Mais tu sais comment ça marche ?

- Oui, j'ai surpris mes parents une fois.

- Raconte-nous ça. »


Elle nous expliqua qu'un soir elle était passée devant la porte de la chambre de ses parents légèrement ouverte. Sa mère était à quatre pattes sur le lit, que son père faisait des vas et viens derrière elle. Anaïs y avait repensé en retournant se coucher, elle ne l'avait encore jamais fait mais se demandait si un garçon la prendrait aussi bien pour lui donner du plaisir. J'étais un peu gêné en entendant ça.


Je changeais de sujet en rappelant à mon frère qu'il devait nous montrer son fameux jeu. Il me dit que je risquais de ne pas avoir le courage de jouer. Je le fixais en lui disant que je n'avais pas peur, espérant impressionner Anaïs. Il me tendit sa flasque et me mit au défi d'en boire trois gorgées sans tout recracher.


Je n'avais touché qu'une seule fois à l'alcool, au dernier anniversaire de notre père, mais je ne voulais pas que Anaïs me prenne pour un froussard. Je pris la flasque de la main de mon frère et bus les trois gorgées, j'ai lutté mais j'ai fini par recracher son bourbon en toussant. Il me tapota affectueusement l'épaule. «  Même moi je n'arrive pas à boire ce bourbon sans tousser petit frère. »


Anaïs riait, je la regardais en essuyant ma bouche. Elle me sourit agréablement avant de se tourner vers mon aîné. « Alors, c'est quoi ton jeu ? »


Il lui demanda comment elle me trouvait. Elle rougit un peu à la question mais répondu avec entrain qu'elle me trouvait très mignon. Il lui demanda comment elle le trouvait lui, elle répondit « Super beau gosse. » en rigolant. Il se tourna vers moi.


« Et toi, comment tu la trouves ? » Complètement gêné, je réussis à dire que je la trouvais belle, plus belle que toutes les autres filles. Elle souriait comme un ange à ces mots.


Mon frère demanda à Anaïs si elle avait déjà touché son corps en pensant à ce qui lui plairait, elle avoua un peu timide qu'elle s'était déjà caressée. Elle avait passé ses mains sur son cou en imaginant un garçon l'embrasser à cet endroit, elle s'était imaginée des baisés sur sa poitrine, sur son ventre, entre ses cuisses. Elle ajouta même qu'elle avait déjà mis deux doigts en elle dans son lit, sous la douche, quand elle était seule chez elle.


Je l'écoutais attentivement, au point d'être surpris d'avoir une bosse dans le pantalon. Ils l'avaient remarqué. Mon grand frère lui demanda si elle avait envie de ressentir le même plaisir que sa mère, sans décrocher ses yeux de mon érection que je cachais avec mes mains, elle lui répondit que oui. Il se tourna vers moi et me demanda si je me sentais capable de le faire.


Intimidé je n'osais dire un mot. Après un instant mon frère se mit à genoux et déboutonna son jean, il en sortit un sexe raide et imposant qui captiva l'attention de Anaïs. Il prit sa main et la posa sur son membre qu'elle commença à caresser. D'abord timide mais rapidement motivée, moins maladroite dans ses gestes. Il lui dit de se mettre à quatre pattes.


Elle se mit en position sans décrocher ses yeux de mon frère. Il releva sa robe, enleva sa culotte, passa ses mains sur ses cuisses et ses fesses, avant de glisser un doigt sur sa fente, elle frissonna. Il montait jusqu'en haut, retomba en bas, passa même derrière. Son visage s'approcha et sa langue vint continuer. Elle fermait les yeux, ses soupirs étaient tremblants, elle lui murmura de continuer.


Il passa sa langue dans sa fente, sur son bouton, entre ses fesses, fit glisser deux doigts en elle. Il se releva et colla son gland contre son sexe, la caressant avec. Elle se mordait les lèvres. « Vas-y… fais-le. »


Il commença à entrer en elle, lentement. D'abord la partie ronde et lisse. Il commença à entrer et ressortir, s'enfonçant encore un peu plus, jusqu'à entrer entièrement. Anaïs poussa un cri de douleur qui me fit sursauter, mon frère attendit avant de continuer. La douleur laissa place au plaisir.


Elle me regarda, puis regarda ma bosse. Mon grand frère me regarde et me dit « Ne reste pas planté la comme une mauviette, approche-toi d'elle et montre lui ce que tu as la dessous. » La regardant, je me mis à genoux devant elle et baissa mon pantalon, elle me caressa avec dextérité avant d'y mettre sa bouche.


Malgré les coups de reins de mon frère qui la faisait bouger, elle réussit à la mettre presque entièrement dans sa bouche, tournant sa langue au bout, laissa glisser ses lèvres tout le long, fit de même avec sa langue. J'écartais un peu les jambes, sentant sa langue et sa bouche sur moi, écoutant ses gémissements étouffés. J'avais chaud, ainsi qu'une drôle de sensation dans le bas du ventre, comme une pression sur le point de lâcher.


Je finis par me retirer brusquement avant de pousser mon frère, il chuta en arrière. Je pris sa place, entra dans la fente, m'agrippa aux hanches et fit comme lui. Anaïs cria plus fort, s'appuya sur une main et mit l'autre sur la mienne. Elle me demanda d'y aller plus fort. Mes allers et retours étaient rapides et brusques, mais elle semblait aimer.


L'explosion que je redoutais finit par arriver, elle hurla une dernière fois en même temps que moi.


Assis et fatigué, je finis par regarder mon frère. Il était allongé, la main sur son sexe à présent tout mou, dégoulinant de sa semence. Il se rhabilla et me regarda avec fierté, me disant en riant que j'étais à présent un homme et que j'avais bien mérité ma femme. Anaïs s'approcha de moi, elle m'embrassa chaleureusement, me serra tout contre elle, me dit à l'oreille un tendre « Je t'aime! »


Mon grand frère se leva et nous regarda ému et amusé. « Je vous avais dit que ce jeu vous plairait. »


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