Eros rouge et or ...

Quand Olivier et Marie font de la poésie … Surréaliste ? 

- Et j'ai cru reconnaitre le désert et ses vents chauds quand tu me donnais ton cul. Viens ne sois pas farouche, les hommes tu sais, ça nage dans des eaux qu'il te faut essayer de comprendre

Jetée en pleine lumière par ton regard de découvreur, tu avais bien vu les ailes repliées sous la coquille rouge.

- Dis tu ne voudrais pas la garder encore un peu ta coccinelle ? Je vole moins bien quand ton haleine sucrée ne souffle plus le vent.

- Je pourrai prendre des photos de tes courbes rouges, à l'automne flamboyant ? Mon essieu dans ta roue, ça tournera fort, ensuite tu partiras pour que je me délecte de cette partie de toi sans ton regard de fouineuse.

- Et si je veux coller moi à tes brins d'herbe dans les cheveux ? Tu irais jusqu'à me foutre dehors ? 

- Tu veux voir la fin avant que je te grignote, ferme ta belle bouche et enlève ta culotte.

- Et si je gardais tout, toi, moi et même ma culotte ?

- Prends ce que je te donne et arrête de parler, réfléchis au bonheur quand je te fouille un peu.

- Oui mais moi je te résiste si mal, ne voudrais-tu pas que j'arrête mes rechutes, et que je sois clean de tous désirs de toi.

- Fais ce que tu veux, tu es libre de tout Jolie Marie même de nous priver de chat.

- Et si le désir que je vois dans tes yeux était mieux que tous les blablas ? Ferme ton coffre ma belle, et montre-moi tes bas

- J'ai dessiné sur mes jambes des routes secondaires pour que tu te perdes un peu

- Virons les meutes dans les bois et retrouvons nous à la lisière entre clairière émoi, à l'effraction de lumière où les surgissements font les photos de toi.