Excuses
elisabetha
réflexion solitaire sur la vie
Excusez du trop, excusez du peu, excusez du mal de vivre et de la folie des hommes. Excusez de ne pas être plus exigeante avec vous et trop peu avec moi même.
Excusez de perdre pour les autres, excusez ceux qui gagnent, excusez ceux qui sont heureux quand vous ne l'êtes pas.
Excusez le temps de nous faire vieillir, de nous faire mourir. Et nous, cherchant à vivre avec feu, avec jeu, avec joie.
Excusez le cœur de battre toujours trop pour une symphonie des corps.
Excusez les mots quand ils ne s'adressent à personne, la générosité si elle est bafouée, le rêve s'il a échoué. Excusez tout et n'excusez rien. Il en sera de même.
Alors choisissez votre vie et ne laissez pas la vie choisir pour vous..
je ne dirais pas la vie est jouissance mais la vie est l'envie du bonheur et non le bonheur. Je suis révoltée contre la différence de destins entre les gens et le mépris le plus souvent des riches contre ceux qui ne le sont pas.
· Il y a environ 11 ans ·elisabetha
La vie est jouissance jusqu'à la mort! Le temps lui, n'a pas prise sur le cœur. Il ne faut rien lui excuser, l'essentiel c'est l'amour! Que de doutes et de rancœurs dans ces mots émouvants Elisabetha!
· Il y a environ 11 ans ·Colette Bonnet Seigue
Merci gwen pour ton cdc. C'est la seule façon hélas d'avoir de nouveaux lecteurs, et de rester plus longtemps dans la visibilité. Encore qu'il ne faut pas trop tarder si on veut s'en rendre compte. Il y a eu un avant qui m'a totalement échappé.
· Il y a environ 11 ans ·elisabetha
Cher Patrice
· Il y a environ 11 ans ·je viens de voir sur mon email que tu as eu un cdc pour mon texte, ce qui explique le nombre de lecteurs. Mais quand je suis allée voir, je n'étais même plus en publication. c'est vraiment étrange. J'ai mis mon texte, et une heure après je suis allée voir, et je n'étais plus nulle part. ça fait un drôle d'effet
elisabetha
merci Paul pour ton très beau commentaire. Ce texte est ancien et justement c'est vers la quarantaine que j'ai été le plus interpellée par l'injustice dans la condition humaine. A quoi j'ajouterais le dégoût définitif devant la cupidité humaine.(la "saleté de l'argent").
· Il y a environ 11 ans ·elisabetha
Bonsoir Élisabetha,
· Il y a environ 11 ans ·Un texte empli de rancœur et de mélancolie !
La vie est ainsi, et c'est avec la paix de l'âme qu'il faut la vivre et avec la joie du coeur qu'il faut la croquer.
4/5.
À bientôt de te lire.
Bien amicalement.
Paul Stendhal
Paul Stendhal