On laisse son numéro de téléphone, après tout je suis seule , il l'est aussi et puis il n'a aucune obligation de le prendre et de m'appeler… Le temps fait qu'on peut croire mourir d'impatience d'avoir une réponse à son dernier message, occupée par sa vie changeante,
occupée par le travail, occupée et impatiente comme à mon premier rendez-vous amoureux parce que j'avais envie de cette « histoire »,
envie de savoir si l'alchimie engendrée par les mots se transformerait en aventure romantique, érotique, complice… Apeurée, ou n'y croyant plus, je me réfugie dans ma tour, pensant m'abriter, me protéger, pauvre idiote désemparée, me mettant à l'abri des vagues érotiques qui se déversent.
Et puis, j'ai ressorti mes mains des tiroirs, les laissant ouverts, j'ai retrouvé l'usage de mes deux mains, avides de transcrire à nouveau mes émotions…
Ça finit quand même pas trop mal... A l'abri des vagues, on se retrouve quand même souvent les pieds mouillés non?... J'aime bien votre façon de dire tout ça, en tous cas.
touchante nostalgie
· Il y a environ 4 ans ·ellaine
Ça finit quand même pas trop mal... A l'abri des vagues, on se retrouve quand même souvent les pieds mouillés non?... J'aime bien votre façon de dire tout ça, en tous cas.
· Il y a environ 4 ans ·heisenberg