Gerfauts de Gama

ezio-shulsky

Lames idéalismes Larmes

Aéronefs floutant leur esthétisme océanique

Vous qui froissiez les Epopées Ô antan calames,

Trémateurs tigrés d'hellénistiques

Epoumonades salines

Vos barbes désarmées, bouffissures nautiles,

Rubis la Perse chatoient pupilles

Cernent en gangues immenses l'hubris infectée

De vos mats telluriques

Efflanque zefs et alanguis la joule du,  Soleil

Claquoir, luminescente, d'ombres

Eclaboussures, de seins teutoniques,

Frisolis,

Fulminantes sanguinolences,

Ambitieuses chimères

Voûtes allanguies,

Palais de l'âme demoiselle halées

De lyres hauturières

Encordées à la Sylphe aile

Choquez tessons d’allées en Sylves , Ciel ( le

Pont principal, trempé de fatigue, miroitait mollement le Zénith

Fébrile, ses cordages dépeçaient la jeune peau des limbes)

Galbé de jeunes boiseries de veinules vergers ,

Le fumato pralinées de soie absinthées se défenestraient

Baroquement des cales de Madame pour s’agraviter

Motiles roulis ( le fumé d’arrogance empoussiérait la foi

Alimentaire de la vierge ) en ballotements, évidant

La langueur moite des glapissements rougeâtres

Nués sur le levant fardé de sa vierge évanescence matinale.

Sa paupière s'évanouit, le faste

Tressauta d'une rauque ardeur

L'ensemble tonna d'écume , milliasses maintes,

Exhalaisons d'insoupçon.

De spasmes inavoués en renovatios

décadents, le monde lui hurla le coeur

qui se teinta alors d’une fresque des plus

chamarrées.

Puis dans une lourde et imperceptible

Dessalaison pourfendeuse,

La horde de bipèdes, Docile Suite de sa Dame, peinturlura

de leurs prières griffantes, la cahote

stratosphérique, et les horizons,

Obscures chambres, impressionnistes démiurges,

les pochèrent sur l'azur.

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