Hooney Blues
Cédric Yali
Bien nous en prenne de vivre car nul ne pourra nous excuser l'absence de l'essence de vie que nous avons laissé échapper. La longueur de nos vertige amoureux et puis le silence... Tout est question d'amour. De son absence à sa présence. On pourrai discuter de ses vertus et de ses vices pendant des millénaires sans jamais s'ennuyer mais cela servirai à quoi ? Dans le fond de notre coeur et dans le fond de notre personnes ,nous connaissons l'amour. Et même les gens qui l'ont pas connu. Pas d'optimisme béant juste une prose soutenu sur nos égarements pur face à nos combats. Aimes moi mais hais moi. La réflexion des sens qui partent dans n'importe quels sens sans nous offrir le moindre sens. Je n'y pas mis d'essence mais ma vie coulent. Je peux perdre mais ne me lasse jamais d'être. Ça fait peur d'être. On veut ? Mais quoi à la fin ? Puisque rien ne nous satisfait... Si ce n'est le néant aride des jours qu'on a pas vécu. Si on vous le demande j'ai jamais rien écrit, mais si vous le voulez, vous pouvez mentir et dire que je fus poète dans mes rêves. Que rien ne me fit mal. Que je vécus comme un homme et mourût comme une femme. Le ciel est trop petit et la terre n'est pas assez grand pour gâcher nos ressentie alors forçons-nous un peu à ne pas trop se masturber intellectuellement et à vivre la vie avec tous l'enfer de la situation et tous le paradis des instants d'illusions.
Nous ne pouvons pas empêcher notre cerveau de se masturber mais nous suivons, malgré nous, le courant de la vie avec son paradis et son enfer ! Nous vivons !
· Il y a presque 9 ans ·Test très réaliste !
Louve