Je ne t'aime plus.

C'est arrivé brutalement, ou peut être tout doucement. 

Tu as commencé par m'énerver, et de plus en plus longtemps. 

Petit à petit, tu as arrêté de me manquer, je n'avais plus de manque, plus de trou béant dans ma poitrine. 

Tes appels, tes messages, ne représentaient plus la joie qu'ils me procuraient avant. 

Te voir ne me faisait ni chaud ni froid. 

Puis tu as finis par me dégouter de toi, de tes paroles, de tes envies de moi que tu me balançais au visage. 

J'ai eu envie de vomir parfois, j'étais stressée.

Aujourd'hui, tu m'écoeures avec ta vie bien rangée et tes frasques de cruauté. 

T'es qu'un connard, de ceux qu'on aime parce qu'ils sont gentils et qui se révèlent être les pires salauds. 

Au revoir...