Joyeux anniversaire grand frère

[Nero] Black Word

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J'y avais repensé toute la matinée.


Hier mon grand frère avait fêté ses 18 ans. Notre père avait été fier de sortir une de ses meilleures bouteilles de vin qu'il avait gardé pour l'occasion, quand à ma mère elle s'était démenée pour lui faire son gâteau préféré. Quant à moi je lui avais offert une bague en argent, à défaut d'avoir trouvé mieux.


La soirée avait commencé avec une surprise générale, quand mon frère avait ramené une fille appelée Elodie pour ce diner d'anniversaire. Une jolie blonde que je trouvais un peu cruche. Mais je n'arrivais pas à comprendre pourquoi il l'avait ramené, ni pourquoi cela me déplaisais autant. Quand je lui avais offert mon cadeau, elle s'était moquée de moi.


"Tu demandes ton frère en mariage ? Je comprends, il est tellement mignon."


J'étais rouge de honte et de colère. J'avais envie de lui dire de fermer sa grande bouche et de garder ses foutues lèvres pulpeuses collées l'une à l'autre, j'étais tellement énervée qu'une larme commença à couler sur ma joue. Mais mon frère se pencha sur moi et essuya ma larme salée avec sa main avant de me murmurer quelques mots à l'oreille.


"Ne l'écoute pas, c'est un très joli cadeau. Merci petite sœur."


Il me serra dans ses bras et m'embrassa sur la joue pour me remercier. J'ai toujours aimé être dans ses bras, mon grand frère. Je ne sais pas s'il l'avait fait exprès mais ses lèvres avaient effleuré les miennes pendant son bisou, mais j'en voulais déjà un autre. Et je voulais lui en faire moi aussi, embrasser ses joues en me cramponnant à son cou.


Le diner se passa rapidement et, mis à part la blonde qui avait caressé le haut de la jambe de mon frère alors que j'étais en face et qu'il s'était embrassé sans retenue, tout s'était bien passé. J'avais eu le droit exceptionnellement de boire un peut de vin, ma mère était surprise par la vitesse à laquelle je vidais mes verres.


"Doucement ma chérie, tu vas avoir la tête qui tourne.

- Ca va maman, je ne suis plus une enfant. J'ai grandis. J'ai même des seins."


Cette réponse m'avais complètement échappé. Ma mère parut choquée mais mon père et mon frère s'étouffèrent de rire. Honteuse, je fini par sourire. Maman me l'avait bien dit, ma tête commençait à me tourner.


À la fin du diner, nos parents étaient montés dans leur chambre. Mon frère et sa blondasse de chérie s'étaient attardés sur le canapé pour se bécoter. Moi j'ai préféré aller dans la salle de bain me rafraîchir.


Je me passais de l'eau sur le visage et me regardais dans la glace pour réfléchir. Je me demandais pourquoi est-ce que j'étais aussi jalouse d'elle. Mais rapidement la réponse me vint, elle, elle pouvait passer tout son temps dans les bras de mon frère. Moi aussi je voulais y être, moi aussi je voulais l'embrasser.


Je fus surpris de penser à de telle chose, c'était sans doute le vin. Ces idées ne me viendraient jamais en tête sinon. Moi glissé ma langue dans la bouche de mon frère. Je repasse de l'eau sur mon visage, passant bien mes mains sur mes yeux, avant de ressortir.


Personne. Le salon est vide. Mon aîné est-il dans sa chambre avec sa blonde ?


J'avance discrètement jusqu'à l'entrée de sa chambre, le pas silencieux et l'oreille tendue comme un chat. J'entends des bruits, la voix de la blonde. Arrivant devant la porte les voix me semblent plus nettes et un frisson de parcourra l'échine, la blonde était en train de gémir.


Ma main attrapa toute seule la poignée de porte et, le plus discrètement possible, l'ouvrit. Ils étaient dans le lit. Mon frère était sur elle, il embrassait sa poitrine pendant qu'elle écartait bien grand ses jambes. Elle gémit pendant que mon frère la baise, s'agrippant à lui de toutes ses forces. Je ne pouvais pas décrocher mon regard.


Je fini par sentir quelque chose d'humide entre mes cuisses. Surprise, je déboutonne mon jean et glisse ma main dans ma culotte. Elle était complètement mouillée. Mes doigts passèrent sur les lèvres de mon sexe, un frisson d'excitation me parcourait quand je continuais.


Je sentais que mon corps se réchauffait, surtout au niveau de mon bassin. Mes doigts passèrent et repassèrent sur mes lèvres lissent avant de les écarter. Elles se glissèrent en moi et une explosion de désir se fit ressentir, mes mâchoires ce refermèrent d'un coup sec pour garder prisonnier un gémissement sur le point de trahir ma présence.


Je m'éclipsais silencieusement dans ma chambre et, à peine avais-je fermé la porte que je me déshabillais complètement avant de me cacher sous ma couette. En tendant l'oreille j'entendais encore ces gémissements, j'imaginais mon frère copulant avec cette blondasse.


Mes doigts retournèrent lentement là où ils étaient allés. Ils écartèrent le voile en chair de ma pudeur et s'engouffrèrent à nouveau dans ma chatte béante et humide. Les muscles de mes jambes se contractèrent, mon autre main passa sur ma hanche et remonta sur mon sein. Elle se mit à presser mon téton pendant que sa jumelle faisait des vas et viens en moi.


Je mordis mon oreiller de toutes mes forces pour atténuer le son de mon plaisir. Mes doigts s'agitèrent dans ma chatte comme des démons, me faisant mouiller davantage. Toute cette cyprine s'écoule jusqu'à mes fesses, les goutes me chatouille et me font me dandiner. Je gémis, je gémis fort dans mon oreiller.


Mon pouce se pose sur mon petit bouton tout excité lui aussi, il commence à le caresser, à l'écraser, à le frotter fort. Mon corps devient chaud. Mes pieds, mes jambes et mon dos s'agitent, emporter par ce plaisir. Je pince plus fort mon téton, j'accélère mes doigts. Ma bouche finie par s'ouvrir en grand, laissant échapper un profond cri de plaisir.


Etendue dans mon lit, je n'ose plus bouger. Retenant ma respiration, guettant les bruits qui m'entourent, me demandant si quelqu'un m'a entendu. Je retire lentement mes doigts. Je fini par fermer mes yeux, prête à m'endormir.


Le bruit d'une poignée de porte qui s'ouvre me fait sursauter. Mon cœur battant à percer ma poitrine, j'entends la porte de ma chambre s'ouvrir. Mon frère se tenait à son entrer, complètement nue et en érection. Sans dire un mot il referma la porte, vint s'allonger dans mon lit et me prit dans ses bras.


J'étais gênée de me retrouver tout contre lui, surtout après l'avoir regarder faire des galipettes avec sa gonzesse et de m'être ainsi touché par la suite. Mon drap en était déjà mouillé.


Il plongea son regard dans le mien, dans mes yeux intimidés. J'étais un peut tremblante, je n'osais rien faire. Ma bouche essaya de formuler des mots, en vint. Il me souriait et, bêtement, je fis de même. Il me serra plus fort contre lui, je me blotti d'avantage contre son torse chaleureux.


C'est en sentant la chaleur de son torse, son odeur, ses mains contre mon dos, sa queue en érection contre ma jambe, que la température de mon vagin remonta et qu'il laissa encore de la mouille s'écouler de ses lèvres. J'étais paralysée, ne sachant plus quoi faire. Mon corps était rempli de désir mais comment le lui faire comprendre…


Je fini par pauser ma main sur son torse et à la faire glisser jusqu'à son pénis, il était dur. Instinctivement et maladroitement, je le caressais. Quand il bougea, je me demandais comment il allait réagir. Il passa sa main derrière ma tête et, d'un coup, enfonça sa langue dans ma bouche.


Elle commence à se frotter à la mienne. Nos salives se mélangent enfin. Enfin je peux gouter à cette langue et la blottir contre la mienne, enfin je peux embrasser ses lèvres qui me faisaient tant rêver. Sa langue, il la passe sur mes lèvres. Un filet de bave se tend entre nos deux bouches à présent séparées.


Sans dire un mot, il sort du lit et se poste devant moi. Sa grosse saucisse pointe directement mon visage. En la regardant, je remarque que ma bouche est encore ouverte. Il attrape ma tête et y engouffre son sexe. Le regardant avec des yeux innocents, je le laisse faire.


Il commence par faire de petit va et vient et s'enfonce un peut plus à chaque voyage. M'aidant d'un bras pour me tenir devant lui, je passe ma main encore libre  sur sa hanche. Ma langue affamée se colle à sa lance à chacune de ses visites. Il fini par la faire passer dans ma gorge.


Je suis surprise de ressentir du plaisir dans une telle situation, j'en viens à en réclamer plus, tirant sur sa hanche pour l'encourager à venir. Il finit par l'engouffrer jusqu'à ce que ses poils pubiens me chatouillent le nez. Me tenant fermement il continue ses entrées et sorties, je fais de mon mieux pour lui laisser le chemin libre.


Ma vulve déborde de mouille, elle est devenue aussi affamé que la bouche. Ma main qui soutenait mon frère est à présent partie s'occuper d'elle. Mes doigts se démenaient en moi, se frottant à mes parois, faisant des vas et viens au même rythme que mon frère.


Il retira sa queue dégoulinante de salive et frotta son gland tout enfler contre mes lèvres. Je l'embrassais, le triture, le suce avec passion, passant ma langue dessus, la faisant tourner, désirant la reprendre. Il me regardait, moi, mes yeux suppliants, mon attitude affamée.


Enfin il consent à me la rendre, à la faire de nouveau entrer. Je la lèche comme je peux pendant qu'elle s'engouffre dans ma gorge, avalant ma salive et le caressant avec mes lèvres. Mes doigts s'activent davantage et un intense plaisir vient à monté en flèche dans mon cocon. Mon frère commence à gémir, je le regarde et m'acharne davantage sur ma chatte comme lui dans ma bouche.


Après quelques secondes, je finis par jouir. Mais mon cri est étouffé par le jus que mon frère fait couler directement dans mon ventre. Lui me regarde en gémissant de sa voix grave entre ses dents.


Se retirant, laissant voir son sexe qui rétrécit, il me dépose un petit bisou sur le front avant de me dire un dernier mot.


"Merci pour cet anniversaire, je ne l'oublierais pas. Dors bien."


Et il repartit comme il était venu, retournant dans sa chambre dormir avec l'autre blonde.


Je m'étendis, épuisé. Je sentais la fraîcheur de mon lit souillé par la cyprine. Pensant toujours à mon frère, finalement heureuse de cette visite, je finis par m'endormir.


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