KALEIDOSCOPE
crapaude13
CLIP KALEIDOSCOPE « L’AMOUR EST LAID »
DECORS/ TRAME DE L’HISTOIRE :
1) Guillaume Grand, assis, seul avec sa guitare, chante sa chanson, tourné vers l’horizon (l’avenir) : De préférence, un endroit surplombant un paysage/ une étendue, au bout d’un chemin (ex : jetée sur la mer, banc au bord d’un lac…etc)
Symbolique = arrivée à l’âge adulte, à la croisée des chemins, attente d’un rendez-vous avec son destin.
2) Parcours de l’enfant (Guillaume petit, en couleurs) dans deux ou trois différents décors (en noir et blanc, se colorisant au passage du kaléidoscope) à l’aide d’un kaléidoscope:
a) à l’intérieur, est témoin des disputes conjugales des « grands ». Cherche à s’évader en dirigeant son kaléidoscope vers la fenêtre/ porte d’où il perçoit un monde en couleurs
b) sort ainsi du 1er décor (a) pour s’enfuir dans la rue/ métro où il croise des hommes et femmes pressés, en costume : le passage du kaléidoscope sur ces gens leur rend le sourire.
Après 1 première désillusion, prend un taxi.
c) en voiture/ taxi/ bus : regard triste, pleure mais le kaléidoscope transforme les buildings en grands espaces verts.
Symbolique : Le clip souligne la solitude de l’enfant dans un monde de plus en plus individualiste et pouvant parfois être perçu comme violent. L’enfant s’en sort grâce au kaléidoscope qu’il partage avec les gens qu’il rencontre sur son chemin et qui a le pouvoir de changer sa vision des choses (réalise ses souhaits, lui fait voir ce à quoi il aspire) et de voir le monde en couleurs. Il communique ainsi et partage sa joie de vivre.
d) A la fin du clip : l’enfant rejoint Guillaume Grand et lui donne le kaléidoscope pour scruter l’horizon.
Symbolique : Continuer à voir la vie avec des yeux d’enfants permet d’avancer et le bonheur/ l’amour est fait pour être partagé, c’est ce qui rend les gens vivants. Au contraire, l’égoïsme, l’individualisme, la jalousie sclérose et atrophie les gens, les rend fades et tristes (noir et blanc).
Le kaléidoscope symbolique la part d’innocence qu’on garde tous inconsciemment en nous.
MONTAGE :
1er refrain : caméra tourne autour de guillaume puis s’éloigne/ même mouvement autour de l’enfant.
1er couplet : alternance de décor 1) et 2)a)
« dire oui à tous, à tous » : sortie du décor a)
Refrain : 2) b) course à travers la foule (enfant en couleurs qui contraste avec le décor en noir et blanc)
2nd couplet : gros plans sur certains personnages qui se transforment sous l’œil du kaleidoscope.
Refrain : décor 2) c) trajet en voiture, alternance de plans sur le visage de l’enfant entre ombres et lumières et la vision du kaléidoscope (qui devient de + en + verte au fur et à mesure qu’on s’éloigne de la ville.
3eme couplet : flashback sur les images « sombres » des décors 2) a et b (dispute des parents, individualisme des adultes, images des infos (libres de droit) etc) en alternance/ accéléré avec celle de l’enfant qui court comme si finalement, c’était cette triste réalité là qu’il cherchait à fuir.
Refrain (X2) : arrivée à la destination (plan sur les pieds, descente de voiture) puis suit les pas de l’enfant jusqu’à guillaume. Zoom final sur le kaleidoscope et l’œil de guillaume.