La vue en haut de l'arbre
Nicolas Madert
Le temps se lève
pendant que l'écran s'éveil
Je vend mes veines
pensant L'échange pépere
Pourquoi L'élan d'mes vers
M'foudroie des le réveil
J'vous dois rien bien au contraire
Je suis fou d'rage et le proverbe veux que les forts s'élèvent
Depuis tout à changé-mais j'opère que Les maux de têtes de ton veaucer tout arrangé
Je fuis le mou challenge que les autres frères qui pour notre aire, nous ont lancé,
le défis de faire,
Défiler les yeufs
Épiés des keufs
Désiré des meufs-Devils et des moeurs de vieille
fait gaffe à tes soeurs
À ses seulfs, j'épate
Qu'à des heures trés tard
À des jeunes et me parle pas
D'jacter jee hais les autres parloir
Genre pas l'droit phaser pas droit!
L'an dernier j'me rappel que j'rapais
Pas comme d'la merde mais là c'est
La sé-ance, d'un flow balaise
J'vais vous passer, La sé-quence D'un homme alèse !
Entre..
Ma famille mes amis et ma chérie Ma téci' c'est Jumanji ! L' Empathie en partie et partit c'est metz , c'est lorry et
on s'pose toujours ici ! c'est toujours folie ! Mais gros reste polis ! On a pas manger l'ostie J'suis même pas payé au smig
Pas un fumeur d'Austin'
Juste de stonWin'
roulée dans un cône oui !
Et Si j'me ballade avec cinq ou six missiles C'est pour faire un homicide
Sur un branleur, un autre MC,
Un homme ici , ne tiens pas toute sa vie Bande de moine chaouline
Tremblez et marchez en ligne
N'associe pas la souffrance à la source de tes problèmes
L'assaut qui rendra offrandes à la bourse de l'oncle Ben
Viens pas me déblatérer ton BlaBla tiré de bande dessiné , non non c'est pas la peine
Et le soir trés tard
J'm'empare d'espoirs
J'mens car des fois
J'm'encadre pas
Lent par le froid
J'rentre tard parfois
Sachant qu'Avoir un pas qui ne s'affaiblit pas Sert à tenir tête , non n'obéis pas Aller régis droit et ressaisis toi
Mais ta trop l'habitude de mener une vie dure Toujours les mêmes fissures qui fil a ta vie les mêmes piqures , aller triture mon texte , titube en ayant bu d'la contrexe , si tu t'endors en cours comme ronflexe !
Il parait que j'rap sans arrêts , que jtape sans parer , comme une taff sans fumée , s'faire des tass' sans aimer , la base des fêlés , une destinée tracée au feutre vénédat
L'instant où tu me vénéras , est quand t'entendra crier la bête est là ! (-la)
fête est la tête et l'mal être s'installe pète pas ton câble cède car ta part du bifteck est prête cale et gerbe, Tard je gère , pale j'enchaine , j'rale sans chaines , braille sans gêne , j'taille mes veines ...
En vrai c'est diable qui s'inspire de moi
Hanté par les étoiles qui scintillent le soir..
Et si tu m'insulte pour mon style, dis moi
Sens tu la beuh dans cette slim ?
Recouvre moi de chance que enfin J'entube le Spleen,
ainsi
Retrouve moi sur ma branche et oui le singe fume son splif