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Lacustre habitat
dimir-na
Texte protégé
J'ai adopté mon corps, une ferme où je l'ouvre ...
Ma basse-cour séduit des champs de vision, là où le toit du monde, demeure sans tuiles.
A mon adresse, le paradis, de coup de coeur en coup de coeur, supprime l'effet parapluie, la pluie devient douche, le savon, une récréation de bulles.
Défense, ivoire, défonce, y croire, les touches en matière d'habitat, répliquent un seul don, recréer l'écho avant même le son.
Matière grise où le soleil se couche, j'éteins vos lumières, où le soleil se lève ... toujours à l'est.
La tendresse ne se tanne pas
Dimir-na