Le Carnaval des Assassins

vinvin

Ma participation au concours "Pénétrez la collection rose" de J'ai Lu.

Titre

Le carnaval des assassins

 

1)      L’héroïne : TARA SHOO

 

Elevée au premier étage d’une écurie de prestige, Tara Shoo découvrit la paille, le cuir et les cravaches avant même de savoir marcher.

Fille unique d’une harpiste concertiste Ukrainienne et d’un trafiquant d’armes Chinois disparus dans des circonstances inexpliquées, Tara fût confiée dès sa naissance à un ami de son père, le Californien Gunther Zaft, éleveur de purs-sangs arabes et homme d’affaires multimillionnaire aux activités aussi nombreuses que mystérieuses.

Livrée à elle-même au milieu des manèges, ventes aux enchères et autres foires de luxe, Tara dût rapidement apprendre à se débrouiller seule pour exister dans un environnement d’hommes. Elle devint vite la mascotte des haras et se tailla, année après année, une réputation de garçon manqué en acier trempé.

Tara découvrit très jeune ce qu’était une saillie, un boute-en-train ou un étalon. A l’heure où ses camarades d’école observaient le vol d’un papillon à la sortie de la chrysalide, Tara admirait les érections vigoureuses des bestiaux qu’on menait à l’ouvrage. En découvrant la nature en marche, Tara comprit assez tôt qu’elle devrait maîtriser cette zone de son évolution si elle ne voulait pas finir broyée, humiliée et trompée par les hommes. Son premier rapport au sexe fût donc politique. Presque social.

Le jour de ses treize ans, Tara prit le taureau par les cornes et immobilisa Alan, le jeune lad de deux ans son aîné, dans le box numéro onze déserté par Queen, la pouliche baie partie en clinique à Reno. Alan, subtilement demeuré mais bâti comme un Turc, n’eut pas de remord à déflorer Tara en quelques minutes, dessus dessous avec souplesse, sans fioriture ni brutalité. Une copulation propre malgré l’odeur de crotin et les quelques pailles venues ici et là piquer la peau frêle des fesses vierges de l’adolescente. Tara Shoo décida ce jour-là qu’elle aimait le sexe ; qu’à sa dimension militante s’ajoutait une réelle valeur de jouissance. Elle remercia Alan et lui demanda de se tenir à sa disposition.

Douée à l’école où elle n’aimait cependant pas se rendre, Tara chercha très vite d’autres activités que le calcul, l’anglais ou la littérature pour s’enrichir. Elle entreprit d’apprendre le Chinois et le Russe par elle-même, puis le violon, le chant, le tennis qu’elle pratiquait en compétition ; et le Tae Kwon Do, le Kick Boxing et le Kendo qu’elle adorait pour le maniement du sabre. Si Montaigne avait rencontré Tara Shoo, il aurait développé le principe de l’Honnête Femme, une version sexuellement torride de l’être mesuré, cultivé et sachant dominer ses émotions : une tête bien faite dans un corps de cochonne.

- 1m80, les yeux verts sombres, les cheveux noirs, un regard imperceptiblement bridé, puisé dans ses racines slaves d’une part et chinoises de l’autre, Tara Shoo est ce qu’on appelle une bombe. Dotée d’un QI hors normes, de fesses et d’une poitrine parfaites, elle génère des pulsions sexuelles à la fois chez les hommes et chez les femmes. Son destin particulier, auréolé d’un mystère à jamais irrésolu, la rendant encore plus désirable. -

Pour fêter la fin de ses deux cursus, l’un en mathématiques appliquées, l’autre en histoire de l’art, et alors âgée de vingt-quatre ans, Tara teint la promesse qu’elle s’était faite : finir l’Iron Man de Kailua-Kona, un triathlon d’une rare difficulté se déroulant dans les montagnes de Hawaï. Elle fit mieux que participer, elle l’emporta. À son retour de Hawaï, Tara Shoo découvrit le haras dévasté et les quarante purs-sangs arabes brûlés vifs dans la paille de son enfance. Gunther Zaft avait été assassiné, étranglé avec le filet de son cheval favori, Mozart. Le meurtrier avait pris soin de lui insérer le mors entre les dents. Sa mère et son père biologique ; et maintenant son père adoptif : cela commençait à faire beaucoup pour une seule existence.

La police, les médias, les élus, tous étaient là à s’agiter pour tenter de comprendre (ou masquer ?) ce crime odieux. Dans la foule et tandis que Tara se perdait à répondre mécaniquement qu’elle n’avait pas de réponse, un homme la pris à part et l’invita à le suivre.

C’est homme était Louie Valentine, directeur de l’antenne Californienne de la CIA.

Louie Valentine prit très vite Tara Shoo sous sa protection et l’initia aux secrets de la Compagnie. Il lui raconta comment la disparition de ses parents et l’assassinat de Gunther étaient peut-être liés. Elle découvrit que son père adoptif, derrière sa passion des chevaux, entretenait des liens étroits avec les grands producteurs de pétrole et de gaz du Moyen-Orient. De même, son vrai père aurait été un personnage influent dans le domaine de l’énergie, à la fois proche des Nations Unies d’une part et des grands lobbys industriels d’autre part, aux USA, en Chine et en Amérique du Sud. Quant à sa mère, sans être précis, Louie Valentine laissa entendre qu’elle n’était peut-être pas une simple concertiste… Mais il n’avait pas de preuves.

Pour Tara, découvrir la vérité devint un « no brainer » (aucun doute, pas à réfléchir). D’abord sur l’assassinat de son protecteur (énigme à résoudre dans ce premier volume), ensuite sur la disparition de ses parents, qui représentera une quête continue dans la suite de ses aventures. Tara est donc embauchée à la CIA. Pour Langley c’est une recrue de choix ; pour elle c’est un moyen d’accéder à la vérité et de venger sa famille.


2)      SCÈNE D’ACTION

Dans le train qui la conduisait de l’aéroport de Miami à Palm Beach, Tara Shoo repéra trois blacks aussi larges que silencieux se tenant à l’entrée du wagon. Le TriRail traversait la zone périurbaine de Miami en direction du nord, faiblement occupé par quelques touristes égarés, une famille de Texans rougeauds et bruyants ; et deux ouvriers latinos épuisés. Des palmiers et des chanteurs cubains dessinés naïvement à la manière de Frida Kalo recouvraient les parois extérieures du train, comme pour donner un peu de gaieté à cette banlieue misérable qui déversait chaque jour ses travailleurs à cinq dollars dans les hôtels et les restaurants de Miami. La chaleur caniculaire de la Floride estivale faisait transpirer tout le monde, même les fenêtres sales et closes du wagon suintaient, la climatisation n’avait sans doute pas été réglée depuis l’administration Reagan.

Tandis que le train quittait la gare de Cypress Creek sans que qui que ce soit ne soit monté ni descendu, Tara vit entrer par la porte arrière deux nouvelles armoires à glace du gabarit des trois premiers, ceux-ci n’ayant pas bougé d’un pouce depuis le départ. Elle savait parfaitement que tout ce joli petit monde était là pour elle. La nonchalance de leurs gestes et la froideur de leurs regards ne laissaient planer aucun doute. À côté d’elle, sur la banquette opposée, une femme enceinte tenait une poussette dans laquelle une petite fille rousse observait le ciel. La famille du Texas, dans le carré immédiatement contigu, parlait fort et ne semblait pas mesurer l’imminence d’un carnage annoncé.

Un des deux sbires vint s’asseoir face à elle et bloqua toute fuite possible en posant son pied sur la banquette de Tara. Une grosse jambe musclée et moulée dans un pantalon trop serré, tout ce qu’elle détestait. De l’autre côté du couloir central, l’autre gros restait debout près de la femme enceinte en lui souriant. Plus loin, les trois rappeurs du début ne parlaient plus, ils se tenaient prêts. Les cafards savaient que Tara ne tenterait rien de risqué tant que des innocents seraient impliqués. Ils misaient sur la faiblesse des forces du bien, piégées par les scrupules et le respect de la vie. Tara déroula mentalement les scénarios possibles. Soit elle ne tentait rien et elle finirait par se retrouver seule dans un wagon peu à peu déserté, au terminus de la ligne et de son existence. Soit elle frappait la première, par surprise, au risque qu’une balle perdue vienne briser l’innocence de voyageurs se trouvant là au mauvais endroit, au mauvais moment. Quelques secondes de réflexion que le gros back essayait de lire dans les yeux de Tara. Il secoua la tête pour lui suggérer de ne rien tenter.

Tara, dans un geste précis et rapide, projeta sa jambe en avant et asséna au gorille un coup de pied circulaire qui lui explosa la mâchoire, une ligne de sang giclant sur la fenêtre. Profitant de l’effet de surprise, elle subtilisa le Beretta 92 dans la ceinture du black et tira plusieurs coups dans le ventre puis elle se tourna et tira de nouveau entre les deux yeux de celui qui se trouvait debout. Les trois rappeurs se mirent à couvert tout en canardant en direction de Tara qui se projeta au sol et commença à ramper. Les pistolets mitrailleurs déchiraient chaque parcelle de sièges, les fenêtres, le plafond, rien ne résistait. Les autres passagers hurlaient, se plaquant au sol comme ils pouvaient. La petite fille rousse criait « maman, maman ». Maman ne bougeait pas, protégeant sa fille entre ses bras. Tara rampa jusqu’au bout du wagon, se retourna enfin et visa au raz du sol sous les sièges. Elle toucha aux tibias deux des trois sbires, qui s’écroulèrent de douleur dans un râle effrayant. Profitant de ce carton, Tara franchit la porte du wagon et se mit à courir dans le wagon voisin tandis que le train entrait en gare de Pompano Beach. Les tirs fusaient ; le dernier gars ne lâchait pas prise. Tara décida que cela suffisait, elle n’allait pas risquer plus de vies innocentes et les balles sifflantes venaient de blesser un passager à l’oreille. Elle se retourna, franchit la porte à nouveau, se trouvant face à face avec le dernier des mohicans qui n’en revint pas. Elle leva le bras et lui tira dans le front, le cou, le coeur, calmement, froidement. Les cancrelats blessés aux jambes rampèrent hors du train tandis que les portes s’ouvraient. Elle les laissa partir. Le silence revint dans le wagon et l’on entendit enfin le bruit d’une sirène d’alarme. Il était temps de partir.


3)      SCÈNE ÉROTIQUE

Nu comme un vers, ligoté aux chevilles et aux poignets, coincé sur une chaise solidement vissée au sol, le chef de la sécurité de Paola Alvares comprit très vite qu’il allait passer un sale quart d’heure. Encore paralysé par le somnifère qui lui avait été administré à son insu, Jorge Valli mit quelques longues minutes à rassembler ses esprits. Des murs sales, un vieux matelas moisi recroquevillé dans un coin de la pièce, des infiltrations d’eau verdâtres, quelques traces de sang et d’huile mêlées, on se serait cru dans un garage désaffecté reconverti en anti-chambre de l’enfer. Jorge Valli avait lui-même torturé tant d’êtres humains qu’il n’eut aucun doute sur la suite des événements. Testant la force de ses liens, il constata qu’ils étaient l’œuvre d’un professionnel.

Plus de deux heures passèrent avant que la porte ne s’ouvre face à lui, laissant entrer un puissant rayon de lumière aveuglante. Valli leva la tête, plissa les yeux et put deviner en contre-jour la silhouette d’une magnifique jeune femme campée sur une paire de jambes de cuir noir. Il ne put s’empêcher de sourire.

Tara s’approcha de lui et révéla son visage. Jorge ne montra aucun signe de surprise. Il aurait presque pu dire qu’il s’en doutait mais cela n’aurait servi à rien. Elle s’agenouilla en souriant. Le sbire en avait connues des situations périlleuses et il avait bien souvent constaté que la douceur et les sourires étaient presque toujours les préliminaires d’une mort certaine.

« Que voulez-vous ? », demanda-t-il froidement.

Tara lui caressa légèrement les cuisses, effleurant son sexe sans jamais le toucher. Jorge savait que reposer la question serait inutile. Visiblement elle voulait jouer et il n’avait plus qu’à attendre qu’elle lui explique la règle.

« Connaissez-vous Gunther Zaft monsieur Ramirez ? », demanda-t-elle. L’ancien chef de la police Bolivienne comprit immédiatement la situation et la maigre chance qu’il aurait de s’en sortir indemne. Maigre, mais pas nulle.

« Pourquoi me demandez-vous cela ? », répondit-il pour gagner du temps.

Tara se releva d’un bond et le gifla sans retenue. Jorge ne moufta pas mais la rage qui brûlait dans ses yeux en disait long. Elle poursuivit.

« Ecoutez-moi monsieur Jorge Ramirez, je sais que vous ne me direz rien alors je vous propose un petit jeu. Je vais vous sucer comme jamais personne ne vous a sucé. Je vais vous sucer tellement bien que vous allez jouir comme jamais. Mais voilà, si vous éjaculez je vous la coupe », dit-elle calmement, un léger sourire dans les yeux, un scalpel dans la main gauche.

Jorge sentit son cœur battre à une vitesse anormale. Lui qui avait subi les entrainements les plus rudes dans les milices les plus sordides du monde entier, ne savait pas s’il pourrait contrôler son plaisir. Il n’avait pas été entrainé à ne pas jouir, nulle part, jamais.

« À moins que vous me disiez quelque chose d’utile, bien sûr, la pipe que je vais vous offrir sera votre plus beau et votre dernier plan cul… Jorge ! », poursuivit-elle, avant de se baisser et d’engloutir entièrement le sexe de sa victime. Il n’en crut pas ses yeux. Comment faisait-elle. Tara entama une aspiration parfaite, au rythme progressif puis saccadé. Puis progressif. Elle accompagnait sa bouche de quelques pressions de ses doigts au-dessus de l’anus de Jorge qui se mit à respirer un peu fort. On osait donc triturer son anus de Bolivien ! Son érection était solide et violente. Il était partagé entre une extrême excitation et le souvenir diffus d’une menace de castration qui lui semblait irréelle mais dont il mesurait parfaitement les conséquences sur ses vieux jours. Rien n’y faisait, cette femme tenait parole. Tara le suçait avec une telle passion et une énergie si puissante qu’il crut un moment qu’elle avait plusieurs mains, plusieurs langues, plusieurs bouches et la chaleur d’un vagin en guise de gorge. Cette femme allait le faire chavirer, il sentait monter cette jouissance interdite, contre laquelle plus il luttait, moins il contrôlait quoi que ce soit. Tara accéléra encore, lubrifiant le pénis d’une salive abondante et chaude. Tournant sur le gland, elle le dégustait littéralement, léchant chaque parcelle de peau avec une ferveur non simulée. Tara Shoo prenait du plaisir : le signe des bourreaux d’exception.

Jorge Ramirez sentit que le moment de parler était venu.


4)      SYNOPSIS

Après le meurtre de son oncle et la rencontre avec Louie Valentine, commence pour Tara un stage d’apprentissage au cours duquel elle rencontre Bob Gift, un autre agent avec qui elle nouera des liens solides, couchant avec lui de temps en temps, juste pour le fun ; sorte de fuck-friend au permis de tuer. On retrouvera Bob souvent au cours des différentes aventures.

Tout en s’entrainant, Tara essaie d’en savoir plus sur les relations de son oncle. Elle découvre que celui-ci entretenait des relations régulières avec une millionnaire américaine d’origine Bolivienne vivant à Palm Beach en Floride. Une certaine Paola Alvarez, connue des Services pour son rôle sur le marché du lithium (l’or blanc), le nouvel eldorado énergétique (voitures électriques, téléphones mobiles, ordinateurs portables, etc), mais aussi pour son implication supposée dans un gigantesque réseau d’escort girls de luxe (mesure-t-on l’importance des liens de parenté de Paola Alvares avec le Président Bolivien Evo Moralès ?).

Sentant que se joue ici un gigantesque imbroglio mêlant pétro-dollars, concurrence énergétique, blanchiment d’argent sale, marché des concessions Boliviennes, prostitution et corruption, Tara décide d’aller enquêter à la source, en Floride. Commence alors un road-trip qui la conduit, durant tout le récit, de New-York à San Francisco en passant par Miami, New-Orleans et Las Vegas. Un volume entièrement basé aux Etats-Unis, sorte de bizutage contre nature au cœur de cette « Compagnie » initialement conçue pour envoyer ses agents à l’étranger.


Structure chronoloqique :

- L’assassinat de Gunther Shoo

- Le recrutement de Tara Shoo à la CIA, les explications.

- La formation à Camp Peary, Virginie / La rencontre de Bob Gift

- L’enquête préliminaire depuis Langley

- Première mission à New-York au siège de PA Energetic, la société mère de Paola Alvares. Elle découvre l’existence d’un ponte du jeu et de la prostitution, Malcolm, qui siège à Miami. Il fournit les gros industriels de la politique et du pétrole.

- Miami et le cartel de la prostitution. Marchands d’art, blanchiment d’argent. Tara se fait embaucher comme escort girl. Repérée, elle fuit. Rattrapée par les sbires de Malcolm dans le train.

- Voyage façon road trip vers Tallahasse, Pensacola (école navale) et enfin New-Orleans. Traquée par la police (corrompue), par les hommes de Malcolm d’une part, les hommes de Jorge Valli d’autre part. Sans compter la tueuse professionnelle Chun Li, engagée par ShangCo & Gaz. Elle a toutes les racailles à ses trousses et, semble-t-il, un traître au sein même de la CIA.

- Gaz de Schiste, lithium, pétrole : tout se décide à New-Orleans où se tient le sommet mondial sur l’énergie du futur. Scène de torture avec Jorge Valli.

- Vol vers Las Vegas : Orgies, dollars, cocaïne et tractations. - Contrat d’exploitation du lithium sur le point d’être signés par un énorme consortium Chinois.

- San Francisco pour finir, confrontation définitive avec Jorge Valli (poursuite dans les rues de SF qui renvoie Bullit aux oubliettes de l’action) puis Paola Alvares (scène finale au musée DeYong), la tête pensante (mais en est on sûr ?) de tout cet imbroglio…

  • Du texte bien léché. Un personnage original. Mia Mh..
    Bonne chance pour la suite.

    · Il y a presque 13 ans ·
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    Florent Lassale

  • ça donne envie de lire tout ça sur papier après un bon repas, calé dans un fauteuil club avec cigare et cognac ou dans un hamac au sortir d'une sieste alanguie. J'aime beaucoup votre style concis et percutant, structuré mais sans prétention, ni emphase, un univers et des personnages croqués en quelques phrases. Bravo et puis le nom de l'héroïne : Tara Shoo, t'auras chaud, non ? Bonne chance pour le concours:)

    · Il y a presque 13 ans ·
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    jones

  • Merci cher Saint-James, je me garde un peu de temps ce soir pour aller lire votre oeuvre ;-) !

    · Il y a presque 13 ans ·
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    vinvin

  • Et en plus je viens de réaliser que le texte était sélectionné ! ;-)

    · Il y a presque 13 ans ·
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    saint-james

  • Délirant ! Désopilant !
    Posologie : lire 3 fois par jour avant les repas (vous pourriez vous étouffer pendant et vomir après). Administration : voie orale (éviter la voie anale, quoique...). Effets non souhaités (quoique...) : peut provoquer des crises d'hilarités susceptibles de nuire à un entourage de sinistres cons. Durée du traitement : se conformer à l'ordonnance de votre sexologue (quoique...).

    · Il y a presque 13 ans ·
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    saint-james

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