Le complexe de Prométhée

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Après une overdose de Vladimir Volkoff.

"La mort dans la flamme est la moins solitaire des morts. C'est vraiment une mort cosmique où tout un univers s'anéantit avec le penseur. Le bûcher est un compagnon d'évolution".

G. Bachelard

 

"On perd la mémoire comme une vulgaire carte de visite".

Alexandre.

Alexandre rêvait. Il rêvait d'une jolie journaliste blonde qui tentait de réveiller la fibre patriotique d'un jeune soldat revenu d'ABSURDISTAN. Les technologies numériques et la toile que formaient les réseaux sociaux étaient devenues des moyens de communication incontournables.

Le pays d'Alexandre était en guerre. Le jeune soldat en question lui montrait la photo de la plantureuse journaliste via un logiciel. Tiens, encore un conseiller, se disait Alexandre.

"Regarde, disait le petit gradé, j'ai plein d'amis! J'en ai 1987! Et en plus elle m'aide à écrire mes expériences".

Kiril était revenu encore plus abruti qu'il ne l'était auparavant, pensait Alexandre.

Qu'est-ce-qu'ils t'ont fait? se demandait-il.

Alexandre entendait un rire léger, presqu' un bourdonnement. 

 

Un moment d'absence. 

 

Il comprenait qu'il ne parviendrait pas extraire les éclats de la gloriole que le jeune soldat portait dans son cœur.

Mais tout ceci n'était qu'un rêve bon marché et le réveil s'amorçait… 

Pauvre Turing, pensait Alexandre. Si seulement on l'avait laissé terminer son œuvre...

Turing était mort depuis longtemps, d'une mort presque poétique dont le symbole faisait des ravages aujourd'hui. 

 

Tout se paie.

 

Alexandre regardait Kiril tapoter des inepties sur son téléphone atomique, l'air totalement absent. Il jouait à dégommer les femmes qu'il considérait comme étant des "pouffes". Un passe temps devenu banal sur les forums qu'il avait pour habitude de fréquenter.


Alexandre dormait toujours.

Une voix l'interrogeait. Elle l'obligeait à deviner. Alexandre ne comprenait pas les questions. Impossible de répondre donc.

Cela devenait presque rassurant car il n'était plus obligé de se justifier. Il répondit mentalement un "Je ne sais pas" et il se sentit mieux. Pendant un temps.

Un sourire s'éloignait. Il le ressentait mentalement, comme si la pensée avait un espace de jeu. Elle devenait indépendante des évènements .

 

Il se souvenait du début de l'Etoile des amants."Respire, respire"…

Respirer les odeurs des rues poussiéreuses, des gares, rien d'autre. 

A présent il avait perdu l'odorat et le toucher. Il n'avait plus de goût. Il ne comprenait plus les plaisanteries non plus. Son corps lui avait été confisqué dans son intégralité. Il était devenu fou.

 

Il rêvait toujours.

 

 

C'était une époque gris anthracite. Nous étions en 1998. Il perdait la mémoire et les cheveux. On le promenait comme un chien. Une personne de 25 ans relisait ses enregistrements mentaux et les subissait.

Dehors, un soleil pourpre avalait la ville. L'air devenait lourd .Une chaleur continentale et assommante se déversait à travers les fenêtres, dans les maisons, les cages d'escaliers et les ascenseurs. 

Le virus couvait progressivement dans la cervelle de A. Il le considérait davantage comme un phénomène inexorable qu'il devait assimiler et comprendre. Il vit un square à sa gauche. Il vit le Feu. Des centaines de roses étouffaient emprisonnées par les barreaux en fer forgé. De splendides amas de couleurs irradiaient à travers les grilles comme des oiseaux rares qu'une main ne parvenait pas à retenir. Le parc s'embrasait par les racines…

Alexandre n'avait jamais observé un parlement en feu, mais il était ravi de voir surgir une vision aussi poétique en cet instant. On voyait un homme en smoking assis sur un banc. Il avait une tête de chou. Il portait un papillon noir. Il chantait, parlait d'éléctro-chocs. A n'entendait rien à cette ballade. Il se demandait juste s'il rêvait toujours.

Il traversa alors machinalement l'avenue qui le séparait de son mirage et s'engouffra d'une façon toute aussi irréfléchie dans la roseraie. Une statue d'une simplicité naïve attira quelques instants son attention. C'était une mère étreignant son enfant. Puis son regard alla se noyer dans cette variété de teintes disposées par touches autour des bancs, telles des plumes de paon. Chaque fleur dégageait un parfum caractéristique. L'espace se chargeait lentement d'arômes ronds et pesants. Chaque fleur avait un visage. Chacune racontait quelque chose.

Alexandre observait ces belles plantes. Il se mit alors à réfléchir. Si orgueilleuses, pensait-il.

Les couleurs violacées et ternes du Nil bleu attiraient son regard. Elles avaient quelque chose de passé, de regrettable, une noble dignité de fleur attendant patiemment l'étreinte du crépuscule. A cherchait à associer une musique, une pensée à cette belle opiomane. Mais il ne connaissait ni la berceuse de Fauré, ni France ni les fragrances capiteuses qu'on retrouvait autrefois dans les vieux flacons Art Déco et qu'il fallait savoir manier avec précaution. Une vieillerie prétentieuse, se disait-il. Rien de plus.

La Perle Noire possédait une robe charnue de velours pourpre. Ses pétales pointus présentaient un aspect provocant. Au toucher, elle semblait douce. Elle était indolore et inodore. Il décida de se soustraire au regard de cet hybride et alla s'asseoir plus loin.

Il ne souhaitait pas déranger cette belle Dame de Pique. Les jeux étaient déjà faits. Rien n'allait plus. 

A était fiévreux. Un ouvrage qu'il n'avait pas terminé par ennui vint le gêner dans ses rêveries solitaires.

Les voyageurs du Temps. Toujours une poussée plus profonde vers la sophistication, qui devenait peu à peu incompréhensible pour le commun des mortels. Une personne décide de se faire passer pour folle à l'hôpital de Belfort pour échapper au service militaire. Trente ans plus tard un personnage se met à parler de guerre. Il critique tout à fait sérieusement la stratégie adoptée par son pays dans le domaine militaire, évoque les "vols de prestiges" effectués par l'armée, conseille l'emploi de différents types de méthodes dans le domaine opératif, etc.

A pensait que son pays marchait sur la tête. On pouvait être parfaitement incompétent et dispenser des conseils aux autres. A le savait et regardait la fin de l'expansion du domaine du rêve et des idées avec un idéalisme indifférent. Il sentait un histrion s'agiter quelque part dans un lointain désert. Ce personnage tragi-comique pointait scrupuleusement ses doigts soigneusement manucurés sur des cartes qu'il connaissait à peine, et balayait de ses mains avec des gestes stylisés des populations dont il ne soupçonnait même pas l'existence. Il souriait et ajustait sa mèche grise devant une assemblée de gradés ébahis. Après tout, si on peut rentabiliser un drame régional en zone montagneuse, on peut le faire tout aussi bien dans une zone désertique. Plus besoin d'être un stratège aujourd'hui.

Et sur ces belles réflexions, l'histrion au teint hâlé bombait fièrement son torse épilé devant les journalistes venus du monde entier pour couvrir le scoop. Il se disait en cet instant qu'il se sentait beau et convaincant. Accessoirement la bêtise était une chose universelle dont il fallait savoir profiter au moment opportun. Il songea qu'il devait se dépêcher d'écrire son propre mythe tant que la situation était encore exploitable. Plus tard, qui sait, on lui réservera certainement une place au Panthéon.

Pendant un temps A s'est foutu de tout ça. Il voulait faire carrière. Il roulait dans une décapotable noire, écoutait plein de conneries en vogue et brillait par son arrogance. Il rentrait dans les critères de sélection imposés par un tas de dégénérés marasmatiques, on ne sait quand et on ne sait comment. Bref, il était dans le moule. Il voulait faire carrière. Comme tout le monde.

A rêvait que sur les sièges arrière de sa fameuse "batmobile" noire reposait un kilogramme de Pléiade. Les feuilles de ces ouvrages étaient recouvertes d'or. Elles scintillaient au vent. C'était une scène surréaliste…roulant à grande vitesse, le véhicule se retournait...

A n'avait jamais réussi à tenir plus de vingt minutes debout avec un ouvrage édité de la Pléiade. On ne pouvait rien en faire. Une connaissance de A avait fini par entreposer les siens dans les toilettes. Il était professeur de lettres. Il aimait la provocation. A, quant à lui, n'était pas aussi intelligent que Johny Lidell qui lisait les romans de cette édition pendant les couvre-feux sur les grands théâtres d'opérations des pays de l'Est. Tout un programme. Ce dernier estimait que la Pléiade avait un "bon poids", confiait-il au journal Le Figurant, photographié dans un joli costume en lin avec un air modeste. Il fallait croire que les livres au poids étaient à la mode. Le sien faisait plus de mille pages. Des scènes d'une beauté prodigieuse noyées dans une série B. A se demandait à son tour si avec un kilogramme de livres on pouvait se racheter une conduite ou passer pour quelqu'un d'érudit.

Privilégier la forme et non le fond était dans l'air du temps.

 

C'est ainsi qu'on lui avait appris le mépris.

 

….

 

A se réveilla seul sur le banc. L'homme à la tête de chou était parti. Il avait rêvé.

Il se souvint d'une brune. Dans la tête de cette brune, une multitude de gens. On aurait dit qu'ils portaient de belles robes blanches sorties tout droit des actuelles collections prêt-à-porter. A était comme eux. Heureux comme eux, il s'imaginait porter une robe très haute coûture. On aurait dit un costume d'Essaie Mickey. Il se trouve que A était totalement sous l'emprise des psychotropes, en guise d'accessoire à sa belle tenue.

Il se voyait attablé. Un biélorusse venant de Pinsk lui faisait des tartines. A se souvenait encore de la couleur de la confiture généreusement étalée sur du pain noir.Le biélorusse était comme A. Dans les vapeurs. Il le faisait manger. A trouvait ça encore plus fou car c'était la première fois qu'un homme prenait la peine de lui tartiner son pain. 

A ressentit de la sympathie pour le "grand malade" qui refusait de retourner dans son pays pour faire son service militaire. On entendait des hurlements stridents dans tous les coins. La pièce grouillait de dingues. A déjeunait, heureux comme un pape. On mangeait mieux qu'à la maison. On buvait le thé.

Il s'imaginait qu'une femme était venue le chercher, soigneusement maquillée et souriante avec des lunettes incrustés de strass de chez Fior. Une vraie psychopathe.

Tiens, A se disait qu'il arrivait tout de même à faire encore des déductions et que son cerveau parvenait à réagir.

Il était dans la salle à manger de la clinique, il y avait des toilettes derrière les tables. Juste des cabinets avec des portes qui ne se fermaient pas. La femme venue chercher A eut envie de se soulager et décida de les utiliser. A l'observait calmement de sa table avec son nouveau collègue.

En l'espace de quelques secondes elle s'était fait attaquer par un gentilhomme un peu agité. Elle était assise sur son trône. Cette âme charitable voulut certainement l'aider dans sa peine. 

A se disait qu'elle avait un ticket avec ce garçon bien posé. Il n'y en avait pas que dans les galas, se disait-il. Ce monsieur avait lui aussi fière allure.

A apprit à accepter les évènements. Tout était une affaire de circonstances. Il prenait son mal en patience lorsqu'il voyait un abruti cynique signer ses ordonnances avec un joli Monk Blant. La marque des gens bien. De toute évidence ce dernier était lui-même sous l'emprise de neuroleptiques. Il sentait que sa propre personnalité s'effaçait et qu'il crevait à petit feu devant ce bienveillant monsieur.

Le rêve devenait sans fin.

 

 

 

Alexandre écoutait les gens de son milieu. Il constatait que l'opinion d'un groupe pouvait changer d'une semaine à l'autre et que le soi-disant petit peuple -dont le salaire était parfois plus élevé que le sien- n'aimait pas avoir d' engagements, qu'il considérait automatiquement comme une suite de problèmes. A se posait des questions sur l'éducation des futures générations.

Multivac sera-t-il là pour leur porter secours?

En attendant, il recevait pleins de conseils de comédiens qui retournaient leurs vestes toutes les semaines et qui s'étripaient joyeusement sans se soucier du fait que quelqu'un les observait.

 

 

A pensait à d'autres choses et le ciel semblait se transformait en grand miroir. Il devenait écarlate. 

Les termes les plus crus et les plus grossiers assuraient à présent une bonne vente de journaux, de livres et de films. Ils devenaient incontournables dans les discours politiques. Etait-ce cela, la maîtrise d'un sujet ou fallait-il combler la vacuité qui régnait dans les esprits par des agitations qui nous donnaient le sentiment d'exister?

Les plus intelligents semblaient prendre du plaisir à se faire passer pour des clowns grotesques au lieu d'enseigner ou d'informer. Quel était le but de tout ce cirque, se demandait A?

 

Tout comme Maxounet Aue et ses boudins (aussi horribles que les saucissons que A avait dessiné pendant ses examens de géographie pour représenter le Royaume-Uni), notre pays se mettait au tempo de personnes qui imposaient des modes de fonctionnement et de pensée de plus en plus primitifs,bien qu'ils paraissaient à première vue particulièrement sophistiqués. Un dirigeant était à peine élu qu'on le démolissait dans la foulée devant tout le monde.

Au suivant. 

On a pas de temps à perdre. Former des infidèles à tout mais des masses soumises à la pression.

Muzzau et Beber qui n'en finissait plus de jouer à l'accordéon des airs paranoïaques. De très bons moments de détente en perspective pour les amateurs des meilleures ventes de romans sur notre territoire. Former une société de Patrick Bateman en puissance. Fermez bien vos portes la nuit, on pourrait vous voler vos écrans LCD.

Le plus important c'était de faire peur pour manœuvrer les masses et accessoirement de se faire peur soi-même pour se sentir vivre.

 

Il se demandait à quoi pensaient des gens comme Max à une époque. Rêvaient-ils de faire carrière?

Un jour il avait osé parler un "ami" du Désert des Tartares. Ce monsieur lui avait répondu " Ne parles pas de ce livre sinon on va te prendre pour un défaitiste et tu ne pourras pas percer".

Effectivement, Buzzati ne devait pas avoir ce genre de préoccupations à l'époque.

A aimait Buzzati, Radiguet et tous les auteurs moralement douteux n'ayant pas souhaité percer.

A ne percera donc pas. Il ira en taule ou encore à la clinique.C'est bien dommage...

 

 

A décida de rester dans sa connerie infantile à renifler les roses et tomba nez à nez avec un Tricolore de Flandres. Une fleur discrète et racée. Son aspect était agréable à regarder. Le bordeaux se mélangeait bien avec le blanc. Il représentait le savoir et poussait à l'abri des grands passages. Il avait subi les morsures du soleil. Ses pétales brûlés n'avaient rien perdu de leur aspect entier. Son parfum simple et ne provoquait pas de maux de tête. Il avait l'air relativement sain et vivait tranquillement en retrait des autres plantes. 

Puis le regard de A se perdit dans le ciel. Il regardait les toitures des vieilles maisons qui encerclaient le jardin. Il voyait plein de magiciens verts par les fenêtres. Il s'en foutait.

 

 

Nous étions un dimanche. 

 

Un ancien profitait du beau temps après avoir terminé son ouvrage. 

 

 ll fumait. A connaissait son nom.

 

Tarek, le vieux gardien s'approcha d'Alexandre.

 

 

" Les jardins publics ferment à la tombée du jour, monsieur", lui dit ce dernier avant de le prier de quitter les lieux.

Dehors, le ciel s'assombrissait et devenait de plus en plus épais. On aurait dit de l'ambre dans un de ces tableaux de Chagall. A s'arrêta pour admirer ce spectacle mais un passant moustachu aux allures de gentleman vint l'aborder pour lui demander du feu. Alexandre l'observait. Il avait une aura phénoménale. Un fantôme, se disait-il.

"Faites attention, le temps se gâte", dit-il d'un ton détaché.

"Oui je vois, les étoiles se cachent", répondit A.

Puis l'inconnu tourna les talons et s'éloigna pour ne pas recevoir la pluie fine au visage. 

Alexandre n'avait rien pour se couvrir. Il tourna son regard en direction de l'avenue où s'était volatilisé l'inconnu. Plus personne. On apercevait derrière les maisons des montagnes. Elles semblaient se mouvoir, brunâtres telles des dos d'ours. 

Alexandre se souvenait qu'un jour, lorsqu'il était petit, sa mère l'avait laissé dans une petite pièce d'un musée militaire réservée aux employés. En bord de mer. Elle était guide à cette époque. Il s'ennuyait .En entendant sa voix, il avait décidé de quitter la petite salle pour aller voir ce qu'elle racontait à tous les grands élèves en uniforme qui l'écoutaient religieusement. C'était une très belle femme avec un air extrêmement sévère. Elle ne portait pas encore de lunettes Fior à cette époque. Elle montrait une maquette aux enfants sur laquelle il y avait plein de jolies loupiottes allumées. Elle parlait de zones de combats, de marins qu'on avait oublié en pleine mer et qui s'étaient battus jusqu'au bout. A était tellement enthousiaste à l'écoute de son récit, qu'il s'était cramponné à une maquette représentant un secteur militaire. Il s'était immédiatement fait taper sur les doigts. Il ne comprenait pas pourquoi. Il avait subi un châtiment douloureux et ne savait plus où se mettre. Il s'était mis à pleurer.

En regardant à présent la montagne, A essayait de se représenter l'emplacement de Steingraben et de recréer mentalement des lueurs semblables aux loupiottes qu'il avait admiré sur cette belle maquette. Et puis il comprit que petit à petit ce n'était plus la peine car la roche dégageait un rayonnement noir, basaltique. Les pierres représentaient une infinité de pistes.

A observa ce phénomène puis sentit une présence à ses côtés. Il se faisait tard. Son fils était venu le chercher. Il le prit par la main. Il regarda encore quelques instants les pistes et se dit qu'il était temps de rentrer pour lui. Il tourna le dos à la montagne. Tout autour de lui l'avenue pullulait de restaurants asiatiques, de bordels, de gens en tout genre. On voyait les néons rouges fluorescents, des tigres chinois avec de belles moustaches, des prostitués tatouées, des gitans ,des amoureux perdus. 

Le foisonnement.

Alexandre regarda quelques instants ce spectacle. 

 

Puis il baissa la tête pour observer son fils et lui dit: "Pardonne-moi de ne pas t'avoir épargné".

 

Il le prit sur ses épaules et ils retournèrent tous les deux au cœur de la Cité.

 

 

Mai 2011.

  • Je lirai votre texte plus tard, mais je viens d'apprendre une chose : Vladimir Volkoff était l'auteur de la série Langelot, agent spécial du SDECE, sous le pseudo Lieutenant X ? édité dans la collection Bibliothèque verte, je les ai pratiquement tous lus (et dévorés pendant mon adolescence…) ; incroyable…

    · Il y a plus de 7 ans ·
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    Marcus Volk

    • :-)))...Vous déviriez lire ses romans...

      · Il y a plus de 7 ans ·
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      voda

    • Je vais m'y attarder en effet. Mais aurais-je la force et l'intelligence intellectuelle pour tout assimiler ?

      · Il y a plus de 7 ans ·
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      Marcus Volk

    • Vous vous moquez de moi....

      · Il y a plus de 7 ans ·
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      voda

    • Certes non, je me moque facilement, mais pas ici ni à votre encontre. Vous ne me croyez pas quand je dis que je suis en errance.

      · Il y a plus de 7 ans ·
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      Marcus Volk

    • Je n'ai aucune prétention, sauf à celle d'être humain.

      · Il y a plus de 7 ans ·
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      Marcus Volk

    • Je vous remercie. Cela me rassure à moins que cela soit un piège et que je suis en train de converser avec un robot.Ahhhh!

      · Il y a plus de 7 ans ·
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      voda

    • Je connais des IA parfaitement capables de se faire passer pour un humain, mais à la longue on finit par les démystifier

      · Il y a plus de 7 ans ·
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      Marcus Volk

  • Recourir au mythe revient toujours à avouer l'impuissance de la raison humaine à élucider la question qu'elle pose.
    Réflexion platonicienne qui nous fait, malgré tout, malgré nous, aimer l'idée de Prométhée...sans oublier Epiméthée!

    · Il y a plus de 7 ans ·
    Cavalier

    menestrel75

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