L'enfant fou
cerveau-lent--2
Au printemps des jeunes raisons
Le cœur chaud de l’enfant fou
S’enfuyait dans l’horizon
Âme sauvage teintée de boue
Tête fuyante dans les nuages
Les genoux rappant les pavés
Il se souvient bien du gage
Qu’enfant on lui avait donné
Il cri aux grandes personnes
La sauvagerie des excès
Mais pour eux, cela ne sonne
Rien d’autre que joie, peine, regret
Sur des pions, noirs, blancs, il tomba
Piquant vif son pauvre sursis
Dans une larme il murmura
"echec et mat, ils m’oublient…"
Ce texte - et la photo qui y est jointe - me prennent aux tripes et me font mal. Il est donc parfaitement réussi. Une belle écriture.
· Il y a presque 13 ans ·Gisèle Prevoteau
Superbement écrit.
· Il y a presque 13 ans ·Lisa Mody
Super, j'aime
· Il y a presque 13 ans ·Eric Varon
on lit le texte et on croit assister à la scène
· Il y a presque 13 ans ·Une vérité décrite avec le plus grand réalisme
Bravo.
J'aime.
yano
j'aime beaucoup!
· Il y a presque 13 ans ·Elodie Carlier
exellent!
· Il y a presque 13 ans ·saki
C'est bon.
· Il y a presque 13 ans ·nawyecky