Les aveuglés, aveuglés
dimir-na
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L'alerte est donnée, le retour à l'isolement redevient feutré, son corps cataclysmique disparaît sous des yeux, où ses tricots cérébraux l'emmaillotent de nouveau, comme sage à la salive bénite.
L'incinérateur du bonheur est alimenté, l'amour doit être consumé , ses cendres cacher une parole de peur, le nom du violeur.
Le cimetière est ouvert aux visitations du bonheur, les portes de son inconscient attendent une faveur, mettre en terre définitivement, son enfer.
La capitale du carnaval est son visage, il mue jusqu'à être son ancien langage, la remise d'une agression , une agression où familles, amis, voilent son patchwork douleurs.
Paradis de pensées, Dimir-na
Totale douleur enveloppée de mots sang avec sens et délicatesse
· Il y a plus de 9 ans ·theoreme
Tant de tact et de délicatesse sur un sujet aussi grave, et des formulations qui sont votre marque de fabrique : " La capitale du carnaval " et " le sage à la salve bénite ", que j'ai particulièrement appréciées, vraiment très beau, très fort en émotions, merci à vous, vraiment
· Il y a plus de 9 ans ·marielesmots
C'est.. Tellement juste. En quelques mots me voilà prise dans vos filets. Merci et Bravo.
· Il y a plus de 9 ans ·Douce pensée, MamZ'Aile Plume.
mamzelle-plume