Les véreux dehors, vive la démocratie permanente

caditcarno

Indispensable : la démocratie permanente

Avouerai-je que je suis resté quelques jours sans m'intéresser à l'information. Retour sur les sites des journaux, et je vois que ça continue : Sarko, Mam, et Cie

Ce qui m'inspire une réflexion.

Certains doivent démissionner, il est grand temps que les profiteurs s'en aillent, sinon il faudra faire en France comme en Tunisie et en Egypte.

Ce pouvoir vieillissant et bling-bling devient scandaleux.

La démocratie devrait être permanente et les responsables sur des sièges éjectables ;

toute immunité devrait être proscrite, tant pour les parlementaires que pour le président : une faute : dehors !

Cela apporterait plus de rigueur et permettrait un contrôle permanent des responsables politiques fort bien payés, qui se sont auto-augmentés, pratiquent les cumuls, et qui néanmoins profitent du système, compromettent le pays, le ridiculisent, ne prennent pas les bonnes décisions, ne tiennent pas leurs promesses... A quoi a servi l'abolition des privilèges ?

Un seul exemple : depuis des années, les coûts entraînés par le fonctionnement de l'Élysée se multiplient, littéralement. Comment justifier cette inflation énorme tandis que l'on réduit partout le nombre des fonctionnaires utiles. Les Français qui ne trouvent pas de HLM en ont marre des ors de la République.

  • je valide completement!!

    · Il y a plus de 13 ans ·
    K0749691 orig

    malika

  • Merci pour tous ces commentaires et pour leur sagesse, notamment celle de Stef
    Moi j'ai tendance à m'emporter !

    · Il y a presque 14 ans ·
     aditcarno orig

    caditcarno

  • Stephane Hessel, aussi...

    · Il y a presque 14 ans ·
    Soir e jazz 58

    luc--2

  • Je reconnais dans les propos de Stef quelque chose du grand Habermas. Il est vrai que c'est le fondement de la démocratie : le discours, la discussion, l'agora, et l'éthique qui sont à remettre au programme. Il n'y a plus de place pour le débat, mais seulement pour ses simagrées télévisuelles. La politique n'est plus le lieu du bien commun... de l'intérêt général.

    Et il est bien vrai que la démocratie permanente (et si possible plus directe) est nécessaire pour ne cesser jamais de réinjecter du sang neuf et quelque lessive dans les vaisseaux de la République...

    · Il y a presque 14 ans ·
    Img 0789 orig

    Gisèle Prevoteau

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