LIMEN #1 - Octobre 2008

Violhaine Larsen

Limen.

Histoires d’une suture. 

Limen.
In physiology, psychology, or psychophysics, a limen or a liminal point is a threshold of a physiological or psychological response.
Liminal, as an adjective, means situated at a sensory threshold, hence barely perceptible. The absolute threshold is the lowest amount of sensation detectable by a sense organ. 

Liminal (adj.)
1.(physiologie;psychologie) à peine perceptible, au seuil du perceptible.


#1. Octobre 2008

Je me noie dans le café au lait.

En t’attendant.

J’écoute le buzz de ton prénom qui clignote en lettres de néon dans mon esprit.

Je subis.

Je ferme les yeux et trouve ton corps dans le vide,

Sensation fantôme de quand tu étais là.

Mais la douleur, elle, ne s’en va pas.

Cette impression, d’être une coquille vide, qui ne peut être remplie par rien d’autre que ta présence.

Pourquoi ce sentiment finit toujours par disparaître un jour mais persiste, insidieux, quand on voudrait qu’il disparaisse ? 

Tu es parti depuis une semaine.

Et je suis enveloppée dans mon brouillard de solitude, dans mon émotion post-coïtale.

Nous ne nous sommes pourtant pas touchés depuis une semaine. 

Ton absence fait ressurgir des instants de doute douloureux,

L’image se brouille, je passe de l’autre côté de la matrice.

Tu apparais devant moi en parasites. Si j’essaie de te toucher, mes mains te traversent.

EN HVAR ERT ÐÚ ? 

Je regarde tes photos punaisées au mur. Les vois, plutôt.

J’en suis la spectatrice, lointaine.

Chaque moment de ta vie où  je n’étais pas,

Qui étais-tu ?

Tellement de questions, qui restent bloquées dans mes silences, coincées dans mes joues qui rougissent. 

Ton absence rend ma vie inexistante.

Ton passé, mon présent inintéressant. 

Le manque de confiance en soi est une drôle de chose. Je rejoins ton image dans les parasites. Je deviens translucide. 

Je n’existe plus pour eux ; sortie de leur champ de vision, je pourrais aussi bien être morte.

Ton absence me fait écrire n’importe quoi.

Ou bien est-ce la douleur. 

Et pourtant, je n’échangerais notre histoire contre rien au monde.

Douloureuse, bordélique, chaotique et viscérale.

Que demander de mieux ?

Je n’échangerais la façon dont c’est arrivé pour rien au monde.

Cette nuit, interminable.

Cette semaine, qui en a semblé  mille.

Cette première fois, aux relents punks, par 40°C.

Ces trucs forts, les doutes, les larmes, le mal de crâne à force de penser en boucle.

Ce besoin l’un de l’autre.

Facile. Evident. Collé aux tripes. 

Quoiqu’il arrive, même si dans deux mois je suis « malheureuse comme une pierre » et décide de m’en aller, personne ne pourra me retirer ça.

Et je pourrai affirmer, la tête bien haute, que j’ai profité de chaque instant. 

Il paraît que c’est une fois qu’on a tout perdu qu’on devient enfin libre.

Et j’ai perdu ma vie.

Ma vie d’avant, ma vie toute tracée.

Erase & forward.

On repart à zéro.

Back to the future.

Ha pardon, vous pensiez connaître la fin du film?

Non non.

Je vous présente mon futur alternatif.

I chose not to choose life. I chose something else!

Aucun regret.

Et en bonus, la satisfaction d’avoir fait ce qu’il fallait pour mon Bonheur, contre toute attente, contre l’avis quasi-général. 

Et pourtant, ce soir, j’ai pleuré.

Pour la première fois en deux semaines.

Submergée par la solitude.

Sentiment d’abandon, et les rouages de mon imagination malsaine qui s’emballent.

Comme au sale vieux temps.

Je ne suis vraiment pas faite pour la solitude.

J’ai besoin qu’on s’occupe de moi,

Un minimum.

Qu’on écoute mes jérémiades. 

Mais le meilleur, dans tout ça, c’est qu’avec ta présence ces gémissements avaient cessé. C’est aussi le pire.

Car sans toi, retour à la case départ.

In the end it’s always me alone, vraiment seule, ne voyant personne de la journée, ne parlant qu’au chat.

C’est le pathétique de cette situation qui m’a conduite aux larmes.

Pas le fait que tu t’éclates sans moi,

Mais le fait que j’imagine, même une seconde, que tu puisses m’oublier. 

J’aime tellement l’effet que tu as sur moi…

Cette façon de m’ôter toute peur, irrémédiablement. De chasser tous mes doutes.

Si seulement l’offre n’était pas limitée dans le temps…

Une semaine, un jour,

et quelques heures. 

Je commence presque à oublier ce que ça fait de te toucher.

D’être dans tes bras, de te regarder dormir et tous ces trucs débiles.

Juste être assise à côté  de toi, marcher avec toi dans la rue. 

La rue…

Elle est devenue mon cauchemar désormais. L’idée seule de sortir me soulève l’estomac. Cette ville ne m’appartient plus et, une fois dehors, je frôle les murs, tête basse.

Trop peur de croiser quelqu’un.

De devoir encore se soumettre à  la loi du small talk.

Pire, devoir encore ignorer.

Au risque de se haïr encore plus.

Chaque sortie me donne un peu plus envie de m’enfermer chez toi.

Et pourtant…

Croiser ces gens que je redoute permettrait de crever deux, trois abcès ou plus.

Mais je refuse que cet effort vienne de moi.

J’ai déjà fait le premier pas. 
Ca m’a coûté. On ne me la rendra pas, ma dignité.

J’ai rampé.

J’ai pleuré.

Je me suis ouvert les veines devant mon écran, cet écran qui est mon seul lien avec eux désormais.

Pathético-ridicule.

Et par-dessus tout, inutile.

Tous ces gens, mes supposés meilleurs amis,

N’ont rien compris.

Quelle déception. 

L’acceptation de cette histoire – qui ne concernait pourtant que 3 personnes – a été décroissante,

Plus les juges m’étaient proches.

Etaient proches de cet ancien couple, soi-disant parfait, soi-disant modèle.

Et nous l’étions, certainement.

Mais à quel prix ?

C’est là qu’intervient l’incompréhension, brutale. 

Comment signifier à des tiers l’invisible ?

Comment leur expliquer l’indicible ? 

Quand on a joué un rôle pendant ces longs mois, à l’insu de la plupart d’entre eux ?

Comment les conserver sans les condamner, eux, qui, pourtant, ont véritablement échoué à  me connaître ?

Comment, donc, tourner la page, les laisser à leur routine dans leur bande d’amis, qui ne sera plus jamais la mienne ? 

Car je les ai perdus.

Bousculé leur univers, de façon irréversible.

Devenue la méchante salope, une exilée de leur monde.

Bannie. Par ces bourreaux.

Pestiférée qui ose s’en aller du jour au lendemain. 

Ils sont doués pour les grands mots,

Les leçons de morales vides de sens.

Mais restent sur leurs petites positions étriquées,

Ne voient pas plus loin que leur putain de nez.

Me rendent amère.

Et j’ai besoin de toi,

Pour faire s’évanouir toute cette bile. 

Et je compte les jours,

Je compte les heures…

Jusqu’à ton retour.

Que j’attends autant que je le redoute.

Parce qu’il sera bref.

Parce qu’en deux semaines tu auras peut-être changé.

Tes sentiments auront peut-être changé.

J’ai confiance en toi,

En ces sentiments. 

Mais, encore une fois, mon bon sens est à durée limitée.

Une semaine,

Quatre jours,

Et quelques heures.

Que je suis en apnée complète.

Que mon cerveau est privé  d’oxygène.

Je vis une near death experience,

Commence à délirer sévère.

Qu’on me rende

Mon ventricule gauche,

Mon poumon droit !

Qu’on me rafistole enfin, pour 24h,

Au bout desquelles je serai charcutée  à nouveau.

Il n’y a que toi qui puisses me rapiécer.

Si seulement on avait du fil un peu plus solide…

Peau contre peau, je nous coudrai en face à face.

Lèvres contre lèvres,

Ton bras droit et mon bras gauche,

Ma paupière droite et ta paupière gauche.

Tissés à la grosse aiguille,

Figés dans notre propre espace-temps. 

*

Toujours en manque d’oxygène.

Toujours en plein délire.

Mes nuits sont sans rêves, alors je cauchemarde éveillée.

Et dans ces mauvais songes, je ne peux l’empêcher,

Ils jouent tous les invités

Surprise.

Leurs visages défilent, accusateurs.

Leurs mots sont répétés  à l’infini.

Me rouent de coups.

Sont répétés, répétés.

Et AMPLIFIÉS. 

// POURQUOI TU NE VIENS JAMAIS SUR MA TOMBE ? PERSONNE À JAMAIS BÊTE ET NAUSÉABONDE. JE PENSE TROP : "C'EST ALORS QU'ELLE S'IMAGINE LA PELLE S'ENFONCER. DANS LA TERRE, PUIS DANS SA TÊTE". VIOLENT !! ET MÉCHANT COUP A FENDU MON ÊTRE. DONT IL RAMASSE LES RESTES, MORCEAUX RUINÉS DONT IL SE DÉLÈCTE. JE T'AI VU QUAND TU NE M'AS PAS RECONNUE. CHERCHER TES GESTES FACE AU CORPS QUE TU AS ÉMU. TU T'OBSÈDES ET T'ÉLOIGNES DE MOI. QUOI QUE TU FUIES, JE RESTERAI SOUS TON TOI. LÀ OÙ NOS DEUX CORPS SAIGNENT. // ARRIÈRE GOÛT DE SANG / UN AMER GOÛT DE FER, ARRIÈRE GOÛT DE SANG / UN AMER GOÛT DE FER, ARRIÈRE GOÛT DE SANG / UN AMER GOÛT DE FER, ARRIÈRE GOÛT DE SANG !!! // M'EN SORTIR ? ÇA JE NE PEUX PLUS. AS-TU PENSÉ AUX ÂMES ET AUX SOEURS QUE TU AS DEÇUES ? ILS ME MANGENT ET TU L'AIMES. JE PLEURE LES SAINTS DE TE VOIR SUR CETTE CHIENNE. // SALE… C'EST CETTE PUTE QUI M'A TUÉE. SALE. C'EST CETTE PUTE QUI M'A TUÉE. SALE. C'EST CETTE PUTE QUI M'A TUÉE. SALE. C'EST CETTE PUTE QUI M'A TUÉE. SALE. C'EST CETTE PUTE QUI M'A TUÉE. // JE POURRIS, POUR ÇA JE VOUS HAIS. TOMBE NE FLEURIT. JE VOUS HAIS, POUR ÇA JE TUERAIS… // 

Toujours en manque d’air.

Qu’on me donne de l’oxygène.

De la nicotine.

Des vapeurs de soufre.

Anything.

Please.

Qui me permette de tenir un peu, seule.

Qui m’empêche de devenir schizophrène et paranoïaque.

Qui empêche le temps de se distendre à ce point.

De me narguer avec ces soirées longues comme la mort.

Qu’on sème sur mon chemin un ami, même imaginaire,

Qui resterait avec moi,

Qui resterait pour moi, coûte que coûte ! 

Et imaginaire il ne peut qu’être.

Je ne suis pas assez naïve pour croire au Père Noël, à la Tooth Fairy, à  Jack l’Épouvantail et à toutes ces conneries comme l’amitié inconditionnelle.

Je sais très bien que je suis capable d’aimer quoiqu’il arrive, de me battre pour ça.

Mais sur les autres, ces autres, je n’ai plus aucune illusion.

(mensonge)

Et une fois de plus… C’est douloureux.

Car on a beau se croire plus fort que tout, au-dessus de leurs médisances et  de leur superficialité, on ne peut pas devenir insensible du jour au lendemain. 

Surtout un jour d’anniversaire. 

Un réveil la gorge serrée, une boule d’angoisse lovée juste en-dessous du cœur.

Encore une soirée où je brillerai par mon absence.

Pas d’invitation dans ma boîte.

Et je verrai les photos,

La gorge serrée,

Une boule d’angoisse dégoulinant sur mes joues.

Et je n’ai pas pu en parler, pas autant que je l’aurai voulu.

Tout comme je doute pouvoir manger autant que je voudrais vomir.

Alors j’ai tout ravalé.

Ma bile.

Ma rage.

Ma rancœur.

Mes paroles.

Mes larmes.

Jusqu’à la prochaine fois.

Jusqu’à ce que la boule d’angoisse éclate pour de bon.

J’espère que, ce jour-là,

Tu ne seras pas là.

You’re slipping slowly from my reach / You grow me like an evergreen / You’ve never seen the lonely me at all.

At all. 

J’ai peur de ce monster en moi, que tu dis ne pas craindre mais que je connais mieux que toi.

Dès qu’il te voit, profil bas,

Mais dès que tu pars…

Il s’éveille, s’étire, les yeux pleins de malice à l’idée de son prochain méfait.

De la prochaine idée malsaine qu’il insinuera dans mon esprit.

Avec laquelle il me laissera moisir indéfiniment.

Jusqu’à ce que je trouve le courage de la confier à quelqu’un.

Dépasser ma peur maladive du ridicule. 

Celle qui m’empêche d’être moi.

Celle qui me tuera, à coup sûr.

Mais pas tout de suite.

Non, pas trop vite, il faudra bien que je souffre, d’abord.

Que j’en bave.

Parce que c’était mon choix,

Et que je l’ai bien mérité.

On pense tellement au malheur de celui qui reste, qu’on en déduit que celui qui part peut bien passer à la trappe.

Et pourtant…

Un peu de soutien,

Ça n’aurait pas été trop.

Pas de jugement, ç’aurait été pas mal.

Juste un « Et ça va, toi ? »

« On est là pour toi, tu sais. »

Some wounds never heal.

Et certaines leçons ne sont jamais apprises, jamais personne ne réagit comme on le voudrait.

Court-circuit à  nouveau.

Tout ça me parasite.

Tout ça, et le désœuvrement…

Me rendent folle.

Je tourne en rond, comme un goldfish en bocal ;

Volette mollement comme un serin en cage. 

Je manque de toi, visuellement, olfactivement, tactilement.

J’ai envie de retourner l’appartement en quête de quelque chose de nouveau.

Something new.

Something old.

Something blue…

Ou quelque chose d’emprunté,

Arraché à  ta vie d’avant,

Seul lien avec toi dans mon exil du monde.

Faire partie de ton passé, même en tant qu’invitée,

Puisque notre présent n’avance pas et que notre futur est si loin.

Faire la voyeuse, quelques instants,

Te vivre par procuration.

Faute de mieux.

En attendant. 

Je me noie dans le thé vert, à présent.

Cherche un peu de pureté. Cure de désintox.

Passage à  l’âge adulte.

Je m’affranchis, ai gagné une bataille mais la lutte est loin d’être finie.

Je tourne les pages de mon infantilisation, les déchire et les brûle sous vos yeux ébahis.

Je grandis.

Il était temps. 

YOU grow me like an evergreen.

Tu m’euphorises.

A chacune de tes apparitions.

(me propulsent en état de grâce)

Valent à  elles seules toutes les souffrances infligées injustement.

Justifient tous ces sacrifices que je suis prête à faire pour toi.

Sacrifices…

Qui n’en sont plus, puisqu’ils ne me coûtent pas.

Tu m’as transformée… 

Et je me plains de ne plus avoir d’amis.

Mais le problème n’est en fait pas là.

Que je sois seule ou accompagnée,

C’est ta présence et elle seule qui me manque.

Même avec la meilleure volonté du monde, les autres n’y peuvent rien. 

Est-ce la même chose pour lui ?

Je ne crois pas.

Il m’a dit :

« Heureusement,

Je suis entouré. » 

Je ne le suis pas.

Ou si peu.

Mais cela ne change rien, fait juste passer le temps un peu plus vite.

Mais si peu.

Et tu me manques tout de même, de cette douloureuse façon.

Si vive lorsqu’on se sépare, la douleur s’assourdit au fil des heures,

Mais ne faiblit jamais.

Ne s’oublie jamais.

Ne me quitte jamais.

Elle se déplace, juste. 

Au bord de mes yeux d’abord,

Au fond de ma gorge ensuite.

Puis pèse, poids insupportable, sur mes poumons.

Bloquant ma respiration.

Apnein tremens, une nouvelle fois.

Le flux de délire me ramène droit sur ces souvenirs périmés, aussi sûrement qu’une bagnole lancée à toute vitesse contre un platane.

BAM !

No more pictures for me. 

Chacun de ces bons moments que j’ai pu vivre,

Je dois les oublier.

Tout jeter,

Déchirer,

Brûler. 

THINGS WILL NEVER BE THE SAME

GOOD BYE MY FRIEND 

Je n’ai rien à accrocher aux murs.

A part peut-être des lambeaux de ma propre peau.

Mon corps mis à  sac.

Mon cerveau vide de mémoire.

Je les aurais finalement sortis de leur bocal,

Un de ces jours comme aujourd’hui,

Où je me déteste sans trop savoir pourquoi.

Où le peu de confiance en moi qu’il me restait semble disparu à tout jamais.

Où les paroles de chansons se font trop parlantes.

Où les mots, les images se changent en eau salée. 
Et légèrement amère. 

Ha, toujours ce fiel ravalé…

Me coule sur les joues, cette fois.

Quelle déchéance.

Je hais ma gueule dans le miroir.

Je hais chaque mot que je prononce et chaque mot que je ne prononce pas.

Je me hais de ne pas être la première, je me hais de vouloir être la dernière.

Je me déteste tellement, de me laisser abattre à ce point par des attaques extérieures,

Invisibles,

Inventées !

Montées de toute pièce par mon esprit malade, qui saisit le malsain de chaque situation, et me l’injecte en intraveineuse. 

FUCKING DRAMA JUNKIE!

Comment passer du rire aux larmes aussi vite et s’en sortir indemne ?

Putains de jours sans.

Il est si facile de chuter, perdre foi en à peu près tout.

C’est si injuste.

Aucun effort de récompensé.

KARMA MON CUL, C’EST MARCHE OU RÊVE !

Crève, crève, ne crois pas te relever.

Tu as vraiment cru que ça serait si facile ?

Naïve.

Replonge.

Coule.

Avale

Etouffe.

Jusqu’à la prochaine bouffée d’air ;

Que la prochaine noyade te reprendra bien vite. 

Noir. Tard.

Les murs transpirent

Moites de sueur et de vapeurs

Les oreilles sifflent à l’agression.

Emprunt de mots à : Sigur Ros, Trainspotting, The Cardigans, eths, Placebo, No Doubt, UMFM.

  • Je n'aurai jamais pensé pouvoir suivre un texte de seize pages. Et pourtant. Le début respire une authenticité qui pousse à la pitié et la révolte, puis on sent que c'est la révolte qui domine le discours. J'espère que le personnage de cette nouvelle continue à croire en elle. Elle a toutes les raisons pour: elle a une richesse intérieure, une puissance cérebrale et dans ses sentiments qui en font une personne hors du commun. Elle mérite mieux de la vie.

    · Il y a plus de 12 ans ·
    Th

    terosse

  • Je ne sais que dire, alors : "merci", ou "de rien" ?
    :)

    · Il y a presque 14 ans ·
    Poulpe orig

    Violhaine Larsen

  • always the same old story ? on se dit déjà vu mais de le lire, avec votre rythmique et le mystère liminaire du liminal sub- liminal ***!#:^"^^@ du tout début et qui "tient" toutes les pages - seul un merci (plusieurs?)peut être à la hauteur du contenu...

    · Il y a presque 14 ans ·
    Crater orig

    gun-giant

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