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yl5
Peste
Blés - lyres - épouvante - effrayant – mêler
Journal d'un confiné
Jour 56
Les meuniers se frottent les mains car ils ne se sont jamais fait autant de blé en vendant leur farine à tous les apprentis boulangers qui depuis le début du confinement ont tenté la façon de leur pain quotidien. Chez les fabricants de lyres par contre pas de délires, la courbe des ventes même dans les gammes les plus économiques est aussi plate que celle des malades du Covid 19 rêvée par le gouvernement. Par contre les livres où l'épouvante règne, dont le sujet évoque le climat effrayant actuel ont le vent en poupe surtout s'ils peuvent y mêler un fond comme la Peste de Camus.
Ils essaient de se rassurer...
· Il y a plus de 4 ans ·marielesmots
Ah bon ? C'est vrai ? C'est le côté fascination morbide ?
· Il y a plus de 4 ans ·Sy Lou
Oui la Peste cartonne !
· Il y a plus de 4 ans ·yl5
C'est tout à fait ça car il paraît que "La Peste" se vend bien !
· Il y a plus de 4 ans ·Louve
c'est bien vrai.... j'adore les dessins de Ptit Luc...
· Il y a plus de 4 ans ·vividecateri
« Meunier, tu dors, ton moulin, ton moulin va trop vite… » Si le meunier s’endormait et qu’il n’y avait plus de grain à moudre entre ses meules, le moulin s’enflammait instantanément à cause de la poussière de blé. C’était la raison pour laquelle on construisait les moulins loin des villages comme s’ils avaient la peste. :o))
· Il y a plus de 4 ans ·Hervé Lénervé
Et du vent ou de l'eau aussi ?
· Il y a plus de 4 ans ·yl5
Tout travail mérite énergie. :o))
· Il y a plus de 4 ans ·Hervé Lénervé