Loup-Garou
Cædrik San
Dans un rêve, j'étais un loup-garou.
Mon âme était remplie d'une lumière de cristal.
Des rubans de lavande et une pluie de sang débarrassaient mon cœur d'une lutte mortelle.
Coucher de soleil rompu, absence tranquille d'un père et de ses épreuves de force.
Pistolet sur la hanche. Lèvre gonflée. Goulot de bouteille, oui. Je suce une bite.
Perdre l’adhérence sur une chute de gravité. Ciel aveuglant et ses murs croulants.
Une rivière qui balaie des souvenirs. Tout un tas.
Les enfants sont l'amour d'une mère, avant qu'elle ne chante ses méprises. Chair de sa chair. C'est une erreur qu'il faut pardonner. Elle n'est pas saine d'esprit ! Elle aime les allumettes !
Jeunes cœurs, éclatement. Plaies ouvertes. Fraichement saignantes.
Un grand frère trop grand et trop maigre, et nos vieilles promenades. Vers l'océan sombre. Plein de sommeils. Sommeil.
Fleurs dans l'eau.
Mais je suis sa fille.
Qui marche dans une tombe de glace. Hypogée. Qui me conduit à mon père schizophrène.
Saule pleureur, ne vous vautrez pas si fort.
Rechercher les pouvoirs de mon père.
Je vais te secouer.
Debout sur ce cheval !
Et, chevauche vers ce coucher de soleil.
Regarder en arrière. Sans remords.
Un possesseur de magie noir. Certains pensent un sorcier.
Dans l'obscurité où il est né. Des ruses contre sa mère. Dans son dos.
Est né, et c'était le bâtard.
Jusqu'au mariage, son auteur ne sachant rien. Faire le mal, il devait. Le faire, à cette voiture d'enfant. Le jouet.
Il est né, avec ses mêmes yeux bleus.
Un navire de cristal. Des gouttes d'eau. Salées. Avec de la glace. Dehors il fait froid. Dehors. Des diamants.
Dans les feux d'artifice, les nuits électriques. Lumineuses. La maison se souffle. Problème électrique. Elle meurt.
Et maintenant, il a ses deux fils. Essayant de cacher ses larmes dans un monde de plaisir. Mon père. Son frère. Et leur père. Sans mère.
Mais sans amour. Sans chambre remplies de soins.
Chagrin silencieux, de Juillet à Juin.
Les jeunes flammes chaudes. Pleurons les souvenirs plus tard.
Ris, maintenant ! Alligator !
Dans un rêve mon père est venu.
Et m'a fait juré de garder un secret.
Sacré.
Je choisis de vivre en son nom.
Je prie mon chemin, à travers la pluie.
Pour chanter « Oh happy day »
Je ne veux pas fermer la porte.
Mais pour l'interrogatoire, mon cœur est douloureux.
Tu as fais en moi comme des trous de balle.
Pistolet sur ta hanche.
Gauche. Des taches sur mes draps. Colorées.
Tu m'as laissé tomber en panne. Au commencement. Avec violence.
Mais j'ai trouvé ! Avec un homme, rencontré. Que j'ai dérangé.
Il avait les mains de mon père.
Mais j'ai sucer. Comme un vampire.
Dans l'ouest cette fois-ci, mais c'était différent.
J'ai eu des rêves où je suis triste. Qui me rendent malheureuse.
Beaucoup de douleurs, profondes. Cette rivière.
Courant de tristesse qui me traverse. Vagues de frissons, minuscules.
Des films au maïs. Comme avant.
Et sur cette merde de générique amoureux. Les gens vivent la vraie vie. Et souffrent.
Premier baiser, crapaud et princesse.
Un essai transformé, un texte réussi.
· Il y a environ 14 ans ·Jiwelle
J'adore!
· Il y a environ 14 ans ·ko0
Tres bon texte :)
· Il y a environ 14 ans ·tetedelitote