Marguerite cherche une b...

fidelio

Marguerite, en servante dévouée, s'appliquait à lécher le clitoris de la comtesse, quand celle-ci lui demanda brusquement d'arrêter. Surprise, la jeune fille sortit la tête de l'entrecuisse de sa maîtresse.
- Ta langue ne me suffit pas aujourd'hui, expliqua celle-ci en la repoussant du bout de l'orteil. J'ai besoin d'un sexe. Mais mon époux est en déplacement depuis fort longtemps et aucun de mes amants ne répond à l'appel. J'ai tellement envie de sentir une verge en moi.
La comtesse regarda la soubrette d'un air coquin.
- J'ai besoin que tu en trouves un pour moi. La meilleure, cela va sans dire !
Marguerite eut du mal à masquer sa gène.
Comment, vous voulez que je baisse le pantalon de tous les hommes du château ?
Je veux que tu m'en ramènes un qui te donnera du plaisir. Qu'il soit long, dur. Peu importe. Je veux que tu y gouttes, il ne suffit pas de les regarder.
- Madame, vous êtes vraiment sûre de...
- Tu ne vois donc pas comme je suis trempée ? Dit la comtesse en enfonçant deux doigts dans son vagin. Il me faut une queue, vite !
Les joues de Marguerite tournèrent au rouge écarlate.
- Pendant que tu effectues tes recherches, je vais rester ici et me donner du plaisir. Fais vite !
La servante se rhabilla et sortit de la chambre en vitesse.

Marguerite se mit en quête du meilleur sexe qu'elle pourrait trouver parmi les domestiques. Elle avait bien des idées, mais il lui fallait vérifier. La jeune fille n'avait pour l'instant couché avec aucun homme du personnel. Jusqu'à récemment, elle était vierge. Mais la beauté de ses traits et l'opulence de sa poitrine demeuraient un atout de taille : on accéderait facilement à sa requête.
Marguerite eut une idée. Elle se rendit dans les écuries.
Il ne lui fallut pas longtemps pour y trouver Martin, le garçon d'écurie.
Nerveuse, elle s'approcha de lui.
- Bonjour Martin, dit-elle d'un ton aguicheur. J'ai quelque chose à te demander.
Bien sûr, dit le jeune homme en se tournant vers elle. De quoi s'agit-il ?
Prenant une inspiration, Marguerite plaça sa main sur l'entrejambe de Martin.
- Je veux voir ton sexe, dit-elle. Je veux le toucher.
Martin avait toujours eu des vues sur la jolie blonde. Cela ne pouvait pas mieux tomber ! Celui-ci déboutonna son pantalon pour laisser les douces mains de Marguerite lui agripper les testicules, accroupie, avant de lui branler la verge. Le garçon d'écurie ne comprenait pas ce qu'il se passait, en quel honneur la délicieuse créature s'occupait ainsi de son sexe, mais il en profita pleinement.
Au bout d'un moment, Marguerite prit le membre gonflé de Martin dans sa bouche et opéra à des mouvements de va-et-vient. Au comble du plaisir et de l'excitation, le jeune homme finit par jouir. La jeune sentit la semence remplir sa bouche, l'avala d'un trait et continua de sucer le membre sensible de Martin pour qu'il reste dur. Ce dernier en frissonnait, en tressaillait mais il se laissait faire. Il attendait ce moment depuis tellement longtemps !
Marguerite invita son amant occasionnel à se coucher avec elle dans le foin. Guidant son sexe avec la main, elle l'introduisit dans son intimité en poussant un cri de plaisir. Martin la ramona avec vigueur pendant de longues minutes, jusqu'à finalement la remplir de son jus. Ils jouirent à l'unisson et s'étreignirent longuement après l'orgasme.
Ce n'est qu'une fois l'excitation retombée que Marguerite réalisa qu'on lui avait joui dedans et que donc, cela pouvait la mettre enceinte. Elle pourrait être renvoyée pour ça, ou pire ! Mais ce moment de pur plaisir en valait la peine. Au pire, elle ferait du chantage à Martin pour qu'il l'épouse.
Quand ce dernier commença à rhabiller, prêt à reprendre le travail, Marguerite attira son attention.
Allongée dans le foin, les seins encore nus, le sperme encore entre les jambes, elle lui lança un regard lubrique.
- Tu serais parfait pour la comtesse !
Martin l'interrogea du regard.
- Dépêche-toi, dit Marguerite en lui prenant la main. Ne fais pas attendre ta maîtresse !
Le garçon finit de se rhabiller et, tout en se demandant s'il ne s'agissait pas d'une mauvaise plaisanterie, se fit guider par la demoiselle jusque dans la demeure.

Ils montèrent un grand escalier, avant d'emprunter un long couloir au bout duquel se trouvait la porte de la chambre de la comtesse. Après avoir frappé, Marguerite entra dans sa conquête.
- Alors, tu m'as amené ce que je cherchais ? demanda la comtesse en se tournant vers eux. J'ai failli attendre.
Martin fut surpris de découvrir la maîtresse des lieux nues, en train de se prélasser sur son grand lit à baldaquins. Il sentit immédiatement son sexe durcir dans son pantalon.
- Oui Madame. Voici Martin, le garçon d'écurie. Il sent un peu le foin mais c'est un amant fougueux.
- Je l'espère. Approche et déshabille-toi.
Le jeune homme obéit. Il commença à ôter sa chemise.
Le bas suffira, dit la comtesse en se mettant à quatre pattes sur le lit, la croupe offerte. Martin n'en revenait pas. Allait-il réellement coucher avec elle ? Son membre nu était à présent dressé.
Et maintenant, prends-moi, ordonna la comtesse.
Sans se faire désirer, Martin s'enfonça en elle. Le jeune homme avait l'impression de vivre un rêve.
Pendant ce temps, Marguerite observait la scène, sur le seuil de la porte.
- Quant à toi, lui dit à la comtesse en tournant la tête vers elle, je veux que tu nous regardes en te masturbant.
Excitée par cette idée, la jeune femme glissa la main sous sa robe pour jouer avec son clitoris.
Le jeune homme, toujours en train de ramoner sa maîtresse, était de plus en plus excité.
Prends-moi par le cul maintenant, lui dit-elle.
En bon serviteur, Martin sortit son membre gonflé pour l'introduire dans le petit trou de la comtesse. Celle-ci en poussa un cri de volupté.
Au bout d'un long moment passé se faire ramoner le petit trou, la comtesse ordonna à son partenaire de s'allonger sur le lit. 
Martin obéit et la comtesse entreprit alors de le branler et le sucer d'une main experte.
- Tu peux te vider dans ma bouche, dit-elle.
Le jeune homme ne se fit pas prier et déchargea sa semence, qui finit au fond de la gorge de madame la comtesse.
- Je veux que tu jouisses encore, dit-elle en continuant de le masturber.
La sensation des doigts de la comtesse sur son gland se situait quelque part à mi chemin entre plaisir et torture. Finalement, après plusieurs minutes d'une douce agonie, il jouit pour la quatrième fois.
- Tu es un bon garçon.
Puis la comtesse se tourna vers Marguerite, trempée à la vue d'une telle scène.
- Je veux que tu nettoies son foutre, dit-elle. 
La jeune femme approcha et lécha le sperme, d'abord entre les doigts de sa maîtresse, puis sur le sexe de Martin. Cela lui donnait des idées, excitait son imagination.
- Et maintenant, baisez devant moi serviteurs.

Le 08/12/2017

  • J'aime ce genre de littérature, sans vraiment me l'avouer. Comment décrire l'indicible volupté de l'osmose brûlante ? Chacun sa façon...

    · Il y a plus de 5 ans ·
    Sticker mural papillon bleu noir

    Lev Hamels

    • Merci ! J'aime écrire ce genre histoires érotiques, surtout celles qui se passent dans un cadre historique, si possible avec une comtesse lubrique… Ah ah!

      · Il y a plus de 5 ans ·
      1078768323

      fidelio

  • histoire excitante :)

    · Il y a presque 6 ans ·
    Kiss

    lamaitresse

    • Merci, c'était le but recherché :)

      · Il y a presque 6 ans ·
      1078768323

      fidelio

  • Ce qui est drôle c'est de voir que vous êtes lu ( pas mal quand mème comparé à d'aitres) mais peu commenté.

    · Il y a plus de 6 ans ·
    1338191980

    unrienlabime

  • Heu , ben quoi c'est de l'erotisme à l'état pur et dur.

    · Il y a plus de 6 ans ·
    1338191980

    unrienlabime

    • "Dur" est le mot juste, en effet !

      · Il y a plus de 6 ans ·
      1078768323

      fidelio

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