Mère de l'art
Bernadette Dubus
Mère de l'art
Il tombait de jour-là une pluie monotone.
Attachées dans le dos ses mains moites de none
Inquisition avide de sang pur à verser
De son pêcher d'amour doit punir pour expier.
Elle monte au bûcher cette femme rebelle
Et les flammes se jouent de la pluie qui martèle
Le ciel avait pourtant choisi de l'épargner
Homme dans ta folie tu n'as su l'écouter.
Entendez son silence, elle est pâle et sereine
Le futur nous dira qu'elle était une reine
Reine de liberté, il vivra ton bâtard
Pour relever la flamme celle noble de l'art.
Elle a aimé, oh oui ! Elle a donné son âme
A un homme, mon Dieu ! Quelle honte infâme !
None parjure, mère, femme dépravation
Monte sur le bûcher pour un dieu d'illusion.
La bêtise des fanas religieux... On peut craindre qu'elle revienne, vivace, avec divers aspects, manipulatrice...
· Il y a plus de 8 ans ·Dans votre bio, vous dites que vous pouvez travailler sur deux romans en même temps. Ben, un auteur de notre XXe siècle a dit qu'il avait cette même possibilité, une quasi-obligation pour lui: C'est Marcel Pagnol... Eh bé peuchère !
astrov
Un poème enflammé si je puis me permettre...
· Il y a plus de 8 ans ·voda
Ha ha !!!!! bonne journée. Proverbe du jour : ne jamais jouer avec les allumettes
· Il y a plus de 8 ans ·Bernadette Dubus
quand on est sur un tas de bois
· Il y a plus de 8 ans ·Bernadette Dubus