NO WOMAN NO CRY

Philippe Larue

Alors que Bob l'éponge se Marley à gratter le sol comme une casserole, un Miami résonnait comme un requiem à Anémone, la maîtresse de maison. Elle pleurait au-dessus de l'évier, déjà par la corvée de vaisselle, le blues d'une séparation et...

Comment Anémone pouvait-elle rendre à sa bouche une reggae de sourires? Alors que son gospel les oignons prêts à se boudiner dans l'Aubert à côté d'une Houellebec de lièvre, des notes d'une coco mademoiselle grésillait sur la platine. 

C'était Rita, boulé par les dreadlocks naissantes à la créole. Anémone avait les Joe rouge Cocker de tristesses. 

- Disque Bob d'or à présent d'avoir beaucoup gratter la violence des soupes populaires depuis 1974. 

- Ok Anémone. No Woman No Cry 

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