Notre jour viendra

Caïn Bates

        Thème sur lequel je suis tombé pour les 48h pour Vivre, un festival de court métrage dont les seules contraintes sont: respecter le thème et d'écrire, tourner et monter et rendre le tout en 48h maximum. Ma plus grosse claque de ce festival fût ce court-métrage ci, celui de mon ami, assis juste derrière moi pendant la projection.


    Pour avoir l'aperçu le potentiel de sa démence,  je ne peux que le féliciter d'avoir aussi bien retranscrit cette maladie, cet handicap qui nous affectent.

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