nouvelle

Jean François Joubert

La peau lisse, oussamma n'avait plus de maman, quant-il se retrouva sur scène, c'était devant un tribunal, cause, le drapeau, le crapaud avait rendu des coups à ses bourreaux, l'ouverture d'un compte en suisse, non, il n'aimait pas le fromage. Pas petit, né en France, il a le sourire de ceux qui savent rire de tout et de rien du tout, cet homme beurre vit en Bretagne, le pays du quenn amende, pas celui du plus gros navire de la campagne de mer, du mercredi, au jeudi. Oussamma porte un prénom de terroriste alors quand il tape la police, on le conduit droit devant la justice, et là ça vie se brise car il pensait assister, venir en aide a un malheureux qui se trouvait roué de boue, de bouse, à Rennes, sans reine, sans les rênes du père Noël. Qui est-il se demandait le juge pour oser porter les couleurs de l'égalité, bleu, de la fraternité, rouge et parler d'égalité, blanc, lui qui n'a pas la peau de cette lumière là, bronzé sous les cumulus, et les altos-stratus. Un homme, une femme, la parité cornait-il cela, qu'elle est sa religion ? Celle du Paris-brest, où celle de l'islam souveraine, oups, souvenir d'un petit enfant né dans la Capitale d'un pays qui pue le choux-fleur et la vase. Une région où l'on colore les algues à coup de détergeant pour les cochons, cet humain, a sa raison, a-t-il raison ? Le juge menace, lui, sa famille d'expulsion mais il est né du bon côté de la barrière celle de la langue de Molière, et quelques notes de bignoux, sans le self-control de ce jour de mai 2005, il serait mort l'artiste, car il sait peindre des fleurs sur les mus de la prison, on le soumet au bracelet, le bras scellé, sa prison, tous des pions, du noir, au blanc, des cavaliers, du carmin, vert, jaune, turquoise, des billets de banqueroute, né de l'impôt des pauvres qui trinquent, il cornait, et lui il se bat pour ses convictions garde la fierté d'être soi dans un monde de brutalité, alité, le gendarme, euh, le chômeur, la chaumière des sans travail, les exclus de la rue, ce texte n'est pas fondamental, ni un résumé d'un débile mentale, qui aime l'ornementale et l'émentale, mais celui d'une classe de gens qui dans la rue, loin des rus, se disent nous allons monter que nous existons, et le travail d'intérêt générale, nous en voulons bien, nous somme plein, et si nous prenons le boulevard Malherbe, c'est notre sang, à sang pour % que nous versons, marre d'être le beau canard dans la tasse de café, mare d'être le nénuphar, sans fard, sans twitter, sans les réseaux sociaux nous avançons pour crier on a faim, on a soif, on a le droit d'aller dans le sens du vent, du courage, on a des enfants, une famille, et des cris, des crises parfois, pas par manque de courage que nous ne nous affichons pas mais pas par hôntre d'être sans avoir. Qui regarde ? Les ancêtres, par la fenêtre, les anciens par la lucarne, les armes baissées, les vivants et les morts. Dieu. Il n'est pas unique pour constituer un monde d'injustice, où on a oublié le sens des valeurs, l'argent, l'or, le diamant, ça fait réfléchir le miroir oasis aux alouette, chouette pirouette, nous n manquons tous dans les classes des exclus, la justice dans le pays des droits de l'homme est des deux côté suivant l'acteur, flamand rose, ou torpille bleu, nerf, couler, ne plus voir, ne plus s'asseoir, ne plus parler la honte de briller. Un homme est jugé pour sa défense d'élèphant sa conscience, certains pense con d'autre science, et seul l'avenir nous le dira  

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