Obsessions
freevan
Obsessions
Avril arrive, une nouvelle saison brûlée vive
Les quartiers vibrent, regorgent encore d’empreintes furtives
Au coeur d’une ville, frétille l’odeur des impulsives
Les charmes sévissent, travaillent au corps les hommes d’argile
Mes vagues à l’âme, pour l’heure sont libres
L’océan s’alarme, écume mon chibre
Avril s’immole, par le feu des passions vives
Les coeurs s’envolent, résonnent encore d’étreintes faciles
Des passions folles, ne restent que des traces infimes
L’après désole, les parfums suintent indélébiles
Mes vagues à l’âme, pour l’heure sont libres
L’amante ne désarme, pas que des fibres...
Pas encore sevré
Besoin d’reliefs à écumer
Pris dans la toile des obsessions
Envie de sexe a profusion
Envie de gestes et d’explosions
De flèches coniques pour l’expression
Et de cris
Et de cris
Pas encore satisfait
Besoin de pales regards défaits
Et l’engrenage des confessions
Envie des murs de cette prison
Envie de brûler sous l’étreinte
La consumer jusqu'a éteinte
Et de cris
Et de cris...