Ode à ma bite

constantjacob

A ce cher disparu, à toi lointain Prépuce,

Qui longtemps -l'ignorant ?- me causa du souci,

Je veux, en quelques vers, rendre un hommage ici

Louant ta soustraction et ta mémoire en sus.

 

 

Bien que cruel, amer et térébrant tu fusses,

M'éprouvant ces fois-là mais plus cette fois-ci,

C'est via cette chanson que je te dis merci ;

Hymne que sans douter reprendront en chorus

 

 

Les juifs, les musulmans et tous les allégés :

Mes frères fortunés dont le vit abrégé

A fait le vrai bonheur (sans ce vain oripeau).

 

 

Or comment regretter cet embarras d'antan ?

Car depuis que ma verge avance sans chapeau

En plus d'être bien droit tu es très zélé, Gland.

 

(Octobre 2010)

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