Plaisir surprise
[Nero] Black Word
Le matin se lève à peine et lui dort encore profondément. Allongé dans son lit, il ne sait toujours pas que je me suis éclipsée pour aller préparer sa surprise. Attendant nue près de la porte d'entrée, adossée contre le mur, je déguste le dernier soda qu'il nous reste.
Pendant cette nuit très chaleureuse, sentir cette fraîcheur sur ma bouche, le goût du fruit rouge s'étalant sur ma langue, les bulles éclatants dans ma gorge, ainsi que le froid couler en moi. Un frisson s'empara de moi tandis que mes yeux se fermaient un bref instant.
C'est la que quatre petits coups se firent entendre derrière la porte. Quatre coups, comme je lui avais demandé. Laissant la canette au milieu du salon, je lui ouvre la porte. Elle se tient la, devant moi. M'adressant un sourire coquin comme à son habitude.
Habillée d'un pantalon en cuir avec les bottes assortis, ainsi qu'un haut blanc sans manches sous une veste noir. Elle avait coupé ses cheveux roux au carré, et sur sa bouche avait étalé un rouge à lèvre très vif et très épais. A son bras, Elle tenait son habituel sac à main qui lui avait été offert par un de ses clients réguliers.
"Ca faisait un bail miss, moi qui pensais que tu m'avais oublié.
- Je ne pourrais pas oublier mon ancienne colocataire.
- Et c'est à moi que tu penses quand tu as un cadeau spécial à offrir ?
- Il ne te manque qu'un nœud fait avec un ruban et là tu seras un parfait cadeau.
- Qui te dis que je n'en ai pas un ?"
En me souriant d'avantage, elle sorti de son sac un ruban aussi rouge que son maquillage à lèvres et le noua autour de son cou.
"Me voila prête à être offerte. Tu as mon argent ?"
Prenant les cinq billets que j'avais préparés près du frigo, je me retourne vers elle en les remontant.
"C'est combien déjà tes tarifs ?"
Elle en prit deux entre ses doigts et les rangea directement dans ton sac.
"Pour toi ma chérie, c'est moitié prix. Et si nous commentions maintenant ?"
L'invitant à entrer, fermant la porte derrière elle, je la vis s'avancer jusqu'au lit occupé par mon homme. Lui dormait comme une masse sans porter attention à ce qui l'entoure. Sans attendre, elle se déshabilla entièrement, ne gardant que son nœud. Elle me sourit et glissa sous la couverture, remontant lentement jusqu'à son objectif.
Je rejoignis mon mec, me glissant contre son torse et commençant à le couvrir de baisers, avant de remonter dans son cou. Il finit par se réveiller et, encore dans les vaps, se tourna vers moi.
"Qu'est-ce qui se passe ?
- Rien. Juste ceci."
Je retire d'un coup la couverture. Dévoilant entre ses jambes, à la lumière du petit matin, une jolie rousse qui lui souriait. Une main tenant son sexe en érection, l'autre tenant son ruban pour le lui montrer. Ses lèvres étaient posées sur son gland. En cœur, nous le regardions.
"Joyeux anniversaire !"
Il eu juste le temps de sourire que je vins sur lui, présentant mes lèvres inférieurs sous son nez pendant que ma bouche vint aider notre invitée. A nous deux on dégustait son membre. Pendant que je l'engouffrais dans ma bouche, elle se chargeait d'en faire de même avec ses boules. Je faisais de longs vas et viens, elle s'amusait à le caresser de toute sa longueur avec des baisers langoureux. Nos bouches se rencontrèrent dans des embrassades avec sa queue.
Pendant se temps, je sentais sa langue passer sur ma fente. Lapant toute la mouille qui pouvait en couler. Il la glissait en moi avec des vas et viens qui me donnait encore plus chaud. Ce coquin s'amusait aussi à embrasser, à lécher, mon clito. C'était si bon, si chaud. J'en voulais encore.
Ma camarade rousse se releva et approcha son bassin du sien. Lentement, elle fit entièrement entrer sa lance de chair en elle, me laissant face à leur emboîtement dégoulinant de cyprine et de bave. Pendant qu'elle montait et descendait de plus en plus vite sur lui, moi j'y ajoutais ma langue. Sans que je n'aie à trop la bouger, en laissant faire les mouvements de notre invitée, ma langue passait d'une bite à un clito. Tout les deux très excités.
Tout ceci était accompagné par les forts gémissements de cette rousse qui commençait à se déchaîner. Pendant que je remontais face à elle, notre amie accélérait ses mouvements, encore et encore, jusqu'à s'effondrer de plaisir dans mes bras. Ses mains crispées à mes épaules, soupirant de plaisir, elle se blottit contre moi en se retirant de son empalement.
"Déjà fini les filles ?
- Pas encore mon chéri."
Je décide de le prendre en moi à mon tour. Toujours dos à lui, j'attrape son sexe dégoulinant et, tournant ma tête pour le regarder dans les yeux, le fais s'enfoncer dans mon cul. Il ne dit plus rien, me laissant aller jusqu'au bout. La prendre en entier fut long, aussi long qu'il l'était lui. Long de son sexe, long à être satisfait.
Quand je pus enfin le contenir, je m'étendis sur lui. Allongée sur son corps, la tête près de son cou, je me tourne vers lui. Je sentais que je soupirais et pleurais de plaisir d'être avec lui, de le sentir en moi. Pendant qu'il faisait des mouvements de bassin, ses mains caressèrent mes hanches, avant de remonter sur mes seins. Il les massait avec douceur et tendresse, s'amusant à pincer mes tétons.
Dans l'excitation, je sentis quelque chose sur mon sexe. En regardant, je vis les cheveux roux de cette coquine embrasser les lèvres de mon vagin comme si elle embrassait ma bouche. Avec gourmandise. Elle s'amusait aussi à jouer avec les boules de mon homme et avec mon clito. Elle y passait sa langue, les embrassait langoureusement, les suçait avec avidité.
J'avais si chaud et l'impression de perdre la tête au milieu de tout cela. Ma bouche se colla à celle de mon homme en même temps. Perdu dans mon plaisir, je finis par le sentir monter en moi. Jusqu'à jouir. Je criais, puis soupirais sans retenue, avant de me laisser aller. Incapable de bouger.
Il fit sortir son sexe de mon orifice. Je le voyais encore dur à côté du miens, fièrement debout malgré tout ce que l'on venait de faire. Je m'étais mise à sourire bêtement en le regardant pointer le plafond. Notre camarade de jeu vint rajouter son entrejambe aux nôtres en nous regardant fermement.
"Pour que ce soit un vraiment cadeau, il faut que tu jouisses mon gars."
Elle s'allongea sur moi, écrasant le sexe de mon chéri entre le siens et le miens, avant de se frotter fortement contre. Je sentis mon clito subir la pression de ses mouvements. Lui finit par suivre le rythme qu'elle venait de nous imposer.
Nos trois sexes semblaient danser ensemble, sur des pas restreints, durs et serrés. Elle s'acharnait vraiment contre lui, le masturbant entre nos cuisses. Lui faisait des vas et viens de plus en plus rapides, comme s'il nous pénétrait toutes les deux. Crispant de plus en plus des mains sur mes seins, soupirant de plus en plus fort, son plaisir montait en lui au milieu de celui que nous prenions. Dans un dernier râle, il finit par jouir entre nos bas-ventres. Dégoulinant sur nos vagins.
Notre invitée se releva et s'assit au côté de mon homme et moi, toujours allongés et épuisés. Elle nous sourit avant de se rhabiller.
"Bon, faut que je me sauve. J'ai encore du travail qui m'attend. Passez une bonne journée vous deux."
Devant la porte d'entrée, s'apprêtant à l'ouvrir, elle se tourna vers nous une dernière fois.
"Et surtout, pensez à enlever les traces de rouge à lèvres que je vous ai laissé. Bye !"