Poème : Confession
Paul Stendhal
Confession
Un des soirs d'été, où le ciel encore cuivré
Disparaît dans le firmament étincelant
D'étoiles, la Lune mère de l'éternité
Resplendit dans les cieux majestueusement.
A la clarté des lampes, ta fine silhouette
A l'allure désinvolte, fuyait furtivement
Dans l'ombre, et angoissée comme une fillette
Perdue, tu regardais les étoiles longuement,
Sombrant dans tes rêves et tes plus secrets désirs.
Dans un son doux et mélancolique, les soupirs
Du vent caressaient ton corps, l'enrobant d'un tendre
Linceul de fraîcheur ; frémissante de bonheur,
Tu murmurais quelques mots, que je pus entendre,
Et qui resteront toujours écrits dans mon cœur.
Très tendre merci
· Il y a presque 9 ans ·sophiea
Merci à vous Sophiea pour votre tendre commentaire, ainsi que pour votre note.
· Il y a presque 9 ans ·Au plaisir de vous lire.
Bien cordialement.
Paul Stendhal
14/02/2016
Paul Stendhal
le vent léger et coquin la rendait frémissante de bonheur, aucun Paul ne resterait insensible aux soupirs ...
· Il y a presque 9 ans ·Pawel Reklewski
Merci Pawel pour ton gentil commentaire. Ah ! quand les soupirs du cœur soufflent un vent de bonheur sur l'âme enamourée ...
· Il y a presque 9 ans ·À bientôt de te lire.
Bien amicalement.
Paul Stendhal
14/02/2016
Paul Stendhal