Polars

Hervé Lénervé

Tiens, c’est encore plus nul qu’hier. Décidemment, je suis en forme en ce moment.

Dans les huis clos policiers, il y a trop de morts et trop de suspects.

Tous les vivants restants ont un mobile pour assassiner qui l'un, qui l'autre et le lecteur se perd en conjectures.

A la fin du bouquin la révélation de l'assassin parait souvent tiré par les cheveux et le suspens se dégonfle comme un soufflet trop chaud sortant du fourneau.

Excepté dans les enquêtes de mon fameux détective Hercule Poivrot, où toutes les victimes, dans ce panier de crabes, succombent par morsure de vipères. Il est très fort l'Hercule !

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