Pour moi, pour rien...
Florence Quinodoz
Pendant ces petits moments où tu me fais sourire
J’oublie quelques instants que je suis en train de dépérir
Il suffit de si peu pour que tu me fasses rire
Que j’oublie même parfois que j’ai envie de mourir
Et puis encore tu disparais
Alors j’oublie de respirer
Et dès que tu réapparais
Celle qui sommeille en moi renaît
Je ne peux plus supporter, qu’il soit impossible pour toi de m’aimer
Alors je cherche à t’oublier
Mais à chaque fois que je te regarde t’éloigner
C’est une partie de moi que je vois s’en aller
Plus je te regarde et plus je vois combien tu es parfait
Plus je vois que tu ne peux pas m’aimer
Mais puisque je ne peux pas arrêter
Je continue à rêver
Même si je sais que ça ne sert à rien
Même si je sais qu’à côté de toi je ne vaux rien
Je continue à espérer, pour moi, pour rien…
Merci :) c'est si vrai ce que vous dites sur les sentiments...
· Il y a presque 12 ans ·Florence Quinodoz
j'ai bien apprecie justement ce rythme irregulier, car comme dans le texte les sentiments varient, l'amour puis le desespoir, l'envie d'aimer et d'etre aime encore meme si cela parait impossible
· Il y a presque 12 ans ·christinej
Bonjour, en effet le but n'est pas spécialement d'émouvoir le lecteur, je ne recherche pas non plus à créer un rythme particulier, le but étant seulement de mettre sur papier mes sentiments, mais merci pour ces quelques critiques, j'essaierai d'en tenir compte la prochaine fois ;)
· Il y a presque 12 ans ·Florence Quinodoz
Sujet classique et donc très difficile à aborder surtout en poésie.
· Il y a presque 12 ans ·Le rythme est irrégulier et le propos est traité de façon trop banale pour émouvoir le lecteur. (Bon après ce n'est peut-être pas le but recherché ?!)
Sinon il faut se repasser "Quand tu n'es pas là" de Brigitte Fontaine pour retrouver le sourire !
antares