qui s'y frotte s'y pique

Nous étions tous réunis.

Y avait Titi, Jean Mi et me. Y avait Laura aussi.

Tout était réuni pour passer une sacrée soirée, y avait Jean Pierre Christian à la télé et Bixente. Y avait Arsène et pas Lupin, mais le colmarien, pote du rouquin.

C'était les quarts, mais quels quarts...

Le match démarra au quart de tour, mes potes obnubilés par le ballon, ne voyaient plus Laura plantée non loin, deux obus dans chaque main.

Elle était là, à m'aguicher, comme l'autre soir où j'avais résisté...

J'aimais bien le foot, mais bien moins que le sexe. Laura était la femme de Jean Mi, mais je l'aimais pas trop Jean Mi, il était devenu gros beauf à casquette, il délaissait Laura et venait de faire un énième rot. 

Laura passait sa langue sur ses lèvres en me fixant des yeux, je la regardais évoluer, j'étais paralysé.

Dépassé par les gestes de Laura, je n'osais plus la regarder, elle quitta le salon et je repris le ballon, de volée.

Mes potes ne remarquaient rien, pourtant, Dieu que laura était belle, italienne comme je les aime, des formes et une taille non mannequin qui me convenait parfaitement, des ueux verts qui auraient troublé le plus calme des hommes et Jean Mi qui osait lui préférer le foot... Je me tâtais, je regrettais déjà de ne pas lui avoir répondu, vaincu par ma pseudo amitié pour son chéri... 

Mais Laura est revenue, elle avait enfilé une nuisette rouge en satin, sans transparence mais j'allais bientôt en voir plus.

Car laura était d'humeur plus que coquine, elle se penchait tantôt en avant pour ranger un livre, tantôt de dos pour me laisser découvrir sa croupe en remontant dicrètement sa nuisette d'une main.

Que j'aimais ces vues, mais j'avais des vues sur la femme de mon ami. Devais- je me reprendre? puissais-je louper une telle occasion? 

Elle était à 3 mètres de moi, les autres cons obnubilés par leur ballon, je ne voyais plus que les siens. Du doigt, elle caressait ses tétons que je voyais durcir sous son vêtement. Elle finit par s'asseoir en face de moi, sur un sofa, BD à la main, elle décroisait ses jambes et ça devenait plus hot que Basic instinct, plus intenable que jamais. 

C'est alors qu'elle se leva, non sans avoir dévoilé ses trésors, nus sous sa nuisette qui ne demandait qu'à me connaître.

Ses doigts m'indiquèrent qu'elle montait à l'étage et qu'il ne tenait qu'à moi de la rejoindre... Mais j'étais coincé, je devais réfléchir vite, qu'allais-je faire? ... to be continued or not?...