qui s'y frotte s'y pique la suite

touslessenceeneveil

J'étais comme un lion en cage, mon jean me serrait comme ça n'est pas permis.

Elle avait mis le feu à mon boxer, je sentais ma verge si dure et débordante, qu'il était urgent que je quitte le salon.

J'inventais une fatigue soudaine, un dégoût pour les pleureuses qui se roulaient par terre sur la pelouse. J'avais besoin de goûter l'herbe plus verte ailleurs. 

Je demandais à Jean Mi si ça ne le gênait pas que j'aille m'allonger là haut, loin du bruit de la télé. Il m'indiqua la chambre d'amis, située en face de leur chambre.

Je m'y rendis, brûlant de désir pour Laura, mais toujours dans la retenue, je ne pouvais faire ça à Jean Mi. Je m'allongeais donc sur le lit, heureux de pouvoir sortir ma queue, mes 26cm n'en pouvant plus de la compression dont ils étaient victimes.

J'entrepris alors à grand renfort de mes mains brûlantes de me soulager au plus vite, quand je vis la poignée de la chambre doucement s'abaisser.

Ne pouvant me résoudre à lâcher mon sexe si tendu, je vis avec bonheur le visage souriant de Laura apparaître.  Le doigt sur la bouche, elle m'indiqua de me taire et s'approcha de moi langoureusement, ses mains malaxant déjà sa poitrine plantureuse.

Elle entreprit alors de me faire un strip tease d'anthologie, excitée à la vision de mon membre inférieur, je sentais qu'il était devenu l'objet d'un désir transpirant.

J'étais assis sur le lit, elle m'avait donné ordre de ne pas cesser de m'auto satisfaire, quand tout à coup, m'effleurant avec sa croupe si délicieusement ronde, elle ne put s'empêcher de s'empâler à moi et  plaça mes mains sur ses obus.

Elle était humide à souhait et nos deux corps s'emboitâmes parfaitement dans une danse, des va et viens de plus en plus profonds entraînaient des cris éteints par la peur d'être surpris.

J'étais devenu son Joystik, elle s'agitait dans tous les sens puis finit par se mettre à 4 pattes en me disant: "prends-moi partout je suis à toi".

Je ne me fie pas prié et je la pris, tendrement mais sûrement. Avec mes doigts agiles, ma langue acrobate et mon sexe brûlant, je lui fis l'amour comme jamais. Je ne pensais à rien d'autre qu'à son plaisir et ses cris étouffés décuplaient mes forces... Cela dura 30 minutes, il restait 5 minutes dans le match de foot en bas... Elle ne voulait pas en rester là, moi non plus, je m'en foutais du match, je n'avais plus qu'un objectif, profiter d'elle et des trésors qu'elle m'offrait, j'allais lui proposer un 69 quand je la vis se jeter sur mon sexe, à pleines mains et bouche, tandis qu'elle m'offrait le sien en retour... Ce fut divin, j'étais au paradis, mais il était temps d'arrêter, Jean Mi montait les escaliers...

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