Ruddy,
elka
Chapitre 1 – L'Impact
Bon récapitulons, Sonia m'invitait à sa soirée d'anniversaire, il est vrai que 20 ans ça se fête, mais j'avais été invité par Nono, mon pote de toujours à sa crémaillère, je fais pile et face et voila tout, ma conscience sera soulagée ... Bingo je vais chez Nono !
Après avoir trouvé une excuse aussi débile qu'improbable auprès de Sonia, je me prépare pour ma soirée bouffe-boissons-fumettes et musique à gogo. Pour l'occasion, j'ai décidé de me l'a joué femme fatale, bon c'est clair je n'ai que 22 ans et alors j'ai aussi le droit de ressembler parfois à une femme responsable, même si le terme est assez ironique. Je jette un dernier coup d'œil dans le miroir et je vois le sosie de Sharon Stone dans Basic Instinct, le pic à glace en moins, j'ai relevé mes cheveux blonds cendrés en sorte de chignon à la fois classique et dépouillé, j'ai enfilé une robe-tube blanche qui se marie parfaitement avec le teint mat de ma peau et en dessous je ne porte rien d'autre qu'un voile de lait de corps parfumé à la noix de coco. Bon c'est clair Nono ne va pas me reconnaitre mais c'est aussi un peu le but…Attention les gars, Sharon Stone débarque dans votre soirée..je termine par surligner mes lèvres d'un gloss aussi rosé que mes joues, seuls les traits de liner suffisent à mettre mon regard bleu azur en valeur, un foulard de soie posé sur les épaules et le tour est joué.
Quelques stations de métro plus tard avec déshabillage intensif de la part de la gent masculine et jalousie de la part du sexe opposé, j'arrive à destination. Je ne tarde pas trop, le quartier est assez chaud le soir et je n'ai pas envie de finir en fait d'hiver.
Quand il ouvre la porte, Nono laisse tomber sa mâchoire jusqu'aux pompes, son expression me fait terriblement rire mais je note que ma tactique de séduction fatale fait son effet. Je retrouve des amis réguliers, j'en retrouve des Perdus de vues depuis un bail, et je fais la connaissance de nouveau…. Et c'est à ce moment précis qu'il me présente un beau black d'environ 26 ans, c'est une pure beauté, il a les yeux bleu, je n'en reviens pas, est-ce qu'il s'est mis des lentilles ou est-ce que c'est naturel. « Ruddy-Léa... Léa-Ruddy ! », présentation faite de la part de notre Hôte qui nous plante l'un devant l'autre pour aller recevoir les autres arrivants.
Ruddy me regardait avec un superbe sourire qui laissait échapper, une dentition parfaitement blanche, joli contraste avec la couleur ébène de sa peau, il aurait pu faire une pub pour les dentifrices ! son regard, je n'en revenais pas, je n'avais jamais vu un regard aussi bleu sur le visage d'un black, je ne pus me retenir de lui demander si la couleur de ses yeux était authentique ou s'il avait triché, origines lointaines d'ancêtres suédois qui avaient sauté quelques générations pour se poser sur la sienne, que la nature est bien faite parfois.
Donc on se retrouve lui et moi a parler de tout de rien, il m'explique qu'il est arrivé en France il n'y a pas très longtemps qu'avant il était au Québec ou il avait travaillé dans le milieu de la nuit, mais qu'actuellement il cherchait à monter sa propre boite de nuit, je suis émerveillée de voir un type aussi jeune être déjà très motivé avec un bon paquet d'ambition pour sa vie, et là je m'aperçois qu'il n'y a pas que dans sa vie qu'il y a un bon paquet… On est debout sur la terrasse à partager un joint d'herbe euphorisante, et je vois la courbe de son engin très proéminent à travers son jean bleu anthracite, ce n'est donc pas une légende, les blacks en ont une grosse, ou alors il a oublié quelque chose dans son slip. Il se penche délicatement vers moi et me glisse quelques mots à l'oreille, il a réussi à voir que je ne portais pas de sous vêtement, car ma robe suffisamment moulante ne laisse apercevoir aucune trace de string ou petite culotte et là il me dit que de savoir cela ça l'excite terriblement.
Je ne connais rien de ce type, hormis son prénom, son âge, ses ambitions que j'ai déjà une envie folle de me laisser aller avec lui, j'ai envie qu'il m'arrache à cette soirée et qu'il m'emmène ou il veut pourvus que nous puissions nous laisser aller à de torrides et infinis rapports sexuels …. Est-ce le pétard qui fait son effet ou est-ce son regard bleu électrisant qui se balade sur mon corps tentant vainement à retirer le seul obstacle qu'il y à entre ses mains et moi. Je m'imagine me faire caresser par ce bel étalon noir, il a de belles grandes mains aux longs doigts, je me dis alors que son pénis doit être tout aussi imposant, sa chemise blanche légèrement entre ouverte me dévoile un torse musclé, muscle de bronze, ce type à toute la panoplie de l'orgasme réunies, rien n'est à jeter sur lui pas même ce petit accent à la Céline Dion, qui dans sa bouche pulpeuse et avec sa voix cassée donne un son parfaitement harmonique, invitation aux désirs et aux plaisirs, le métronome de la jouissance totale.
Je sens des bouffées de chaleur m'envahir tout le visage, une impression de suée me perler le front, je décide donc de laisser mon rêve érotique entre parenthèses pour aller me rafraichir dans la salle de bain… Je lui dis que je reviens au plus vite, il me rassure en me disant qu'il ne bouge pas, qu'il m'attend, qu'il n'attend que moi, je suis flattée mais je me dis qu'il se comporte peut-être comme cela avec tout le monde, alors je ne m'emballe pas trop vite.
Je me passe de l'eau sur le visage, bon Nono n'a visiblement pas déballé tous ces cartons, je ne trouve pas de serviette pour m'essuyer, alors je me contente du papier toilette. Après avoir fait ma petite commission, je me dis soudainement qu'il faudrait peut-être que je me nettoie également cette partie après tout je ne sais pas comment risque de se terminer la soirée, mais si c'est pour finir dans les bras de Ruddy, alors là pas question de laisser passer une torride partie de baise en perspective, je me passe la main savonnée sur le sexe que je trouve déjà bien chaud, certainement pas dû à la température ambiante de la pièce, je sors de mon petit sac à main ma petite bouteille rechargeable de parfum et y dépose quelque vaporisation sur ma vulve parfaitement épilé de la veille, le duvet est doux et parfumé, je suis prête pour la suite de la soirée. Je sors de la pièce et surprise, qui se trouve devant moi, poster sur le pas-de-porte, mon bel inconnu couleur chocolat qui me dévisage, le regard si sérieux, que le bleu de ses yeux, prend des airs d'obscurité.
Chapitre 2 – Préliminaires
Je prends mon air d'idiote totale en lui demandant s'il souhaite prendre ma place, il ne répond pas, avance en me bloquant le passage, je recule, je n'ai pas le choix, il entre dans la salle de bain et referme la porte derrière lui, j'entends le cliquetis de la clé dans la serrure, je sens que les choses deviennent sérieuses.
L'expression de son visage est grave, son regard me transperce l'âme, je me sens possédée de l'intérieur, je vois à la veine de son cou que les battements de son cœur se sont accélérés … les miens se sont arrêtés, enfin je crois.
Il approche sa main droite de mon visage, me caresse la joue, puis m'attrape par la nuque et m'approche de sa bouche… ses lèvres sont aussi charnue que celle d'une femme, mais tellement agréable à embrasser que je le laisse m'emballer, une pelle torride, mélange subtil de nos salives, l'exotisme de la sienne avec la fraicheur de la mienne, explosion de saveur en bouche. Puis il passe ses mains au niveau de ma chevelure et me retire avec violence ce que j'avais mis des heures à préparer, je me retrouve la crinière lâchée sur ma nuque et mes épaules, il passe ses mains dedans en me plongeant son regard énigmatique dans mes yeux à demi ouverts, le joint fait son effet, je n'ai plus de retenue, je n'arrive pas à lui résister et en même temps je n'en ai pas envie.
Il passe sa langue dans ma nuque de l'oreille au décolleté, je frissonne, je sens mes petits tétons s'endurcir, il les devine, il les ressent, il joue avec le bout de son doigt sur mes petites auréoles impatientes à travers ma robe, je n'ai qu'une envie lui arracher sa chemise pour constater la solidité de ses plaquettes de chocolat, mais je me contrôle et je veux prendre mon temps, alors je lui ôte un à un les boutons de sa chemise, nos regards ne se quittent pas une seconde, je la lui fais glisser délicatement sur ses épaules et la descend jusqu'à ce qu'elle atteigne le sol… Oh wa! sublime spectacle qui s'offre à moi, ses muscles saillant d'une virilité animale, son ventre fait de petites vagues toutes plus muscler les unes que les autres, démonstration parfaite de séances d'abdos bien récompensées.
Je m'amuse à passer ma chevelure sur son corps, il est beaucoup plus grand que moi je n'ai aucun mal, je le sens frissonner à chaque passage de mes fils dorés sur sa peau sucré et épicé à la fois, mélange de saveurs entre le sucré de sa pigmentation et l'épicé de mon parfum.
Il glisse sa main dans mon dos à la recherche de la fermeture de ma robe, impact… il fait glisser le zip de ma tenue et la fait glisser de mon corps, je me retrouve en tenue d'Eve devant mon bel étalon, seuls mes talons me servent encore de tenue de soirée. Perchée sur mes trois centimètres, je m'accroupis et lui retire ceinture et boutons, à mon tour de le mettre dans la même posture que moi, égalité parfaite, nos corps dénudés semblent représenter le Yin et Yang… Deux opposés si parfaitement réunis. Je me mets à genoux pour être plus à l'aise et là, je prends ce membre cacao si puissant, si imposant que j'ai déjà hâte de le sentir dans mon vagin. Je lève le visage, il me regarde un léger sourire de satisfaction aux lèvres, et avec ses mains agrippées à mes cheveux me pousse la tête en direction de son « cobra royal ».
Je commence par promener ma langue sur ses testicules, il se les rase, c'est hyper agréable, je les aie bien en bouche, je goute, je lèche ses œufs en chocolat…quelle surprise m'attend dedans ? …
J'englobe son gland humide dans ma bouche, il l'aise échapper un souffle de plaisir, je joue avec le bout de ma langue sur son méat urétral, elle est si grande et grosse que je n'ai pas besoin de la décalotter, cela se fait automatiquement …. Son fruit du chêne est plus foncé que le reste, il est si gros comme gonflé à bloc, je lui prends le reste dans ma bouche, sa bite est trop grande, je ne peux pas tout mettre dans ma bouche, si je l'enfonce davantage je tire au cœur… Je la suce abondamment, j'aime ça, lui aussi, il fait des mouvements de va-et-vient prenant mon orifice buccal pour sexe, je n'ai pas le temps de finir et pourtant j'ai envie de sentir sa liqueur me couler dans le fond de la gorge, curieuse de voir si elle est chocolat…
Chapitre 3 – L'orgasme Métissé
Ruddy me relève, m'amène jusqu'à la baignoire, me fait mettre les bras en appui sur le bord, position levrette ou sodomie, je ne le sais pas encore, j'ai peur d'avoir mal alors je le lui dis. Il joue avec sa queue en me claquant les fesses avec, je me tortille d'impatience, « vas-y prends-moi ! » je le supplierai presque. Ruddy se mouille le bout de l'index et du majeur, et commence à me caresser l'anus avec, il se baisse et ses doigts sont vite remplacés part sa langue, elle semble aussi longue et dure que son sexe, il la passe dans ma raie imberbe rectale, je sens mes muscles se détendre à chaque caresse linguale, il passe de mon minou à mon cul en me bouffant avec une telle fougue que je me dandine pour m'offrir davantage, « encore…oh oui encore.. » je n'arrive plus à retenir mes mots. Il m'écarte l'orifice rectal avec ses mains et commence à me pénétrer avec un doigt …puis deux…et tente le troisième, je laisse échapper un cri de douleur et de plaisir à la fois, oh bordel ce que c'est bon, je n'aurai jamais pensé pouvoir éprouver autant de plaisir de ce côté-là, et je n'aurai jamais pensé que mon baiseur d'un soir puisse être autant expérimenté dans la chose, il cachait bien son jeu. Et là, il commence la pénétration en douceur de son sexe entre mes fesses, le passage est plus souple, plus accueillant, mais la largeur de son embout me fait crier de douleur, je ne veux pas avoir mal alors je pousse comme pour ouvrir les portes, le gland est passé, et commence alors le mécanisme d'avant-arrière de ses reins, je sens une sorte de douleur chaude m'envahir tout le corps et me monter jusque dans la tête, mais une douleur très vite remplacée par l'électrisation du plaisir, l'orgasme est imminent, tellement son sexe est gros et que je le sens bien en moi, mais là il se retire, je me sens vide, je me demande pourquoi arrêter en si bon chemin, je me cambre comme pour lui faire comprendre de ne pas stopper ce qui était en train de venir, il décide alors de changer non pas de position mais de trou, et m'enfonce vigoureusement sa grosse bite dans l'humidité de mon vagin, je mouille tellement que le passage se fait sans problème, les préliminaires ont bien fait leur travail, les lieux sont chauds et lubrifier de désir. Alors commence, à mon grand plaisir, une danse rythmée de pénétration en alternance entre mon minou et mon anus, allez un coup devant, un coup derrière, il commence à gémir un peu plus, alors je m'abandonne à geindre sans retenue, la musique dans l'autre pièce couvrira le vacarme et peu importe que quelqu'un puisse nous entendre derrière la porte, c'est mon moment de pied total à moi, alors je me laisse à jouir doucement en parfaite harmonie avec les pénétrations de mon étalon sexuel. Sa respiration se fait entendre plus forte, plus saccadée, je le sens surexcité et cela attise davantage mon envie, je me contracte à chaque pénétration ce qui lui procure un peu plus de plaisir, j'en suis consciente à l'écoute de ses râles, alors j'en joue, je veux le sentir, craquer et exploser, ses mouvements deviennent plus rapides, plus profonds, plus violents, la douleur a cessé pour laisser toute disponibilité au plaisir suprême… « oh oui, encore plus fort ! » il s'exécute sur-le-champ, et s'agrippant les mains sur mes hanches, il m'empale plus violemment à chaque mouvement effectué, claquement de fesses de temps à autre avec sa main droite … « t'aime ça aussi ? … », quelle question, bien sûr que j'aime ça, ce que c'est bon, alors je le lui dis, je lui demande de me défoncer, de chatte je deviens chienne et je l'accompagne dans ses mouvements en dandinant mon bassin de droite à gauche, « wouha ! t'es bonne ! » laisse-t-il échapper, je fais mouche visiblement, et là c'est le déchirement total, il finit par la sodomisation, il paraît plus à l'aise dans cet orifice, oh bordel, je sens un orgasme terrible me prendre de l'intérieur et se diffuser dans toute la partie inférieure de mon corps, comme pour ne pas laisser le reste, d'une main je me masturbe le clitoris, double sensation de plaisir, vais-je jouir de devant ou de derrière en premier ? Mon roi de la baise me demande de bien m'accrocher, j'ai l'impression d'être dans un manège à sensation, il se lâche totalement et les coups de reins sont maintenant extrêmement puissants et en continu, je hurle de plaisir, lui aussi se met à gémir, nos voix se mélangent dans un brouhaha de jouissance, lequel des deux cris est le plus fort je n'y prête plus attention, il accélère encore, plus vite, encore plus vite et surtout plus fort, je jouis, mon clitoris est raidi à l'extrême, mon ventre se contracte mes jambes se resserrent, tous mes muscles deviennent rigides, je lui emprisonne son membre d'ébène dans mon intérieur, alors il me dit qu'il va jouir, alors que je suis convaincue qu'il va se libérer dans un hurlement animal, il m'attrape, me fait mettre à nouveau à genoux et sans me laisser le temps de redescendre de mon nirvana de jouissance, il engouffre son phallus engorgé dans ma bouche, je le branle tout en le léchant, ma langue joue avec la tête de son pénis, je le masturbe de plus en plus vite et là je sens ses mains s'agripper très violemment à ma chevelure et tout en me regardant il jouit bruyamment dans ma bouche, je continue malgré l'éjaculation de passer ma langue partout sur son sexe qui se libère de toute sa sève, je la savoure, elle coule le long de ma gorge, se mélangeant avec ma salive, elle est chaude et j'avais bien raison elle a un bon gout de sucré.
ElKa.