Satire de ton corps.

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Tu me désires,
Je t'attire,
Tu m'enlaces,
Je t'embrasse,
Voila nos doux ébats,
De ta voix en émoi,
De nos corps qui s'esquintent,
De l'amour d'une sainte,
Pour un voleur,
Un voyou, un contrôleur
De temps,
Depuis si longtemps,
Que je t'attendais,
Toute seule dans ma nudité,
Tu as su faire frissonner mon âme,
Et celles de tant d'autres femmes,
Mais tu n'as toujours regardé que moi,
Mon narcissisme était à son apogée,
Et tu t'étreignais dans nos vagues soirées,
De notre amour en contrebas.

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