Sous les jupes d'Anna 1

Que celui qui n'a jamais regardé un match de tennis me jette la première pierre.

Je suis fan de sport, mais un jour, dans les allées de Rolland, j'ai eu la chance de me perdre, en attendant le beau Edberg, de tomber sur un joli double, au féminin.

Sur le court, deux belles argentines affrontaient deux belles slaves venues du pays du grand Stefan.

J'ai de suite cru être plongé dans un rêve quand j'ai vu à quel point les 4 jupes étaient courtes. Je regardais autour de moi et, malgré un niveau de jeu peu élevé, il y avait au moins 500 spectateurs, dont 480 hommes environ, scotchés non sur la balle, mais sur le doux visage de ces stars de la petite balle jaune. 

Moi, j'avais le regard bien en dessous, prêt à faire une thèse sur les dessous du tennis féminin. Mais pour vous, lecteurs et lectrices, je m'en vais vous détailler ce que j'ai vu. Car oui, venu, j'ai vu vaincu. Enfin pour l'heure, il y avait deux belles paires de filles, quatre belles paires de fesses parfaitement galbées et des centaines de Shorts trop serrés à en voir les regards admiratifs qui dégoulinaient, se joignant au mien d'adolescent très facilement émoustillable.

L'une, argentine, avait une culotte noire très serrée et légèrement transparente, qu'elle nous laissait découvrir à chaque fois qu'elle devait servir. Car la poche pour ranger les balles se trouvaient dans cette culotte que je guettais très souvent. 

L'autre, suèdoise, avait un mini shorty blanc immaculé, qui moulait parfaitement une anatomie dont je me souviendrais toute ma vie. Les autres, moins galbées par derrière, s'agitaient devant mes yeux et je ne perdais rien de leurs poitrines généreuses qui valsaient comme peu retenues et qui semblaient vouloir s'échapper pour connaître mes mains...

Ces 4 jeunes filles, conscientes de leur sex appeal et du public en brutes... jouaient de leurs atouts pour déclencher nos cris et applaudissements. On vit même poindre des tétons sous leurs hauts moulants, ce qui ne fit qu'amplifier nos états. J'avais la fièvre et je décidais donc de m'évader. Je flanaîs dans les allées, quand tout à coup, je fus saisis par le bras par la paire argentine qui m'avait tant fait fantsamer. Elles me plaquèrent dans un coin et, avant que je ne puisse esquisser le moindre geste, me firent taire d'un baiser, où ma langue peina à suivre le rythme latino endiablé.

Elles m'entraînèrent ensuite dans les vestiaires, non sans avoir délicatement palpé mon short ou plutôt, la bosse qu'elles avaient provoqué.

Pendant que l'une d'entre elle commença à se dévêtir langoureusement, l'autre me déshablillait frénétiquement et commença à s'attaquer à mon sexe, qui n'avait jamais connu une telle apogée, frôlant les 20cm que je n'avais jamais atteint.

Ces 2 furies m'entraînèrent ensuite sous la douche et emmenèrent avec nous un savon moussant des plus agréables. Je me faisais embrasser de tous les côtés et je peinais à recouvrer mes esprits. Mais d'un coup, je réalisais que cela dépassait tous mes fantasmes et que je devais en profiter pleinement. c'est ainsi que mes mains, ma langue et mon sexe se firent omniprésents et acrobates, je voulais leur donner du plaisir autant à l'une qu'à l'autre et je m'y efforçais, glissant mes doigts en douceur puis profondément dans leurs intérieurs de rêve. La chaleur de leurs lèvres me disait continue, je ne me fis pas prier et je réussis vite à m'adapter à leurs gestes qui m'incitaient à les prendre tour à tour par différents endroits. Mon excitation que je croyais à son comble, grandissait encore et toujours et même si nous ne parlions pas la même langue, à force de mélanger les nôtres, l'harmonie se dégageait de notre étreinte. C'est alors que les suédoises firent leur apparition...