Towanda !
dechainons-nous
Tu sais je vas tout de dire ma petite Marie, sainte mère du sapristi.
Mon oiseau de mauvaise augure m'avait seriné que de de la connerie toute la nuit, genre y va bien falloir que tu fasses tremper ta petite nouille un jour, tu ne peux pas laisser tes bijoux macérer toute ta vie dans ton calbutte.
C'est vrai que ça me travaille un peu plus depuis que la Germaine ne veut plus manger de mes bonbons qui lui ont niqué toutes les dents. Je pensais que la veuve couderc qui avait perdu son matou aurait bien envie d'aérer son écrin massif, je croivais que cette affaire serait le petit jésus en culotte de velours.
Alors que je lui faisais le coup de mes impérissables bonbons vla t'y pas que le René y pointe son museau avec les fleurs que la Germaine ne voulait pas plus que mes bombecs. L'écume m'a monté à la tête, l'autre baveux allait encore m'empêcher de conclure et ça c'était pas convenable.
Tu me connais ma petite Marie je suis pas du genre qui pète fort dans la soie, moi je suis un besogneux et les bouffées de chaleur ont vite fait de me faire sauter le thermomètre, alors je suis allé dans la grange et ai appelé le René. Le teigneux était tellement furieux de me voir dans la place, me toisant de ses yeux noirs le cancrelat n'a pas fait attention au crochet de l'équarisseur que je manœuvrais et qui l'a choppé par la nuque comme un vulgaire pourceau.
Je l'ai saigné à blanc et mis à cuire dans la grande marmite, je l'ai laissé longtemps dans l'eau toute frémissante pour qu'il blanchisse le René. Ah le cochon ! il m'en a fait de beaux boudins tous bruns, des grillons, des jambons et des pâtés, et tout ce beau petit monde du village y se sont bien régalés à la saint Jean, ils ont rien laissé même pas la rate et le foie.
Mais tu sais ma petite Marie ça a pas marché avec la Couderc, alors si tu parles avec les étoiles et que tu croises une pouliche esseulée, n'hésite pas à me faire un clin d'œil et puis moi en échange, je te raconterai comment je me suis débarrassé du grand Ernest qui tournait autour de ma sœur avant qu'elle n'aille turbiner à la ville.
Lcm
J'adore voir les fautes des Autres :-))
· Il y a presque 6 ans ·Lady Etaine Eire
Pas ma faute j'te le jure !
· Il y a presque 6 ans ·dechainons-nous
:-)
· Il y a presque 6 ans ·Lady Etaine Eire
Hé ben! Il en a fallu du temps... ;)
· Il y a presque 6 ans ·gone
Le temps c'est ce que l'on te donne tout en bloc, et que l'on te retire tout doucement ....
· Il y a presque 6 ans ·https://youtu.be/w93WsUpl9Gs
dechainons-nous
oui. Belle image. je sais que vous retirez... et que vous avez... ;)
· Il y a presque 6 ans ·gone
Le maitre des horloges affole les boussoles mais le tempo de son discours est dissonant. N'est pas Chronos qui veut !
· Il y a presque 6 ans ·Cronos le dieu cannibale s'y cassa les dents.
dechainons-nous
certitude...
· Il y a presque 6 ans ·gone
Certes !
· Il y a presque 6 ans ·dechainons-nous
je vais confirmer
· Il y a presque 6 ans ·gone
Je ne suis pas du genre à jouer les pépères la pudeur de l’orthographe, mais là, tu dépasses les bornes ! On ne peut écrire : « je croivais, que le René il fut été bien meilleur à bouffer que ce goût de viande faisandée avariée ! » Le René n’a jamais été une lumière, ni un met de choix ! :o))
· Il y a presque 6 ans ·Hervé Lénervé
Ben si t'étais né de là où je viens tu saurais que le naturel reviens toujours au salaud et que les ordures on les lave en famille. Le René c'était un mal propre et le blanchir n'était que justice.
· Il y a presque 6 ans ·Si t'es pas convaincu, un de ces quatre passe me voir dans la grange :)
dechainons-nous
"Revient" faut pas déconner
· Il y a presque 6 ans ·dechainons-nous
:-)
· Il y a presque 6 ans ·Lady Etaine Eire