Un lien de soie noire
ludivine
La triple contrainte :
Le thème : « est épris qui croyait prendre »
Le mot final : ricochet
Le temps : la contrainte thème/mot est communiquée à 23H50 le 29/10, le texte doit être envoyé au plus tard à 7H00 le 30/10. La nuit fut... fiévreuse…
Le désir est un lien de soie noire qui se déroule lentement… puis se tend tandis que je roule vers toi dans mon Autolib, regard troublé, ventre creusé.
C'est bien avant qu'il prend sa source cependant.
Ton message est efficace et violent comme un uppercut : un lieu, une date, une heure.
Pas de signe avant-coureur, le silence dure parfois des semaines, loin des yeux, loin du cœur. Mode longue distance activé, je songe même à te remplacer, j'aspire à t'oublier. Le pourrais-je ?
Alors arrive ton message, comme mû par un sixième sens, aurais-tu peur de me perdre ?
Hôtel Le Passage, vendredi 8, 20 heures.
Ou
Chez moi, jeudi 19, 23 heures.
Je réponds d'un mot : OK ou Impossible.
Mais c'est parfois toutes les semaines que tu requiers ma présence, de ce ton sans appel qui me choque et me comble, me révolte et m'excite. Ce ton qui est le même dans tes messages suivants : ce que je dois porter. Ne pas porter. Ce que tu me feras. Ce que tu m'interdis de faire.
Ce ton qui tend mes entrailles et déroule le ruban du désir en un brûlant compte à rebours. Ces messages que je relis cent fois, mon cœur s'accélérant et ma vue se brouillant.
Tu me tiens, tu me tiens bien. Tu as cerné très vite ce désir reptilien de domination, tu l'as exploité comme personne avant toi, tu as su l'entendre sans te méprendre. Nul mépris, nul désir d'humiliation ou d'avilissement dans cette relation. Je te donne ma soumission, mon corps et tous ses orifices, j'accepte tout ce que tu m'imposes : ce que tu m'imposes, je le désire parce que tu me l'imposes. Tu me donnes ton désir, ton goût pour ma peau, ton enchantement pour mon corps, ton plaisir à contempler le mien.
Ton regard sévère quand j'arrive à ton rendez-vous, inspectant ma tenue : ai-je respecté tes instructions ?
Parfois mes jambes tremblent car tu les aimes nues en plein hiver, parfois elles sont gainées de noir car tel est ton plaisir. Parfois mon désir coule déjà sur mes cuisses car tu m'as interdit tout rempart de dentelle et cette absence même double mon impatience. Parfois tu m'as interdit la voiture et c'est le métro que j'ai pris les fesses nues, sûre que par mon émoi on ne regardait que moi, serrant mes cuisses brûlantes d'anticipation.
Sans un mot tu m'inspectes, enlèves mon manteau, soulèves ma chevelure pour mordre ma nuque, viens cueillir et goûter le nectar que tu sais trouver au creux de mes cuisses. Ton regard s'éclaire alors. M'attrapant les cheveux tu me mets à tes genoux face à ton érection. Toutes les variations peuvent advenir ensuite. Ton imagination est sans fin.
Tu m'as ainsi attachée dans toutes les positions possibles.
Ecartelée sur le lit.
A genoux sur ton fauteuil rouge.
Sur le ventre, mains dans le dos.
A quatre pattes à ta table basse, cul levé tête baissée…
Tu m'as prise debout dans le hall de l'immeuble, tremblante de froid et de bonheur.
Tu m'as prise perchée sur un lavabo d'hôtel, ma tête cognant le miroir derrière moi sous tes coups de boutoir, mon plaisir giclant en saccades sur le damier noir et blanc du carrelage.
Courbée sur ton bureau, ta main sur mes reins plaquant mon ventre sur le noyer ciré pendant que ta queue labourait mon cul et que mes yeux écarquillés par le plaisir contemplaient notre reflet sur l'écran noir de ton ordinateur.
Tu m'as caressé l'échine de ta cravache, tu l'as passée entre mes cuisses, entre mes lèvres, entre mes seins, tu m'en a frappé les fesses jusqu'à les rougir pour mieux les caresser ensuite. Tu m'as frappée du plat de ta main, sur les joues quand je n'exécutais pas assez vite un de tes ordres, sur le cul quand tu me prenais en levrette, sur les hanches quand je te chevauchais.
Ce soir tu m'as attachée sur ton fauteuil de travail en cuir rouge, au milieu de ta chambre. Ce fauteuil est sacré comme tout ce qui touche à ton travail d'écrivain, aussi je suis surprise que tu l'aies déplacé. L'enjeu est d'importance, sans doute, et mon cœur s'affole. Cette position stratégique, face au lit que surplombe le vaste miroir, complice de nos ébats passés, quel message envoie-t-elle ?
Que va-t-il se passer ?
Tu m'as lié les mains derrière le dossier. Face au miroir, je regarde le spectacle que j'offre dans cette position. Ma robe noire fluide remonte haut sur mes cuisses. Conformément à tes instructions je ne porte rien dessous et la profonde échancrure dévoile la naissance de mes seins. Mes jambes sont nues, galbées par mes hauts talons. Tu les a disposées à ta guise, les as écartées soigneusement de sorte que dans le miroir on aperçoive les contours de ma chatte, ses lèvres enflées déjà, luisantes et ouvertes sur l'obscurité palpitante, respirant dans l'attente.
Car j'attends. Dans cette position que tu m'as interdit de quitter, j'attends ce que tu feras de moi quand tu reviendras, et mes yeux chavirent à regarder cette intimité offerte, ce sombre pubis coupé court et ces lèvres lisses et douces car c'est ainsi que tu me veux, et mon désir s'emballe à imaginer les plaisirs qui m'attendent.
Délicieux supplice que cette ignorance, supplicieux délice que cette attente.
Tu reviens. Passant un doigt entre mes cuisses, m'effleurant à peine quand je voudrais tant que tu t'attardes, tu constates que mon excitation a coulé de mon sexe ouvert sur le cuir du fauteuil. D'une tape sèche sur le bas du visage tu me réprimandes : « mais tu coules déjà, ma pute. Je ne t'ai encore rien fait et tu coules déjà tellement tu aimes ça. C'est comme ça que je te veux, toujours. Mouillée, ouverte, offerte. Tu es à moi, tu m'entends ? Tu es ma femme, tu es ma pute, tu m'appartiens Léo. Tu m'appartiens. » La douceur de ta voix dément la rudesse du propos, deux de tes doigts viennent cueillir ma rosée et la porter à mes lèvres, ton autre main serrant mes cheveux au creux de ma nuque. J'aspire tes doigts et les suce avidement, mais tu les retires déjà. Tu passes alors derrière moi et me bandes les yeux. Tu serres fort le bandeau et me murmures « J'ai une surprise pour toi, ma belle pute, tu vas aimer ça je crois, tu vas encore crier ce soir ».
Et tu me laisses à nouveau, le corps chauffé à blanc, l'esprit enfiévré, le cœur à cent à l'heure, à tourner dans ma tête mille fantasmes possibles…
La sonnette retentit, brève, clandestine. Quelqu'un ? Un livreur ? Un dealer ? De la coke, c'est la surprise ? Non, je sais que tu n'aimes pas ça.
Je tends l'oreille, j'entends des voix.
J'entends des pas ! Les tiens et puis… des talons ! C'est une femme ! Tu as fait venir une femme. J'aimerais tant la voir, j'aimerais tant savoir : qui est-elle ? Une amante ? Une inconnue trouvée sur le net ? Une call-girl ? Une pute à crack ramassée sur les quais ?? Mon cœur s'affole à cette dernière idée mais non, impossible, je te sais trop prudent pour ce genre de délires.
Je me rassure, je m'abandonne à toi.
La femme s'approche, son parfum est fort et capiteux, je le connais, un Guerlain je crois. « Bonsoir, Léonore. Je m'appelle Célia » murmure-t-elle. La voix est douce, basse, posée. Amusée, peut-être ?
« … Bonsoir… », réponds-je, hésitante, la voix grainée par la tension.
Silence.
Je l'entends s'approcher encore, d'un pas mesuré. Tu avances aussi, je te sens derrière moi. Elle touche le fauteuil, le fait tourner sur son axe, sans me toucher. Elle m'observe, j'imagine, en silence, et me voilà anxieuse de lui plaire. « Tu es très belle, Léonore. J'aime beaucoup tes jambes. Elles sont fines et gracieuses. Et ce trésor qu'elles enferment, mmmmm… je crois que je veux le goûter ».
Sa voix m'enrobe de miel, ses compliments m'enivrent, moi qui aspire tant à être désirée. Ma tête part en arrière sous le plaisir et le désir que suscite cette appréciation venue d'une femme que je ne vois pas, que je ne connais pas. « Mais je le savais déjà » continue la voix. « Abdel parle de toi, sais-tu ? De sa belle pute, si soumise, si gourmande ». Ce mot encore, si choquant, si insultant, qui devrait me révolter et qui au contraire à chaque fois me poignarde le ventre d'une envie brute. Pourquoi ? Moi si grande-gueule, féministe assumée, pourquoi aimé-je autant cette transgression-là ?
Pourquoi cette envie folle d'être possédée, dévorée, consumée toute ?
Ce n'est certes pas ce soir que je renoncerais à ce plaisir. Ce soir mon désir est à son paroxysme, je ne suis que luxure, mon cerveau est vaincu et mon corps s'abandonne à la caresse des lèvres de cette Célia que je devine belle et qu'une morsure de jalousie m'indique proche de toi. Une ex ? Une actuelle ? Une nouvelle ?
Ah !
Un spasme de plaisir interrompt mes questions silencieuses. La langue de la belle, de douce et légère à l'orée de mon sexe s'est faite ferme et pointue pour pénétrer mon intimité, qu'elle fouille loin et fort, m'arrachant des gémissements croissants.
Tu es là, je te sens derrière moi, tu ne me touches pas, je sais que tu regardes le miroir, quel spectacle ce doit être : moi ouverte sur le fauteuil rouge, Célia agenouillée devant moi, son cul s'agitant au rythme de sa caresse… Comme j'aimerais voir ça. L'imaginer décuple mes sensations, la spirale du plaisir est lancée et chaque mouvement de langue ajoute un tour à sa course infernale. Quand tu te penches sur moi par derrière le fauteuil et que tes mains plongent pour caresser mon cou et descendre à mes seins, je sursaute tellement fort qu'elle s'arrête et j'en meurs: « Non, ne t'arrête surtout pas, continue je t'en sup- » mais tu m'interromps d'un claque sèche sur la tempe « Tu te tais Léo. C'est moi qui décide si elle continue ou pas, tu le sais, non ? Sinon on arrête tout. Dis-le que tu le sais»
Le temps semble s'interrompre, suspendu à cette injonction. Eperdue devant la puissance de la menace dont l'exécution me tuerait à coup sûr, je murmure « Oui. C'est toi qui décides »… Satisfait tu recommences à meurtrir mes seins tout en caressant ma langue de la tienne et je recommence à gémir de plaisir, comblée et soulagée.
Quand Celia reprend sa caresse et l'accélère je crois devenir folle, mais ce n'est pas fini, ce sont ses doigts qu'elle glisse maintenant à l'intérieur et tandis qu'elle me baise fort ainsi, elle raffermit sa langue sur mon clitoris qu'elle affole de mouvements latéraux…
C'en est trop…
Je me rends…
Et je jouis violemment, tout mon corps arqué retenu par ses seuls liens, mon cri mourant dans ta bouche avide, un flot de liquide jaillissant de mon sexe qui explose comme une fleur au visage de Célia…
Mon orgasme est si fort qu'il se prolonge en de multiples vagues, mes jambes tremblent et les spasmes se succèdent, déchaînant ma fontaine qui fait jaillir de ma chatte écartelée ses jets de liquide chaud et transparent.
…
Il me faut quelques minutes pour reprendre mes esprits, pendant cet instant rien d'autre n'existait que mon plaisir géant et je reviens à moi, presque surprise d'entendre vos voix, vous les artificiers de cette explosion.
Vous parlez de moi comme si je n'étais pas là… mais à vrai dire pendant quelques instants, je n'ai plus été là.
« Détache-la » dit Célia, « je veux qu'elle me touche et je veux qu'elle me voie. Détache-la ». « Non », réponds-tu fermement, « je la détache mais elle ne te voit pas ». Ce sentiment d'être un objet mais aussi un enjeu n'est pas pour me déplaire. Est-ce une légère tension perçue entre vous deux ? Docile, je ne dis mot tandis que tu défais mes liens et caresses les marques laissées sur ma peau, mais je suis tout ouïe, tentant de démêler le sens de votre relation.
Je tremble un peu sur mes jambes tandis que tu m'accompagnes jusqu'au bord du lit où je retrouve Célia, debout face à moi. Maintenant libre de la toucher je ne vais pas m'en priver, tous mes sens décuplés par la privation du premier, et le sixième en éveil également. Comme dans un colin-maillard pour adultes, je cherche à deviner : qui est cette femme, qu'est-elle pour toi ? Je me lance, je cherche son cou, glisse mes mains sous ses cheveux, je saisis son visage et le rapproche du mien. J'entends sa respiration, elle est rapide, est-elle tendue par le désir ou par autre chose? De ma langue je cherche ses lèvres, elles sont douces et charnues, je m'immisce, les caresse, me glisse. Elle frémit, je continue, caressant sa nuque et ses cheveux de mes mains, sa bouche de ma langue et de mes lèvres. Ses mains rapprochent mon corps du sien, caressent mes hanches, saisissent mes fesses. Nos langues se cherchent, se trouvent, s'enlacent. Elle embrasse bien, elle sent bon, ses cheveux sont doux, j'y prends goût. Je soupire, mon esprit inquisiteur s'apaise, le plaisir prend le dessus. Qui est cette femme ? Je m'en fous, je la veux. Et je te veux toi, et te voilà qui t'approches, et te joins à nous. Ta langue vient rejoindre les nôtres, ton corps te coller contre nous, tes mains tracent leur chemin. Nous nous rapprochons tous trois comme une ronde infernale, nous pressant, nous collant, nos souffles se mêlant, tout s'accélère et je mouille à nouveau, je coule et m'ouvre encore, ma bouche se fait gourmande, je veux prendre ta queue. Mais tu parles avant moi, tes désirs sont des ordres : tu veux que je la boive, elle. Je la sens qui s'allonge, les fesses au bord du lit, tu m'agenouilles entre ses cuisses et dirige mes mouvements dans mon obscurité. Des deux mains je caresse ses jambes, ses mollets ronds, ses genoux pleins, elle est plus ronde que je l'imaginais mais sa peau est très douce, elle respire fort, elle guette mes mouvements. Je te sens tout près qui m'observes, tu sais que ce n'est pas ma première fois, que je n'avais pas été transportée par cette expérience ; tu te demandes si je vais m'exécuter. Mais savoir que tu le souhaites, savoir que tu me regardes, sentir que tu me désires décuple mon envie. Je suis O, soumise à tes désirs, comblée de cette soumission-même, et cette situation m'excite au delà de toute raison. Mes lèvres suivent la ligne de sa cuisse, ma langue en parcourt l'intérieur, elle gémit, je sens qu'elle m'attend, je m'attarde, l'envers de mes ongles glisse sur ses cuisses, s'approche de sa chatte, l'effleure, s'éloigne. Je la tantalise et je te fais languir aussi, j'adore vous sentir ainsi suspendus à mes gestes, mais enfin je cesse de jouer, ma langue s'approche, ma langue effleure, ma langue caresse, je déguste ses lèvres, elle s'ouvre, je tournoie, j'explore, elle soupire, je la hume, m'en enivre, la déguste à l'aveugle. Prudente au début, ma langue se fait curieuse, de plus en plus gourmande, tandis que l'excitation s'empare de moi au même rythme que ma victime consentante dont les gémissements s'accentuent. Je m'attache à son clitoris exposé, lui appliquant le traitement que j'affectionne à petits coups de langue latéraux, mais elle fonctionne autrement, tiens, c'est l'enroulement qui lui arrache les soupirs les plus convaincants.
Ses gémissements m'électrisent, j'ai envie de dévorer littéralement ce sexe chaud et palpitant, si familier et pourtant si différent. Je sais que tu es là, tout près, que tu regardes et écoutes, mais je t'oublierais presque, perdue dans ma gourmandise et exaltée par les petits cris de Célia que je sens s'emballer. Son plaisir me comble, moi-même je me sens dégouliner, mon bassin ondule sous l'effet de mon excitation, mon sexe s'ouvre à nouveau, pour toi dont je sens le regard envouté, je sais combien tu aimes à contempler ainsi mon cul levé et mon sexe offert et j'écarte les cuisses pour que tu ne puisses ignorer l'invite.
Et Mon Dieu te voilà.
Tes mains saisissent mes hanches et tu t'enfonces, doucement mais sûrement, jusqu'au bout, ma surprise se mue en plaisir brut, total, profond tandis que tu t'immobilises au fond de moi.
Car c'est mon cul que tu as choisi de combler, et la puissance animale de ce plaisir-là s'allie à celui qu'éprouve ma bouche régalée des sucs de Célia.
Ma bouche et mon cul comblés, les frémissements de Célia sous ma langue, tes couilles qui battent à mon sexe, ses cris et tes soupirs, ton tremblement annonciateur…
Mon bonheur est inimaginable et me soulève en un jaillissement volcanique qui m'arrache de Célia et finit en un hurlement sauvage à me rompre les cordes vocales. Je n'entends plus rien, je ne sais plus qui je suis ni où je suis, je ne sais pas si tu as joui, si Célia a joui, et à vrai dire je m'en fous, secouée que je suis par la violence de la déflagration.
Tu es toujours là cependant, tu reprends ton souffle et tu t'abats sur moi, m'écrasant sous ton poids tandis qu'allongée sur le lit j'arrache mon bandeau pour voir enfin Célia. Elle est brune et jolie, une très belle bouche rouge et des yeux très noirs, elle a l'air secoué elle aussi, et me regarde avec étonnement.
Quant à toi, encore engourdi sur mon corps, je sens les battements affolés de ton cœur résonner contre ma poitrine, ils font écho au mien pareillement emballé.
Tu roules sur le côté, te voilà à ma droite, Célia à ma gauche.
Tu me regardes avec cet air que tu as après l'amour. Cet air d'évidence et de plénitude. Lorsque je me tourne en souriant vers Célia je la vois qui t'observe. C'est un regard blessé que je surprends alors : celui d'une amante sur son amour perdu. Perdu au profit d'une autre.
Soudain je prends conscience de ce que je devinais sans oser être sûre. Ce pourquoi t'obéir et me placer ainsi sous ta domination m'est si facile et même si délicieux.
Tes sentiments viennent de m'être révélés par les sentiments d'une autre, avec la netteté d'un parfait ricochet.
très joliment écrit
· Il y a plus de 7 ans ·perle-vallens
je réagis un peu tard, Perle, pardon ! Merci de ton commentaire. j'ai fait quelque chose de très différente pour le PNE n° 3 : beaucoup plus de contexte et d'atmosphère,
· Il y a environ 7 ans ·beaucoup moins de sexe... Et toi, étais-tu de cette folle nuit ?
ludivine
Oui aussi, mais sans l'être vraiment...
· Il y a presque 7 ans ·perle-vallens
Magnifiquement mené vers la résolution… Bravo
· Il y a plus de 7 ans ·nyckie-alause
Merci merci !!
· Il y a plus de 7 ans ·ludivine