Un rêve (suite)

Alexia Abattu Kuntz

Et ce rêve qui recommence, jamais il ne me laissera tomber, jamais...

L'histoire ce répète encore et encore, toujours et à jamais, jusqu'au jour où en rentrant chez moi, la solution me vint, peut-être que mes parents ou quelqun de prche et mort au bord du précipice, et il faut que je retrouve qui est cette personne. C'est sur cette idée que je retourne au précipice tourne en rond pendant des heures pour trouver une explication. Bien aprés le coucher de soleil je rentre chez moi épuisée, et je m'endore sur le canapé. Au beau milieu de la nuit mon portable sonne et me tire douloureusement de mon sommeil, je décroche et une voix grave me répond, la personne en question me demande de me rendre tout de suite au bord du précipice. Je tremble, ma respiration se fait haletante et je répond d'une voix mal assurée que j'y serais, alors que tout mon être me hurlé le contraire. je pris mes clés de voiture et fonça jusqu'au précipice. je sortit de la voiture et marcha jusqu'au buisson, là je sentie une présence dérrière moi, mais ce n'est pas ce genre de présence qui vous rend heureux et vous fait hurlait de joie, mais plutôt le genre de précense qui vous incite a courir et crier de peur et c'est ce que je fis, je pris mes jambes à mon cou et hurla tant que mes poumons me le permettait, soudain une pierre que je n'avais pas vu me fit trébucher, une main m'effleura l'épaule et me plaqua au sol, cette même main me rua de coups de poing au visage, je réussis tout de même à lui griffer le visage, une perle de sang tomba de son oeil gauche, alors je me relevais et je courais de plus en plus vite en regardant dérrière moi, et c'est ce qui fit ma perte, sans le savoir je me rapproché du gouffre, mais mes yeux ne voyait plus, enfin c'est plutôt moi qui ne voulait plus voir, et quand je me rendit soudain compte que si je faisais deux pas de plus j'allais tomber dans les abysses insondable d'un précipice interminable, je tomba dans le vide, je cria, ma chute, elle me semblait duré depuis au moins deux heures quand je m'écrasa sur les rochers, ma nuque se brisa, et mon corps martirisait sessa de ce battre et laissa la mort m'envahir, j'avais l'impression que des millions de personne fouillaient mon corps, et d'un coup mon âme partit au paradis ou au Champs Elysés selon les croyances. Les rêves qui me pourissaient mon existance me racontés tout simplement ma mort.

                                              Fin

Ps: désolé si il y a des fautes, je suis nul en orthographe !!

Signaler ce texte