C'est un beau jour pour mûrir
martylerouge
Luc augmenta le volume de l'autoradio. La fréquence qu'il captait programmait un titre de Johnny Cash et June Carter, Jackson. Il sourit et pro...
Pour commencer, laisse-moi me présenter. Tu connais déjà mon nom, il est écrit en haut de la page. Ce que tu ne sais pas, en revanche, c’est pourquoi et comment j’ai débuté l’écriture.
Pour cela, il faut remercier Bernard Werber car c’est un peu grâce à lui et au hasard si j’en suis arrivé à fouler de mes mots mes premières pages blanches. Tout commença un jour pluvieux de l’été 2001, lorsque las d’avoir lu et relu toutes mes BD favorites (XIII, Blueberry, Comanche et Jeremiah), je me suis décidé tant bien que mal à étudier d’un peu plus près les étagères de livres de la bibliothèque familiale. Essayant de mettre de côté mes décevantes et ennuyeuses lectures scolaires imposées, j’ai commencé à parcourir les noms des ouvrages et de leurs auteurs. Après plusieurs passages infructueux, un ouvrage avait enfin retenu mon attention : les Fourmis de Bernard Werber. Qu’avait-il de plus attrayant que les autres ? La couverture ? Le titre ? L’originalité de l’histoire ? Quoi qu’il en soit je n’ai plus jamais décroché de la littérature. Mes goûts sont d’ailleurs très éclectiques et l’on peut surement le ressentir dans ce que j’écris.
Mais revenons-en à l’écriture !
Je me suis découvert cette passion à l’âge de 16 ans. J’aimais tellement lire que je me suis dit : pourquoi ne pas inventer des histoires ? Et c’est ce que j’ai fait. Oh de manière bien fastidieuse au début. J’ai écrit deux petites nouvelles, ma famille a eu l’air d’aimer, cela m’a poussé à continuer. J’ai tenté tous les supports : le papier et le crayon au départ, la machine à écrire même, mais finalement, l’informatique s’est imposée par sa commodité. J’ai poursuivi l’écriture jusqu’à réaliser huit nouvelles. Je les appelle « nouvelles » car il s’agit d’histoires courtes mais peut-être trouveras-tu qu’elles n’appartiennent pas à ce genre littéraire. L’important est qu’elles te plaisent n’est-ce pas ?
Voilà cher(e) visiteur, tu sais l’essentiel. Nous nous retrouverons peut-être un jour au cœur de mes histoires. En attendant, je souhaite bonne continuation à la tienne.
Luc augmenta le volume de l'autoradio. La fréquence qu'il captait programmait un titre de Johnny Cash et June Carter, Jackson. Il sourit et pro...
Et oui, pour ceux d'entre vous qui l'ignorent, Spotify c'est la vie. C'est un peu comme se retrouver chez son petit disquaire préféré avec un budg...