Ah les mecs ...

Aurelie Blondel

Ô rage, Ô désespoir ...

Ah les mecs ...

On pourrait en écrire des livres et des livres sur les femmes et leurs paradoxes, humeurs, émotions, hormones, complexités, complexes, interprétations, commérages, blablabla...

Mais bordel ... Regardez-vous cinq minutes !
Pour être aussi cliché qu'avec les femmes, vous vous posez là aussi.

Avec vous, c'est toujours -ou souvent- le concours de celui qui aura la plus grosse (voiture, maison, télé, montre, bite ...), le concours de celui qui pissera le plus loin (je vous donnerai une astuce pour réussir à la fin).

La performance, encore et encore. Ça vous épuise pas sérieux ?
C'est bon, on a compris que vous êtes des bonhommes, les meilleurs... !!
Ah, par contre, s'il faut aller chez le doc la sortir ou se faire mettre un doigt, là, y a plus personne ou ça chouine.
Alors, c'est qui les pleureuses ? Ça vous énerve ça hein ? (je m'en régale ^^)

Je vais vous confier un secret qui devrait vous aider.
Nous ne sommes pas vos ennemis, nous venons en paix.
Quand nous, les femmes, parlons avec fierté de nos exploits (professionnels, sportifs, sexuels...), on s'en contre-carre des vôtres !!
Ne vous sentez pas rabaissés et ne vous sentez pas obligés de vous coller des oursins sous les aisselles.
D'une, ça pue, de deux, ça doit piquer sévère et en plus ça ne vous rend pas  vraiment séduisants. Plutôt ridicules même.

On s'en fout de qui est le plus fort, de qui est le meilleur entre l'homme et la femme. Chacun ses qualités, compétences, envies, toilettes !
On ne parle pas pour vous dévaloriser, Capiche ?

Rassurez-vous, je ne vous mets pas tous dans le même panier à oursins.
Certains ont fait évoluer leur phallusoprémacie au niveau supérieur.

Soyez tranquille aussi : on n'en aura jamais une plus grosse que la vôtre, on ne pissera jamais plus loin non plus. On a pas de bite !

Et on ne connaîtra jamais la joie Ô combien immense de pisser contre un lampadaire.

Ps: L'ASTUCE !! Si vous voulez pisser le plus loin possible, inspirez-vous de Bigard (pas le steack haché) qui se pince le prépuce pour en faire un réservoir et tout gicler ensuite. C'est classe, c'est cadeau. De rien.
Désolée pour les circoncis.


Aurélie, sans queue et sans reproche.

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