Arthur Rainbow

dechainons-nous


Pas de points de suspension qui pourrait mettre on hold l'histoire, ni de points de suture pour raccommoder un tissu de verbiages mâle en propos, quand on arrive au bout de l'extrémité il serait périlleux de se mettre en marge de la page blanche et de vouloir écrire un nouveau chapitre pour donner vie à des regrets  morbides, mortifères et décousus de fils blanc.


Les feuilles ont la jaunisse mais ne rougissent plus, tout fout le camp  elles s'accrochent aux branches et n'ont plus l'énergie d'antan, il va falloir aller au charbon et effeuiller chênes et châtaigniers. 


Aux châteaux de cartes je préfère les cairns, coeur de pierre artificiel, battements perpétuels de l'horloge universelle qui se rit de nous voir si cons et coincés sur cette petite planète bleue de peur.


Je suis marron, maître esclave d'une destinée enchaînée à la destructuration de notre âme, à trop battre les chemins de campagne tout comme elles, les ch'hyennes de paille aux seins nus tombées de l'arbre à pommes huant les chats du cyber-espace vide de sens.


Harpies end  qui taillent des costumes casuals, halals du sens de la vie d'un mixte LGBT et plus encore tus et tués au travail laïque du corps à corps vert de trouille.


La retraite s'éclaire aux lueurs des flambeaux d'une révolution passée en prise d'une pastille qui crack nos vies. Les légendes urbaines naissent ainsi, leur diffraction interfèrent en toute transparence dans le prisme clair obscure de la société.


Point d'or au pied de l'arc en ciel, le pèlerin ne peut devenir faux con il doit reprendre sa route et viser le zénith, plus dur en sera sa chute dans le pot au noir.


Lcm  

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