Captifs
Patrick Gonzalez
Ville nue, déserte et silence immobile, monde muet sous le ciel lourd…
Puis Vous au grand lit cotonneux, profond, belle comme un remord, Nous captifs, haletants, la tête bourdonnante, naufragés volontaires, ballottés par d'Invisibles houles. Frôlements de chairs à l'unisson, peaux de soie frémissantes, étreintes en doux balancements .
Confinés l'un à l'autre en lourds gémissements, bouches et lèvres offertes aux corps enivrants, extases jaillissantes, orgasmes, enchantements…
Dehors le monde respire doucement, elle s'est endormie...
Un beau texte comme un pied de nez au virus qui ne parviendra jamais à tuer ce qui nous fait vivre : l'amour !
· Il y a presque 5 ans ·Continue à écrire (et à vivre) de si beaux moments...
Sy Lou
Merci ;)) au bonheur de te lire ;))
· Il y a presque 5 ans ·Patrick Gonzalez
Hummm c'est tendre et chaud... Belle comme un remord j'adore bisous mon ami poète
· Il y a presque 5 ans ·Maud Garnier
bonne journée chère poétesse ;))
· Il y a presque 5 ans ·Patrick Gonzalez
beau réveil...bel endormissement
· Il y a presque 5 ans ·vividecateri
merciiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii :))) Bises my dear !
· Il y a presque 5 ans ·Patrick Gonzalez
Y a des isolements qui font envie... ;)
· Il y a presque 5 ans ·Ceux que je prefere, où l on s endort au petit matin...
dentelles-rebelles
Merci de ta visite,,,,tu as raison, vive les petits matins ou l'on s'endort ;))
· Il y a presque 5 ans ·Patrick Gonzalez