Danse

Majda

Danse en vain,
Piétine les morts,
La vie ne change en rien,
Rien d'autre que mon corps.

Je me laisse porter par la subtile cacophonie de l'univers,
et sens le pas qui s'accélère,

Sur ce rythme déstructuré, qui nous emporte et nous fait vibrer avant de nous achever.

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