DERNIER HOMICIDE CONNU
franek
DERNIER HOMICIDE CONNU.
Ah, bonsoir mademoiselle,
Ne me laissez pas l’angoisse cruelle :
Qu’avez-vous de moi retenu ?
‘’Rien, que des vers que vous avez bu’’
L’écran est trop petit
Pour y mettre toutes les rimes
Coulant des mes veines ouvertes,
Pour vous, tendre amie,
Mais déjà d’autres paroles s’animent,
Vont vers vous offertes.
Stop. Cessons les questions,
Faut pas violer la discrétion,
Et de l’esprit, plutôt deviner
Que par mot quémander.
La paix des braves,
Belle poétesse,
Ca s’aggrave
En vaines promesses.
Rêvons, rêvons toujours
Sur l’oreiller d’espoir,
Au seuil de l’amour
Rêvons, Rien que pour voir
Où s’arrêtera ‘’toujours’’.
Seriez-vous heureuse
Si je vous mens?
Hé oui, en disant
‘’Ne vous crois plus menteuse’’.
Non ça je ne puis,
Mentir est un pécher
Contre l’esprit
Même du verbe aimer.
Fin. Non, ne dites pas trop tôt
‘’Que c’est beau, que c’est fort !’’,
A cet âge là, je fus sot
Mais ne le savais pas encor.
Ah oui c'est bien ! j'aime le rythme vif.
· Il y a presque 12 ans ·simon-rainner
Vous fûtes sot, mais l'expérience du verbe et de la chair vous apportèrent du gallon.
· Il y a presque 12 ans ·Pour, avec la sagesse, éclairer vos futurs décisions. Bravo.
Alain Le Clerc
Trop de vers, entraîne la tête vers l envers.
· Il y a presque 12 ans ·De belles rimes, preuves que tu trimes.
marmouille--2
tu fus sot, ne le serais tu pas encore :-) Merci pour le partage.
· Il y a presque 13 ans ·ysabelle