FARCES ET ATTRAPPES

- Viens vite, Alice! Grimpes sur mes épaules et entres par la fenêtre! 

- Regardes pas sous ma jupe, hein! Je te connais coquin, il faut l'admettre.

- j'te promets que je ferme un œil. D'abord, il faut que l'on se dépêche. La magie est ponctuelle!

Alice et Appolinaire entrèrent par la fenêtre qui donnait sur l'arrière du magasin de farces et attrappes,situé dans une ruelle.

- Mettons notre lampe frontale pour ne pas réveiller le propriétaire!

- Ma vie est trépidante avec toi, Appolinaire.

Le faisceau des lampes dansaient sur les tableaux muraux. Même Einstein et sa relativité n'auraient eus le temps de calculer leurs tangentes !

Alice frissonnait de peur d'être découverte. Ils ne faisaient rien de grave mais le propriétaire l'impressionnait avec ses grosses bâchantes.

- Regarde Alice ! Des costumes! Déguisons-nous en milles et un clowns!

- Mets-toi dans l'autre allée car tu vas essayer de regarder, lorsque je me changerais, ma foufoune!

Alice et Appolinaire avaient trente trois ans chacun. Une terrible maladie "vivait"avec Alice.  

Alice avait besoin de joies et de rires pour extraire dame maladie de son corps. Merlin allait lui offrir une nuit correctrice en faisant jouer sa jeunesse créatrice !

Chacun avait revêtu un costume qui personnalisait leurs rêves 

- Regarde-moi, Appolinaire! Comment me trouves-tu en Wonderland Woman? Appolinaire? Appolinaire?Où te caches-tu? Hum...je sens ton after-shave!

- J'arriveeeeeeeee Princesse aux merveilles! Je suis un Rambo avec des mitraillettes a rires. Je vais l'exterminerrrrrrrrr!

- Ouahhhhh! Mon héro! Qu'est-ce-que tu es séduisant! Viens vite la profaner.

Alice et Appolinaire courraient parmis les allées ou se trouvaient milles et un objets de farces et attrappes. 

Alice espérait qu'elle lui lâcherait la grappe et qu'avec Appolinaire, ils joueraient a la varappe 

- Bahhhh! Ça pueeeeee! Pouahhhhh ! C'est intenable. Au secour!!!

- Ca va la faire fuir. Elle va avoir les boules poquantes dans ses contours!

Appolinaire avait retourné toute l'étagère remplie de boîtes a Meuh.

Un gospel de vaches qui rient fit devenir Alice soprano des rires enchantes heureux.

Elle tourbillonnait les bras écartes comme une toupie qui dansent les cinq éléments de la tentation d'Eve.

Et pour la taquiner, Appolinaire prenant des photos avec un appareil qui lançait des petits jets d'eaux, attrappes-rêves ! 

- Ah!Arrêteeeeeee! Ohhh, attends que je t'attrappes. Tu vas avoir une fessee dont tu te souviendras!

Alice courrait en lançant des serpentins sauteurs tout en riant. Ces rires avaient la pureté d'un cristal de Baccarat

C'est Appolianaire qui l'attrappa par les hanches, lui mettant les mains sur les yeux

Alice était heureuse d'être la prisonnière dans la caverne d'Ali baba ou plutôt d'Appolinaire l'amoureux!

Appolinaire ouvrit une boîte de dès...de l'amour érotique. Dessus était dessiné des positions amusantes et après tout, cette soirée dans un magasin de farces et attrappes était inattendue et bienvenue

Un pirate qui enlève une Wonderland Woman pour la sauvegarder des malveillances misés  a nues...

Et les voilà a vibrer de polissonneries où Appolianaire ne manquait pas d'inventivités et de taquineries en mettant sous Alice des arroses-fesses.

Cet interlude dans un retour au pays de l'imaginaire, avait transformé Alice en Archiduchesses! 

Appolinaire avait allumé des artifices, des soleils qui tournoyaient,des feux de Bengale et des allumettes explosives.

Quelques marionnettes se mirent à danser et réveiller les costumes endormis des storys affectives

La buée sur les fenêtres étaient transformées en tableaux de Joconde. Milles et un visages d'Alice qui souriaient

Pendant que dame maladie s'envolait comme une sorcière sur son manche a balai

Alice et Appolinaire étaient léger comme les cotons de nuages, les cotons d'altesses

Les délicatesses d'Appolnaire avaient faites roquer et troquer l'impolitesse pour des noblesses!