Je Tiens Très mal En équilibre Sur le fil Aiguisé De ton Ambiguïté.
« Aimes-moi, Mais ne crois Pas Que J'en ferai Bientôt De même Mais tiens, Te souviens tu
de nos Jours heureux ? » Sembles-tu Dire.
Et Pendant Que la balle Dénuée de grâce Tente De garder la balance ; La lanceuse de Couteaux S'exécute,
Experte
Avec
Cadence
Et sang froid.
Tu Me tiens, en Suspens Dans la paume De ta main Et j'y danse.
Fervent Derviche, Fautif et jadis Païen De cet amour ; Pieux, Transis Et en Transe Qui s'autoflagelle, Je danse De mes deux Pieds, gauches, Sur le fin rasoir De tes Désirs; Et pire, Avec joie, Sur le tempo De tes Humeurs.
Mais voilà, Combien de temps encore ? On ne peut être chanceux après un tel faux pas
Il faut bien une chute Tout ce qui monte, et cetera
Je file vers le sol sans filet.
Après l'étoile, C'est le vide qui m'accueille La cœur f ra ca s sé
Et beh ! chapeau tant en ce qui concerne la mise en page que le texte lui même ! j aimerai l avoir écrit, surtout le début
· Il y a presque 10 ans ·Alice Gauguin
bel usage de la mise en page, en effet
· Il y a environ 10 ans ·catherine-rima
C’est drôle, je n’ai pas reçu de notification de ton commentaire :(
· Il y a presque 10 ans ·C’est gentil à toi et merci y avoir accordé un peu de ton temps :)
himitsukiyo
L'art naît pour éviter les chutes.
· Il y a environ 10 ans ·yl5
Ou pour se relever de ses chutes.
· Il y a presque 10 ans ·Pour les enjoliver ou les enlaidir,
Blâmer ou gommer la faute
Qu’importe la chute,
Pourvu qu’il en sorte de l’art. :)
Merci YL5
himitsukiyo
En plus des mots et de la musique, j'ai adoré la présentation ! :)
· Il y a environ 10 ans ·briseis